Une réunion sur le système électoral s'est tenue le samedi 28 septembre, réunissant le ministre de l'Intérieur et les acteurs politiques, avec l'appui de la société civile. Lors de cette rencontre, Jean Baptiste Tine a abordé la question des rassemblements politiques.
Il a plaidé pour l'adoption d'un arrêté ou d'une loi définissant les lieux autorisés pour les manifestations politiques.
« Certains endroits ne peuvent pas abriter des manifestations au risque d'entraver la libre circulation des personnes et des biens. Cela va calmer le débat politique et donner la possibilité à toute personne ou entité politique qui désire manifester de pouvoir le faire sans contrainte et sans débordement », a-t-il affirmé.
D’après Libération, le ministre de l'Intérieur a dialogué avec les acteurs politiques. M. Tine a déclaré après cette rencontre qu'un cadre de concertation serait établi entre les différentes parties. « Je pense qu'il faut avoir, comme les acteurs politiques l'ont proposé, selon une certaine périodicité, un calendrier et un contenu précis, des discussions entre la classe politique et le ministère de l'Intérieur pour en permanence approfondir le dialogue, perfectionner le dispositif institutionnel et qu'on ne revienne pas sur les mêmes questions chaque année », a précisé Jean Baptiste Tine.
Il ajoute : « Il faut noter que des points positifs sont retenus lors de la rencontre comme l'instauration d'un cadre permanent de concertation entre le ministère de l'Intérieur et les partis politiques. Ce n'est pas juste à la veille des consultations électorales qu'il faut discuter ».
À noter que plusieurs candidatures ont été soumises à la Direction générale des élections (DGE) hier dimanche. Ce qui n'est pas le cas pour la liste de Me Moussa Diop, dont le mandataire a disparu avant d'annoncer son soutien au Pastef, (Patriotes Africains du Sénégal pour le Travail, l’Ethique et la Fraternité, rapporte le journal Libération.
Il a plaidé pour l'adoption d'un arrêté ou d'une loi définissant les lieux autorisés pour les manifestations politiques.
« Certains endroits ne peuvent pas abriter des manifestations au risque d'entraver la libre circulation des personnes et des biens. Cela va calmer le débat politique et donner la possibilité à toute personne ou entité politique qui désire manifester de pouvoir le faire sans contrainte et sans débordement », a-t-il affirmé.
D’après Libération, le ministre de l'Intérieur a dialogué avec les acteurs politiques. M. Tine a déclaré après cette rencontre qu'un cadre de concertation serait établi entre les différentes parties. « Je pense qu'il faut avoir, comme les acteurs politiques l'ont proposé, selon une certaine périodicité, un calendrier et un contenu précis, des discussions entre la classe politique et le ministère de l'Intérieur pour en permanence approfondir le dialogue, perfectionner le dispositif institutionnel et qu'on ne revienne pas sur les mêmes questions chaque année », a précisé Jean Baptiste Tine.
Il ajoute : « Il faut noter que des points positifs sont retenus lors de la rencontre comme l'instauration d'un cadre permanent de concertation entre le ministère de l'Intérieur et les partis politiques. Ce n'est pas juste à la veille des consultations électorales qu'il faut discuter ».
À noter que plusieurs candidatures ont été soumises à la Direction générale des élections (DGE) hier dimanche. Ce qui n'est pas le cas pour la liste de Me Moussa Diop, dont le mandataire a disparu avant d'annoncer son soutien au Pastef, (Patriotes Africains du Sénégal pour le Travail, l’Ethique et la Fraternité, rapporte le journal Libération.
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