Action pour les Droits Humains et l'Amitié (ADHA) tire sur la sonnette d'alarme par rapport à la recrudescence de la migration irrégulière. Selon les autorités compétentes, 89 candidats à la migration irrégulière avaient été interpellés pour des besoins d'enquête lundi 11 mars 2019 à Toubacouta dans la région de Fatick.
En effet, après investigations, l'embarcation provenant d'Elinkine pour un voyage vers l'Europe, avait des difficultés et s'est finalement échouée à Dionewar, sous l'assistance de la population et de la gendarmerie. À cela, s'ajoute, l'arrêt à Oujda au Maroc de 7 personnes suspectées d'être des passeurs dont deux Marocains et cinq subsahariens et 81 candidats
subsahariens à la migration clandestine, dont 26 femmes et 7 enfants.
"Cette situation doit nous pousser à nous interroger sur l'efficacité de la politique migratoire en Afrique. Malgré les accords européens destinés à dissuader de telles traversées, le rythme de départs des migrants s'est accéléré. Face à cette situation alarmante de désespoir, l'ADHA dénonce jusqu'à la dernière énergie l'absence de politique efficace pour faire face aux phénomènes migratoires et rappelle que ce sont les pays africains qui assument l’essentiel du fardeau de la migration et par conséquent, payent le plus lourd tribut", peut-on lire dans un communiqué de ladite structure parvenu à la rédaction.
L'Adha préconise de s’attaquer aux causes profondes poussant les personnes à quitter leur pays; d'élaborer un cadre stratégique pour la politique migratoire en Afrique qui pourrait contribuer à relever les défis posés par les migrations et à assurer; d'améliorer la coopération et la coordination entre les États dans les sous-régions et les régions en vue de faciliter la libre circulation à l’échelle bilatérale, sous régionale et régionale.
En effet, après investigations, l'embarcation provenant d'Elinkine pour un voyage vers l'Europe, avait des difficultés et s'est finalement échouée à Dionewar, sous l'assistance de la population et de la gendarmerie. À cela, s'ajoute, l'arrêt à Oujda au Maroc de 7 personnes suspectées d'être des passeurs dont deux Marocains et cinq subsahariens et 81 candidats
subsahariens à la migration clandestine, dont 26 femmes et 7 enfants.
"Cette situation doit nous pousser à nous interroger sur l'efficacité de la politique migratoire en Afrique. Malgré les accords européens destinés à dissuader de telles traversées, le rythme de départs des migrants s'est accéléré. Face à cette situation alarmante de désespoir, l'ADHA dénonce jusqu'à la dernière énergie l'absence de politique efficace pour faire face aux phénomènes migratoires et rappelle que ce sont les pays africains qui assument l’essentiel du fardeau de la migration et par conséquent, payent le plus lourd tribut", peut-on lire dans un communiqué de ladite structure parvenu à la rédaction.
L'Adha préconise de s’attaquer aux causes profondes poussant les personnes à quitter leur pays; d'élaborer un cadre stratégique pour la politique migratoire en Afrique qui pourrait contribuer à relever les défis posés par les migrations et à assurer; d'améliorer la coopération et la coordination entre les États dans les sous-régions et les régions en vue de faciliter la libre circulation à l’échelle bilatérale, sous régionale et régionale.
Autres articles
-
UGB : le campus social ouvre ce mardi 1er octobre
-
Vidéo virale sur les réseaux sociaux : le centre de santé de Kaffrine apporte sa version des faits et dénonce une agression verbale
-
Centre de santé Saliou Ndao de Kaffrine : une vidéo sur l'agression verbale d'un médecin fait le tour des réseaux sociaux
-
Abdoul Mbow sur la sortie du PM : « Sonko est tout le temps en train de manipuler les Sénégalais »
-
Situation de la rage au Sénégal : 45 cas enregistrés Situation de la rage au Sénégal : 45 cas enregistrés entre janvier et septembre 2024 (Dr Anta Cheikh Guèye)