Depuis l’annonce du verdict qui ordonne de remettre Ousmane Sonko sur les listes électorales pour la présidentielle de 2024, les réactions pleuvent de partout. Me Juan Branco un des avocats de Sonko, s’est fendu dans un poste sur X. A l’en croire, rien est encore joué.
"Le Tribunal de Dakar, après celui de Ziguinchor, vient de trancher. Ousmane Sonko peut et doit être candidat. Les pourvois annoncés ne sont pas suspensifs. Ils ne pourraient faire obstacle à ce fait : Un peuple attend un homme. Un peuple va rencontrer cet homme. M. Sonko pourra être candidat. Nous sommes à deux mois du rétablissement de la souveraineté du peuple sénégalais. Malgré les interférences de l'Elysée. Malgré les instrumentalisations des parquets. Malgré les détentions qui n'ont pas arrêté de se multiplier. Nous sommes à deux mois de la liberté. Il est temps désormais d’ouvrir la porte au politique. De permettre à M. Sonko de faire campagne. De présenter et préparer un gouvernement qui luttera contre la pauvreté, le pillage des ressources, la corruption", a-t-il écrit.
Avant de poursuivre: "Mes glorieux confrères ont arraché ces décisions comme autant de roses précaires toujours craignant de se briser. Rien n'est joué. Il faut, désormais, les faire exécuter. S'assurer que le droit, encore et encore, sera respecté. Le 25 février 2024, je veux pouvoir être à vos côtés. Je veux pouvoir toucher une terre qui sentira la liberté. Je veux, enfin, prendre la main d'un homme appelé à présider votre destinée. Maintiens rekk. L'Histoire est à notre portée".
"Le Tribunal de Dakar, après celui de Ziguinchor, vient de trancher. Ousmane Sonko peut et doit être candidat. Les pourvois annoncés ne sont pas suspensifs. Ils ne pourraient faire obstacle à ce fait : Un peuple attend un homme. Un peuple va rencontrer cet homme. M. Sonko pourra être candidat. Nous sommes à deux mois du rétablissement de la souveraineté du peuple sénégalais. Malgré les interférences de l'Elysée. Malgré les instrumentalisations des parquets. Malgré les détentions qui n'ont pas arrêté de se multiplier. Nous sommes à deux mois de la liberté. Il est temps désormais d’ouvrir la porte au politique. De permettre à M. Sonko de faire campagne. De présenter et préparer un gouvernement qui luttera contre la pauvreté, le pillage des ressources, la corruption", a-t-il écrit.
Avant de poursuivre: "Mes glorieux confrères ont arraché ces décisions comme autant de roses précaires toujours craignant de se briser. Rien n'est joué. Il faut, désormais, les faire exécuter. S'assurer que le droit, encore et encore, sera respecté. Le 25 février 2024, je veux pouvoir être à vos côtés. Je veux pouvoir toucher une terre qui sentira la liberté. Je veux, enfin, prendre la main d'un homme appelé à présider votre destinée. Maintiens rekk. L'Histoire est à notre portée".
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