Le Collectif National des Diplômés de la Pêche de l’Aquaculture (CNDPA) dénonce une discrimination dans le recrutement dans la Fonction publique. Il invite à cet effet les autorités à plus de transparence dans le traitement des dossiers.
« La situation que traversent les diplômés de la pêche, de l’aquaculture, sans emploi est extrêmement difficile. Nous sommes aujourd’hui abandonnés à nous-mêmes. Personne ne nous associe à quoi que ce soit. C’est comme si notre problème est virtuel. C’est pour cela que nous sollicitons plus de considération sur les recrutements annoncés par le chef de l’Etat », dénonce Malick Diouf leur porte-parole.
Le collectif manifeste aussi son mécontentement sur les quotas alloués au secteur de la pêche, de l’économie maritime durant ces dernières années. « Nous lançons une alerte au président de la République, au ministre des Pêches, de l’Economie maritime, au ministre de la Fonction publique de bien prendre en compte les étudiants formés pour combler le gap énorme constaté dans l’administration de pêche. Tout en sachant que ce secteur reste et demeure le principal pourvoyeur de devise sur l’économie », note M. Diouf au micro de Walf radio.
« La situation que traversent les diplômés de la pêche, de l’aquaculture, sans emploi est extrêmement difficile. Nous sommes aujourd’hui abandonnés à nous-mêmes. Personne ne nous associe à quoi que ce soit. C’est comme si notre problème est virtuel. C’est pour cela que nous sollicitons plus de considération sur les recrutements annoncés par le chef de l’Etat », dénonce Malick Diouf leur porte-parole.
Le collectif manifeste aussi son mécontentement sur les quotas alloués au secteur de la pêche, de l’économie maritime durant ces dernières années. « Nous lançons une alerte au président de la République, au ministre des Pêches, de l’Economie maritime, au ministre de la Fonction publique de bien prendre en compte les étudiants formés pour combler le gap énorme constaté dans l’administration de pêche. Tout en sachant que ce secteur reste et demeure le principal pourvoyeur de devise sur l’économie », note M. Diouf au micro de Walf radio.