Cette cérémonie était l'occasion pour le Président Diomaye Faye de revenir de long en large sur la qualités des travaux qui ont abouti à des recommandations pertinentes, selon ses dires. Pour le successeur de Macky Sall et de ses propres termes, " l’exigence de réforme et de modernisation est largement mise en exergue dans les travaux des assises de la justice". Qui plus est, ajoute-t-il, "cela conforte notre souhait d’adapter notre cadre juridique en corrigeant ses imperfections et ses lacunes".
Dans cette optique, les préoccupations majeures, comme soulignées par le Président Diomaye, demeurent entre autres "les réformes sur le Conseil supérieur de la magistrature, l’ouverture des professions libérales, la mise aux normes des lieux de détention, l’africanisation des symboles de la justice, l’encadrement des pratiques illégales comme le retour de parquet, la refonte du Code pénal et du Code de procédure pénale afin d’en extraire les dispositions abusives et arbitraires".
Outre ces préoccupations majeures susmentionnées figurent en bonne place les réformes de l’administration pénitentiaire. Ainsi, le Président prévoit d'en faire "l’objet d’une attention particulière à travers l’amélioration des conditions de détention et la restauration de la dignité des détenus".
"Les interrogations et les propositions apportées sur les imaginaires, les valeurs et la perception de la justice seront à même de guider les prochaines mutations pour mieux arrimer le service public de la justice aux normes culturelles africaines a fait savoir le locataire du palais Léopold Sédar Senghor.
Les réformes proposées ont reçu un jugement positif de la part du président de la République. Pour qui "bien que pertinentes, elles (les réformes) ne sauraient à elles seules apportées les changements en profondeur ou encore les ruptures qui donneront de nouvelles perspectives à notre Justice".
Dans le contenu du rapport général il est également fait état de moderniser la justice. Dans ce cadre les propositions mettent en avant la transformation digitale avec la dématérialisation et la numérisation pour anticiper sur les besoins futurs par une bonne appropriation de l’intelligence artificielle.
Non sans se limiter à cette étape, le professeur Babacar Guèye et son équipe ont, en outre, proposer "la création de nouvelles institutions comme la haute autorité de la justice, la Cour constitutionnelle ainsi que l’instauration d’un juge des libertés et de la détention". De telles idées arrimées aux transformations systémiques de la justice restaurant, de ce fait, la confiance et le respect mutuels entre la justice et les justiciables ont séduit le Président de la République.
Dans cette optique, les préoccupations majeures, comme soulignées par le Président Diomaye, demeurent entre autres "les réformes sur le Conseil supérieur de la magistrature, l’ouverture des professions libérales, la mise aux normes des lieux de détention, l’africanisation des symboles de la justice, l’encadrement des pratiques illégales comme le retour de parquet, la refonte du Code pénal et du Code de procédure pénale afin d’en extraire les dispositions abusives et arbitraires".
Outre ces préoccupations majeures susmentionnées figurent en bonne place les réformes de l’administration pénitentiaire. Ainsi, le Président prévoit d'en faire "l’objet d’une attention particulière à travers l’amélioration des conditions de détention et la restauration de la dignité des détenus".
"Les interrogations et les propositions apportées sur les imaginaires, les valeurs et la perception de la justice seront à même de guider les prochaines mutations pour mieux arrimer le service public de la justice aux normes culturelles africaines a fait savoir le locataire du palais Léopold Sédar Senghor.
Les réformes proposées ont reçu un jugement positif de la part du président de la République. Pour qui "bien que pertinentes, elles (les réformes) ne sauraient à elles seules apportées les changements en profondeur ou encore les ruptures qui donneront de nouvelles perspectives à notre Justice".
Dans le contenu du rapport général il est également fait état de moderniser la justice. Dans ce cadre les propositions mettent en avant la transformation digitale avec la dématérialisation et la numérisation pour anticiper sur les besoins futurs par une bonne appropriation de l’intelligence artificielle.
Non sans se limiter à cette étape, le professeur Babacar Guèye et son équipe ont, en outre, proposer "la création de nouvelles institutions comme la haute autorité de la justice, la Cour constitutionnelle ainsi que l’instauration d’un juge des libertés et de la détention". De telles idées arrimées aux transformations systémiques de la justice restaurant, de ce fait, la confiance et le respect mutuels entre la justice et les justiciables ont séduit le Président de la République.