Le contrôleur Ismaila Ndiaye, Directeur de la Maison d’Arrêt et de Correction (MAC) de Kolda (en Haute-Casamance, dans le sud du pays), a lancé un plaidoyer fort en faveur de la réinsertion professionnelle des mineurs incarcérés. Il souhaite voir l’établissement pénitentiaire doté d’ateliers de formation dans divers métiers, notamment la menuiserie métallique, la soudure et la fabrication de pavés. Son objectif est clair : permettre à chaque enfant libéré de quitter la prison avec un savoir-faire qui facilitera son insertion dans la société.
Selon M.Ndiaye, offrir aux jeunes détenus des formations qualifiantes est une nécessité absolue pour leur avenir. « Un mineur qui sort de prison avec un métier a plus de chances de se réinsérer socialement et professionnellement », a-t-il souligné.
Ce plaidoyer a trouvé un écho favorable auprès de la coordonnatrice de Enda Jeunesse Action, Madame Coumba Boye Sy, qui était en visite à la prison de Kolda pour faire un don au quartier des mineurs. Sensible à cette problématique, elle a promis de porter cette préoccupation à l’attention de ses partenaires. Mieux encore, elle estime que cette question doit être inscrite à l’ordre du jour d’une réunion du Comité Départemental de Protection de l’Enfant (CDPE), afin de trouver ensemble des solutions concrètes pour répondre à ce besoin crucial.
Cette initiative, si elle est concrétisée, pourrait offrir une seconde chance aux jeunes en conflit avec la loi et leur éviter de retomber dans la délinquance une fois libérés. La balle est désormais dans le camp des autorités et des partenaires pour donner un avenir meilleur à ces jeunes en détresse.
Selon M.Ndiaye, offrir aux jeunes détenus des formations qualifiantes est une nécessité absolue pour leur avenir. « Un mineur qui sort de prison avec un métier a plus de chances de se réinsérer socialement et professionnellement », a-t-il souligné.
Ce plaidoyer a trouvé un écho favorable auprès de la coordonnatrice de Enda Jeunesse Action, Madame Coumba Boye Sy, qui était en visite à la prison de Kolda pour faire un don au quartier des mineurs. Sensible à cette problématique, elle a promis de porter cette préoccupation à l’attention de ses partenaires. Mieux encore, elle estime que cette question doit être inscrite à l’ordre du jour d’une réunion du Comité Départemental de Protection de l’Enfant (CDPE), afin de trouver ensemble des solutions concrètes pour répondre à ce besoin crucial.
Cette initiative, si elle est concrétisée, pourrait offrir une seconde chance aux jeunes en conflit avec la loi et leur éviter de retomber dans la délinquance une fois libérés. La balle est désormais dans le camp des autorités et des partenaires pour donner un avenir meilleur à ces jeunes en détresse.
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