C’est une amie commune, Bour Guewël, qui me l’a présenté chez moi. Le lendemain, il m’a fait part de sa demande en mariage. Comme j’ai été réticente, je m’en suis ouverte à mes parents qui ont dit niet catégoriquement. Ils m’ont signifié que jamais ils ne donneront la main de leur fille à un griot», a-t-elle expliqué. Awa Sow s’attendait à une relation qui n’était qu’une passade, mais l’artiste se serait accroché et a annoncé, en premier, leur concubinage, puis leur mariage. « J’ignore ses motivations, mais je n’approuve pas cette stratégie.
On ne s’est vu que trois fois. Je me demande s’il cherche à faire sa promotion ou à me détruire», lâche-t-elle. Du côté des proches de la dame, on est convaincu que c’est l’artiste qui a contacté le site qui a diffusé l'information. « Face à cet acharnement dont elle est victime de la part de l’artiste, Awa l’a appelé en ma présence, en activant le haut parleur. Elle a insisté pour connaître les raisons d’un tel agissement, mais le musicien lui a dit que c’était une manière de faire fléchir ses parents et de la pousser à l’épouser. Je l’ai même entendu dire qu’il ne la lâchera que lorsqu’elle aura cédé», si on en croit Makhou Diop, un proche de la dame. Pour cette fois-ci, Mapenda, connu pour être un tombeur devant l'éternel, devra donc repasser. " En amour; il faut toujours un perdant ", chantait Julio Iglesias...
Source : seneweb.com