Dans un message publié sur les réseaux sociaux, Elimane Kane a mis en avant le fait qu'il s'agissait de la première fois que le Sénégal publiait un rapport détaillant la situation de ses finances publiques, en application de la loi Code de Transparence des Finances Publiques datant de décembre 2012, ainsi que de la directive de l'Union Économique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA) qui l'accompagne. Cette publication a d'autant plus de poids qu'elle intervient après la réélection du Président Macky Sall, qui ne l'avait pas réalisée en 2019, malgré l'obligation légale.
Le patron de Legs Africa a précisé que ce rapport, bien que tardif, apporte des éléments essentiels permettant de mieux comprendre les dysfonctionnements dans la gestion des finances publiques au Sénégal. "Un exercice inédit est forcément spectaculaire et instructif", a-t-il souligné, insistant sur l'importance de cette transparence qui permet aux citoyens et aux observateurs extérieurs de mieux saisir les enjeux économiques et financiers du pays.
Elimane Kane, a également relevé que ce rapport permet une évaluation des manquements dans la gestion des finances publiques, mais avec un prisme strictement juridique. "Le juriste ignore les logiques économiques et constate les infractions avec la seule référence de la loi", a-t-il expliqué. Autrement dit, le rapport de la Cour des Comptes ne cherche pas à faire une analyse économique, mais se concentre uniquement sur la conformité des actions du gouvernement aux règles et aux engagements légaux. Ce faisant, il permet de détecter les infractions et les violations qui pourraient nuire à la bonne gestion des ressources publiques.
Il a également insisté sur le fait que ces manquements doivent être dénoncés afin d’assurer une gestion plus orthodoxe et rigoureuse des finances publiques. Pour lui, cette transparence est un pas important vers la restauration de la confiance entre le gouvernement et les citoyens, ainsi qu'un moyen de renforcer l'efficacité de l'administration publique dans l'utilisation des ressources de l'État.
À ce stade, la responsabilité de la Cour des Comptes ne s’arrête pas à la publication de ce rapport. Elimane Kane a exprimé l'espoir que l'institution juridictionnelle assume pleinement son rôle de surveillance et de suivi. "La Cour prendra ses responsabilités en tant qu’institution juridictionnelle et nous espérons qu’un suivi rigoureux sera apporté à ce rapport pour procéder aux corrections, réformes et sanctions idoines", a-t-il conclu.
Le patron de Legs Africa a précisé que ce rapport, bien que tardif, apporte des éléments essentiels permettant de mieux comprendre les dysfonctionnements dans la gestion des finances publiques au Sénégal. "Un exercice inédit est forcément spectaculaire et instructif", a-t-il souligné, insistant sur l'importance de cette transparence qui permet aux citoyens et aux observateurs extérieurs de mieux saisir les enjeux économiques et financiers du pays.
Elimane Kane, a également relevé que ce rapport permet une évaluation des manquements dans la gestion des finances publiques, mais avec un prisme strictement juridique. "Le juriste ignore les logiques économiques et constate les infractions avec la seule référence de la loi", a-t-il expliqué. Autrement dit, le rapport de la Cour des Comptes ne cherche pas à faire une analyse économique, mais se concentre uniquement sur la conformité des actions du gouvernement aux règles et aux engagements légaux. Ce faisant, il permet de détecter les infractions et les violations qui pourraient nuire à la bonne gestion des ressources publiques.
Il a également insisté sur le fait que ces manquements doivent être dénoncés afin d’assurer une gestion plus orthodoxe et rigoureuse des finances publiques. Pour lui, cette transparence est un pas important vers la restauration de la confiance entre le gouvernement et les citoyens, ainsi qu'un moyen de renforcer l'efficacité de l'administration publique dans l'utilisation des ressources de l'État.
À ce stade, la responsabilité de la Cour des Comptes ne s’arrête pas à la publication de ce rapport. Elimane Kane a exprimé l'espoir que l'institution juridictionnelle assume pleinement son rôle de surveillance et de suivi. "La Cour prendra ses responsabilités en tant qu’institution juridictionnelle et nous espérons qu’un suivi rigoureux sera apporté à ce rapport pour procéder aux corrections, réformes et sanctions idoines", a-t-il conclu.
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