La Cour des comptes a procédé à la vérification de la gestion des frais de mission à l'étranger au titre des années 2003 à 2006. Dans le rapport fourni, des irrégularités sont notés dans les déplacements à l'étranger des agents de l'Etat régit par le décret n° 2004-730 du 16 juin 2004 modifié, qui a abrogé celui de 2000.
En ce qui concerne l'actuel le chef de l'État Macky Sall, qui était à l'époque des faits, premier Ministre, les crédits affectés aux frais de mission à l'étranger sont logés dans le budget de fonctionnement de la primature. Selon la Cour le montant était resté stable durant la période sous revue à 1 750 000 000 F CFA sauf en 2005 où il a été modifié par le décret n 2002-1196 portants virements de crédit d'un montant de 150 millions de F CFA, renseigne l’Observateur.
Leur consommation, fait constater la Cour des comptes, a donné lieu à des dépassements budgétaires très importants. La comparaison du cumul des crédits consommés avec les crédits ouverts fait ressortir un dépassement des crédits budgétaires pour toute la période sous contrôle, à l'exception de la gestion 2005.
En ce qui concerne l'actuel le chef de l'État Macky Sall, qui était à l'époque des faits, premier Ministre, les crédits affectés aux frais de mission à l'étranger sont logés dans le budget de fonctionnement de la primature. Selon la Cour le montant était resté stable durant la période sous revue à 1 750 000 000 F CFA sauf en 2005 où il a été modifié par le décret n 2002-1196 portants virements de crédit d'un montant de 150 millions de F CFA, renseigne l’Observateur.
Leur consommation, fait constater la Cour des comptes, a donné lieu à des dépassements budgétaires très importants. La comparaison du cumul des crédits consommés avec les crédits ouverts fait ressortir un dépassement des crédits budgétaires pour toute la période sous contrôle, à l'exception de la gestion 2005.
Autres articles
-
Rupture entre le F24 et le Pastef : trahison ou ingratitude ?
-
Gestion fonds Covid-19 : « Je ne suis pas concerné par une quelconque information judiciaire » (Abdoulaye Diouf Sarr)
-
Radiation de Barthelemy Dias : « il y a un parfum de revanche politique dans cette affaire », Me Moussa Diop
-
Révocation de Barthelemy Dias : le préfet aurait agi sous l’Article, L 237 du code électoral, selon Me Moussa Diop,
-
"Les Sénégalais n'accepteront pas la dictature", avertit Mamadou Mbodji, Coordonnateur de F24