Pour cela ce parti écrit à travers un communiqué signé Ndiaga SYLLA comme Directeur Exécutif National, « la nécessité de mettre en œuvre les réformes institutionnelles en vue de renforcer l’indépendance et les moyens de la Justice, de l’Administration et des corps de contrôle. Telle est la conviction profonde de l’Alliance Jëf Jël, c’est aussi ce que préconisent les Assises nationales ».
« Dans cette perspective, le Bureau politique estime qu’il est impératif d’instituer une Haute Autorité de la Justice (HAJ), détachée de l’autorité politique avec des pouvoirs renforcés comparés à ceux du Conseil Supérieur de la Magistrature. Cette instance qui gère la carrière des Magistrats serait uniquement composée de professionnels, magistrats. De même, la suppression du Ministère de la Justice et son remplacement par un Ministère chargé des Relations avec les Institutions (Judiciaires et Législatives) pourrait amplement suffire pour assurer les rapports fonctionnels entre les Pouvoirs. Ce ministère n’aurait qu’un droit de présence et une voix consultative aux délibérations de la Haute Autorité de la Justice (à l’exclusion des sessions consacrées aux questions disciplinaires) ».
« Egalement, le rattachement de la Cour des Comptes et de la Cour de répression de l’enrichissement illicite à la Haute Autorité de la Justice. De ce fait, l’autorité politique cesserait d’interférer dans le fonctionnement des Juridictions ».
« Dans cette perspective, le Bureau politique estime qu’il est impératif d’instituer une Haute Autorité de la Justice (HAJ), détachée de l’autorité politique avec des pouvoirs renforcés comparés à ceux du Conseil Supérieur de la Magistrature. Cette instance qui gère la carrière des Magistrats serait uniquement composée de professionnels, magistrats. De même, la suppression du Ministère de la Justice et son remplacement par un Ministère chargé des Relations avec les Institutions (Judiciaires et Législatives) pourrait amplement suffire pour assurer les rapports fonctionnels entre les Pouvoirs. Ce ministère n’aurait qu’un droit de présence et une voix consultative aux délibérations de la Haute Autorité de la Justice (à l’exclusion des sessions consacrées aux questions disciplinaires) ».
« Egalement, le rattachement de la Cour des Comptes et de la Cour de répression de l’enrichissement illicite à la Haute Autorité de la Justice. De ce fait, l’autorité politique cesserait d’interférer dans le fonctionnement des Juridictions ».