Trois mille kilogrammes (3000) soit 3 tonnes de chanvre indien en quelques semaines et des dizaines de kilo de drogue dure: c'est le constat fait dernièrement sous nos cieux. Dans les hautes sphères de l’Etat comme dans les chaumières mal éclairées du Sénégal des profondeurs, les questions fusent de partout: Comment la drogue transite Qu'est ce qui explique une telle avalanche de drogue au Sénégal ? Construit pour renforcer l’intégration économique régionale, le corridor Bamako-Dakar est devenu aujourd’hui la route de la drogue. Un haut lieu de trafic de produits illicites facilités par l’assouplissement des différents postes de contrôle qui ont drastiquement été réduit à trois : Kidira – Kaolack – Dakar.
Une mesure dictée, selon le commissaire Mame Seydou Ndour, Directeur de l’Office Central de Répression du Trafic Illicite Stupéfiants (OCTRIS), par le respect par le Sénégal de la convention de la CDEAO sur la libre circulation des personnes et des biens. « L’assouplissement de ces postes de contrôle, s’explique aussi par la nécessaire prise en compte de la compétitivité du port de Dakar, qui est concurrencé par d’autres ports de pays de la sous-région » révèle le commissaire Mame Seydou Ndour.
En effet dans la nuit du 4 au 5 mars, les éléments de Brigade de recherches du commissariat de Yeumbeul ont réussi un joli coup de filet, en mettant la main sur une quantité forte de 1,5 tonne de chanvre indien composé de la variété « niakoy ». dans la nuit du 12 mai, les limiers de Rufisque ont saisi 230 blocs de 2 kg chacun, soit un poit de 260 kg de chanvre indien. Le 14 mai, les gendarmes de Keur Massar se distinguent par la saisie de 800 kg de chanvre indien. Dans la nuit de 12 au 13 mai, 510 kg d’une valeur de 17 850 000F CFA également saisie par les gendarmes de Nguinth (région de Thiès). Le 25 avril 2014, c’est une baronne du trafic de drogue, la dame Bintou Diassy, qui échoue à Thiaroye dans le panier à salade des limiers de l’OCRTIS avec un restant de stock de chanvre indien de 18 kg en provenance du Mali. Selon « L’Observateur », dans le courant du mois de février ce chiffre est largement monté en flèche avec une saisie globale de 530,10 kg contre 172,45 kg saisie dans le courant du mois.
Une mesure dictée, selon le commissaire Mame Seydou Ndour, Directeur de l’Office Central de Répression du Trafic Illicite Stupéfiants (OCTRIS), par le respect par le Sénégal de la convention de la CDEAO sur la libre circulation des personnes et des biens. « L’assouplissement de ces postes de contrôle, s’explique aussi par la nécessaire prise en compte de la compétitivité du port de Dakar, qui est concurrencé par d’autres ports de pays de la sous-région » révèle le commissaire Mame Seydou Ndour.
En effet dans la nuit du 4 au 5 mars, les éléments de Brigade de recherches du commissariat de Yeumbeul ont réussi un joli coup de filet, en mettant la main sur une quantité forte de 1,5 tonne de chanvre indien composé de la variété « niakoy ». dans la nuit du 12 mai, les limiers de Rufisque ont saisi 230 blocs de 2 kg chacun, soit un poit de 260 kg de chanvre indien. Le 14 mai, les gendarmes de Keur Massar se distinguent par la saisie de 800 kg de chanvre indien. Dans la nuit de 12 au 13 mai, 510 kg d’une valeur de 17 850 000F CFA également saisie par les gendarmes de Nguinth (région de Thiès). Le 25 avril 2014, c’est une baronne du trafic de drogue, la dame Bintou Diassy, qui échoue à Thiaroye dans le panier à salade des limiers de l’OCRTIS avec un restant de stock de chanvre indien de 18 kg en provenance du Mali. Selon « L’Observateur », dans le courant du mois de février ce chiffre est largement monté en flèche avec une saisie globale de 530,10 kg contre 172,45 kg saisie dans le courant du mois.
Autres articles
-
Campagne de distribution de médicaments contre les MTN : And Gueusseum appelle à l'engagement de ses membres
-
Sénégalais morts à l'étranger : le bilan s'élève à 22 (liste des morts par pays)
-
Mali : un ressortissant sénégalais tué à Kéniéba
-
Kaolack : plusieurs cantines ravagées par un incendie au marché Guedj
-
Vacances de Noël fixées au 24 décembre à 18h par l'Ucad : la Coordination des étudiants Catholiques parle d'un "manque de considération"