L'intégrité physique des journalistes et la liberté d'informer sans entrave, le maintien de l'ordre public tels sont les sujets qui ont motivé la Convention des jeunes reporters du Sénégal (CJRS ) à concilier le travail des professionnels des médias et des forces de sécurité pour une relation de travail saine et respectueuse.
« Je suis venu ici pour représenter Aliou Sall Ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique à cet important atelier de communication et d’échange entre d’une part des acteurs des médias et d’autre part des forces de défense et de sécurité. Vous savez, ce sont deux familles qui sont obligées de travailler ensemble. Dans un pays comme le Sénégal, un pays considéré comme une démocratie majeure, où la liberté d’expression est exercée depuis longtemps et heureusement que la convention a compris les enjeux pour placer cette thématique, comment mettre en place un cadre de concertation, entre les FDS et les médias », a déclaré Ousseynou Dieng Directeur de la Communication.
Selon le Directeur du bureau régional de Reporters sans frontières (RSF) pour l'Afrique de l'Ouest, entre 2021 et 2023, il y a eu une soixantaine d’agression, de détention et d’interpellation de journalistes au Sénégal. « Nous avions publié un rapport en juin dernier. Et ce rapport était un rapport de monitoring et d’analyse du journalisme sénégalais entre 2021 et 2023 et parmi les chiffres clés, il y a eu une soixantaine d’agression, de détention et d’interpellation de journalistes entre 2021 et 2023. Parmi ces chiffres, il y a 19 qui apparaissaient comme étant le fait des FDS », a déclaré Sadibou Marone.
Au regret de constater que la relation entre les professionnels des médias et les FDS est souvent heurtée, Migui Maram Ndiaye le Président de la Convention des Jeunes Reporters du Sénégal (CJRS) a initié cette activité liée en atelier de renforcement de capacités et de sensibilisations.
« Comme vous l'avez constaté la convention a initié avec son partenaire RSF également soutenue par son partenaire allemand, nous avons ensemble initié cette activité liée en atelier de renforcement de capacités de sensibilisations avec les forces de défense et de sécurité. Ce n'est pas un secret au Sénégal. Il était rare par le passé d'assister à un événement sans qu'un professionnel des médias, soit arrêté interpellé ou même parfois brutalisé par les forces de défense et de sécurité. Nous savons également que nos responsabilités étaient impliquées partagées que ce soit nous en tant que professionnels des médias, mais également les forces de défense et de sécurité. C'est pourquoi, depuis lors, nous avons initié pas mal d'activités…, pour voir comment améliorer une relation », a déclaré Migui Marame Ndiaye.
Selon lui, « le but, c'est de permettre au reporter de faire convenablement son travail sans pour autant perturber les forces de défense et de sécurité. Parce que nous avons deux missions garanties par la Constitution, nous devons être ensemble sur le terrain pour faire convenablement notre travail dans l'intérêt supérieur de la nation ».
« Je suis venu ici pour représenter Aliou Sall Ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique à cet important atelier de communication et d’échange entre d’une part des acteurs des médias et d’autre part des forces de défense et de sécurité. Vous savez, ce sont deux familles qui sont obligées de travailler ensemble. Dans un pays comme le Sénégal, un pays considéré comme une démocratie majeure, où la liberté d’expression est exercée depuis longtemps et heureusement que la convention a compris les enjeux pour placer cette thématique, comment mettre en place un cadre de concertation, entre les FDS et les médias », a déclaré Ousseynou Dieng Directeur de la Communication.
Selon le Directeur du bureau régional de Reporters sans frontières (RSF) pour l'Afrique de l'Ouest, entre 2021 et 2023, il y a eu une soixantaine d’agression, de détention et d’interpellation de journalistes au Sénégal. « Nous avions publié un rapport en juin dernier. Et ce rapport était un rapport de monitoring et d’analyse du journalisme sénégalais entre 2021 et 2023 et parmi les chiffres clés, il y a eu une soixantaine d’agression, de détention et d’interpellation de journalistes entre 2021 et 2023. Parmi ces chiffres, il y a 19 qui apparaissaient comme étant le fait des FDS », a déclaré Sadibou Marone.
Au regret de constater que la relation entre les professionnels des médias et les FDS est souvent heurtée, Migui Maram Ndiaye le Président de la Convention des Jeunes Reporters du Sénégal (CJRS) a initié cette activité liée en atelier de renforcement de capacités et de sensibilisations.
« Comme vous l'avez constaté la convention a initié avec son partenaire RSF également soutenue par son partenaire allemand, nous avons ensemble initié cette activité liée en atelier de renforcement de capacités de sensibilisations avec les forces de défense et de sécurité. Ce n'est pas un secret au Sénégal. Il était rare par le passé d'assister à un événement sans qu'un professionnel des médias, soit arrêté interpellé ou même parfois brutalisé par les forces de défense et de sécurité. Nous savons également que nos responsabilités étaient impliquées partagées que ce soit nous en tant que professionnels des médias, mais également les forces de défense et de sécurité. C'est pourquoi, depuis lors, nous avons initié pas mal d'activités…, pour voir comment améliorer une relation », a déclaré Migui Marame Ndiaye.
Selon lui, « le but, c'est de permettre au reporter de faire convenablement son travail sans pour autant perturber les forces de défense et de sécurité. Parce que nous avons deux missions garanties par la Constitution, nous devons être ensemble sur le terrain pour faire convenablement notre travail dans l'intérêt supérieur de la nation ».