C’est à peine s’il ne veut plus le voir. Le chef de l’Etat serait très déçu des états de services du Général Pathé Seck à la tête du ministère de l’Intérieur. Il ne s’en cache pas. Il en discute parfois avec ses très proches collaborateurs. PressAfrik.com a pu avoir les confidences d’un des proches collaborateurs du président de la République. Lesquelles confidences ont été corroborées de hauts gradés.
D’aucun estiment que la nomination du Général Pathé Seck n’a pas été bien mûrie parce qu’il fait l’objet déjà d’une enquête de la CENTIF sur un chèque de 50 millions de francs CFA. Au niveau de la gendarmerie, cela se murmure dans les salons et cercles messes des officiers. La clameur a tellement pris de l’ampleur que cela a atterri au palais. Mais, cette enquête ne pesait pas assez lourd aux yeux du chef de l’Etat.
Le président de la République a été estomaqué par les nombreux cas d’agression à Dakar et sa banlieue mais aussi des actes tendant à nuire la sureté ou la sécurité publique. «Le président de la République comptait beaucoup la rigueur et la fermeté de gendarme pour restaurer l’Etat de droit. Il est à ce poste plus pour assurer la sécurité des citoyens que pour les élections. Mais Pathé Seck a vraiment failli», a soufflé un haut gradé. Non seulement, il n’a pas assuré mais ses maladresses ont failli réveiller les vieux démons de la division entre la police et la gendarmerie en latence depuis des années.
La goutte de trop a été l’affaire du trafic de drogue à l’Office centrale de répression du trafic de stupéfiant (OCRTIS). Un dossier qu’il a très mal géré selon de hauts gradés. Selon lui, le président de la République et une bonne partie de ses conseillers ne peuvent pas comprendre qu’une affaire de cette ampleur suinte et fini par couler à flot de cette manière jusqu’à entacher l’image de tout un corps, de toute république. «Depuis février, il était au courant et il n’avait pas su prendre le taureau par les cornes et vider l’affaire une bonne fois en prenant les mesures nécessaires», a-t-il encore regretté toujours sous le couvert de l’anonymat.
Nos sources sont tellement catégoriques et péremptoires que le général Pathé Seck n’a aucune chance d’échapper au limogeage.
D’aucun estiment que la nomination du Général Pathé Seck n’a pas été bien mûrie parce qu’il fait l’objet déjà d’une enquête de la CENTIF sur un chèque de 50 millions de francs CFA. Au niveau de la gendarmerie, cela se murmure dans les salons et cercles messes des officiers. La clameur a tellement pris de l’ampleur que cela a atterri au palais. Mais, cette enquête ne pesait pas assez lourd aux yeux du chef de l’Etat.
Le président de la République a été estomaqué par les nombreux cas d’agression à Dakar et sa banlieue mais aussi des actes tendant à nuire la sureté ou la sécurité publique. «Le président de la République comptait beaucoup la rigueur et la fermeté de gendarme pour restaurer l’Etat de droit. Il est à ce poste plus pour assurer la sécurité des citoyens que pour les élections. Mais Pathé Seck a vraiment failli», a soufflé un haut gradé. Non seulement, il n’a pas assuré mais ses maladresses ont failli réveiller les vieux démons de la division entre la police et la gendarmerie en latence depuis des années.
La goutte de trop a été l’affaire du trafic de drogue à l’Office centrale de répression du trafic de stupéfiant (OCRTIS). Un dossier qu’il a très mal géré selon de hauts gradés. Selon lui, le président de la République et une bonne partie de ses conseillers ne peuvent pas comprendre qu’une affaire de cette ampleur suinte et fini par couler à flot de cette manière jusqu’à entacher l’image de tout un corps, de toute république. «Depuis février, il était au courant et il n’avait pas su prendre le taureau par les cornes et vider l’affaire une bonne fois en prenant les mesures nécessaires», a-t-il encore regretté toujours sous le couvert de l’anonymat.
Nos sources sont tellement catégoriques et péremptoires que le général Pathé Seck n’a aucune chance d’échapper au limogeage.