
Le Conseil constitutionnel a déclaré anticonstitutionnelle la loi interprétative de la loi d’amnistie adoptée par l’Assemblée nationale le 2 avril. Cette décision invalide de facto toute tentative d’extension de l’amnistie initiale, notamment sur les faits liés aux violences politiques survenues entre mars 2021 et février 2024.
Cette décision, au retentissement aussi bien juridique que politique, n’a pas tardé à susciter de nombreuses réactions. Parmi les premières voix à se faire entendre, Amadou Ba, député du parti Pastef et auteur de la loi interprétative invalidée. Dans une déclaration publiée sur Facebook, il écrit : « Fin de l'impunité pour les crimes de meurtres, assassinats et tortures. Merci au Conseil constitutionnel. »
Cette décision, au retentissement aussi bien juridique que politique, n’a pas tardé à susciter de nombreuses réactions. Parmi les premières voix à se faire entendre, Amadou Ba, député du parti Pastef et auteur de la loi interprétative invalidée. Dans une déclaration publiée sur Facebook, il écrit : « Fin de l'impunité pour les crimes de meurtres, assassinats et tortures. Merci au Conseil constitutionnel. »
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