Pierre Goudiaby Atépa ne compte pas se résigner suite à l’invalidation de bon nombre de ses parrainages lui ôtant toute espérance de succéder au Président Macky Sall en 2019. Pour le faire bien comprendre aux sept (7) Sages, l’homme d’affaire, candidat déclaré à la présidentielle de 2019 a décidé de commettre des d’avocats, afin de vilipender cette mesure du Conseil Constitutionnel.
Mais ce combat, M. Goudiaby ne le mènera pas seul car, informe l’architecte, 22 ténors de l’opposition ont décidé de se joindre à lui afin de disposer de plus de chances de briguer la magistrature suprême.
«Nous avons décidé de commettre des avocats pour attaquer devant la justice la pertinence ou l’impertinence du rejet de notre candidature. Ce collectif des candidats à la présidentielle est composé de 22 candidats. Et ces derniers ont également souhaité que les avocats que j’ai commis puissent également les représenter. Et c’est la raison pour laquelle nous avons pris deux avocats (Mes Demba Ciré Bathily et Me Ciré Clédor Ly) qui vont défendre notre cause mais aussi celles des 21 autres candidats», a-t-il martelé.
Selon lui, si les juridictions nationales ne se prononcent pas sur la question, ce sera celles régionales, voire même internationales qui seront saisies pour que «cette injustice» soit réparée.
Mais ce combat, M. Goudiaby ne le mènera pas seul car, informe l’architecte, 22 ténors de l’opposition ont décidé de se joindre à lui afin de disposer de plus de chances de briguer la magistrature suprême.
«Nous avons décidé de commettre des avocats pour attaquer devant la justice la pertinence ou l’impertinence du rejet de notre candidature. Ce collectif des candidats à la présidentielle est composé de 22 candidats. Et ces derniers ont également souhaité que les avocats que j’ai commis puissent également les représenter. Et c’est la raison pour laquelle nous avons pris deux avocats (Mes Demba Ciré Bathily et Me Ciré Clédor Ly) qui vont défendre notre cause mais aussi celles des 21 autres candidats», a-t-il martelé.
Selon lui, si les juridictions nationales ne se prononcent pas sur la question, ce sera celles régionales, voire même internationales qui seront saisies pour que «cette injustice» soit réparée.
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