Les projets miniers ont une large empreinte environnementale qui, mal gérée, peut laisser un très lourd tribut aux communautés riveraines des sites d'exploitation et même au-delà, du fait des dommages causés sur l'environnement d'une manière générale.
La dégradation de l'écosystème est due à des politiques néfastes comme l'octroi de subvention dans l'agriculture intensive. "On parle beaucoup de mécanisation de l'agriculture au Sénégal. La terre a besoin de se régénérer, les ressources ont besoin de se régénérer. L'exploitation minière non contrôlée fait partie des facteurs de dégradation des écosystèmes", a dit l'ingénieur géologue Papa Alioune Badara Paye.
À l'en croire, l'environnement a des liens étroits avec les Objectifs de développement durable (ODD). "C'est tout un ensemble d'aspects qui sont liés à la préservation de la qualité de l'eau, que ce soit la restauration et la préservation de la biodiversité. Il y a plusieurs aspects qui sont liés aux ODD et qui ont des liens directs avec l'environnement".
"le code minier exige l'ouverture d'un compte pour couvrir les coûts de la mise en œuvre des programmes de réhabilitation. "
Dans le cadre légal, il y a la loi constitutionnelle n°2016-10 du 05 avril 2016 portant sur la révision de la Constitution sénégalaise, le Code de l'environnement (loi n°2001-01 du 15 janvier 2001) et son décret d'application n°2001-282 du 12 avril 2001 constituent la base de la législation nationale en matière environnementale et le code minier de 2016 et son décret d'application.
"Il y a tout un ensemble, un arsenal qui est utilisé pour les questions essentielles, que ce soit la pré-construction, l'exploitation et post-exploitation. Avoir des plans de gestion environnementale post-exploitation avant même le début de la construction, des fonds de fournitures, de fermetures suite de l'examen des plans de fermetures et de réhabilitation. Tous ces aspects, en réalité, sont déjà pris en compte dans le code de l'environnement", a précisé M. Paye.
Qui rappelle les dispositions de l’article 48 du code de l'environnement. D'après l'ingénieur géologue, "tout projet de développement ou activité susceptible de porter atteinte à l'environnement, de même que les politiques, plans, programmes, études régionales et sectorielles devront faire l'objet d'une évaluation environnementale".
Selon lui, il y a plusieurs types d'évaluation environnementale. " L'étude d'impact qui est le document le plus élaboré qu'on puisse avoir, qui examine les effets bénéfiques et néfastes du projet. Souvent au niveau du secteur minier, c'est une étude d'impact environnemental et social qui est requise avant démarrage du projet", a-t-il indiqué.
La dégradation de l'écosystème est due à des politiques néfastes comme l'octroi de subvention dans l'agriculture intensive. "On parle beaucoup de mécanisation de l'agriculture au Sénégal. La terre a besoin de se régénérer, les ressources ont besoin de se régénérer. L'exploitation minière non contrôlée fait partie des facteurs de dégradation des écosystèmes", a dit l'ingénieur géologue Papa Alioune Badara Paye.
À l'en croire, l'environnement a des liens étroits avec les Objectifs de développement durable (ODD). "C'est tout un ensemble d'aspects qui sont liés à la préservation de la qualité de l'eau, que ce soit la restauration et la préservation de la biodiversité. Il y a plusieurs aspects qui sont liés aux ODD et qui ont des liens directs avec l'environnement".
"le code minier exige l'ouverture d'un compte pour couvrir les coûts de la mise en œuvre des programmes de réhabilitation. "
Dans le cadre légal, il y a la loi constitutionnelle n°2016-10 du 05 avril 2016 portant sur la révision de la Constitution sénégalaise, le Code de l'environnement (loi n°2001-01 du 15 janvier 2001) et son décret d'application n°2001-282 du 12 avril 2001 constituent la base de la législation nationale en matière environnementale et le code minier de 2016 et son décret d'application.
"Il y a tout un ensemble, un arsenal qui est utilisé pour les questions essentielles, que ce soit la pré-construction, l'exploitation et post-exploitation. Avoir des plans de gestion environnementale post-exploitation avant même le début de la construction, des fonds de fournitures, de fermetures suite de l'examen des plans de fermetures et de réhabilitation. Tous ces aspects, en réalité, sont déjà pris en compte dans le code de l'environnement", a précisé M. Paye.
Qui rappelle les dispositions de l’article 48 du code de l'environnement. D'après l'ingénieur géologue, "tout projet de développement ou activité susceptible de porter atteinte à l'environnement, de même que les politiques, plans, programmes, études régionales et sectorielles devront faire l'objet d'une évaluation environnementale".
Selon lui, il y a plusieurs types d'évaluation environnementale. " L'étude d'impact qui est le document le plus élaboré qu'on puisse avoir, qui examine les effets bénéfiques et néfastes du projet. Souvent au niveau du secteur minier, c'est une étude d'impact environnemental et social qui est requise avant démarrage du projet", a-t-il indiqué.