Le dossier de Mona Alexia Flory Vodi connue sou le nom de Alexia Kanté, l’ivoirienne qui faisait grossir les fesses des femmes sénégalaises à l’aide d’injections, a été vidé ce lundi. Rendant son verdict, le tribunal des flagrants délits de Dakar a condamné l’ex-femme de feu Dj Arafat à six (6) mois de prison dont un mois ferme pour "exercice illégal d'une profession réglementée et mise en danger de la vie d’autrui".
Le tribunal a également ordonné la confiscation de son matériel saisi. Agée d’une trentaine d’années, Alexia Kanté a été arrêtée à Dakar en même temps que son mari, alors qu’elle était venue, pour la deuxième fois, effectuer des chirurgies esthétiques à des femmes sénégalais notamment celles de la jet-set.
Appelée à la barre ce matin, la jeune dame persiste sur sa déclaration faite lors de l’enquête préliminaire. « J’ai eu mon diplôme en beauté esthétique dans un institut à Paris. J’ai mon entreprise en Côte d’Ivoire. J’ai mon certificat de beauté esthétique. La formation a duré deux mois », a-t-elle argué.
Poursuivant, elle a rappelé que lors de son premier voyage au Sénégal, c’était pour un remodelage du nez d’une femme . « La première fois au Sénégal, c’était au niveau du nez. C’est une injection que je fais sur le nez pour que ça prenne forme. Mais l’injection est cutanée », s'est-elle défendue soulignant que qu’elle aide « les femmes qui veulent être belles ou qui sont vieilles et qui veulent rajeunir ».
Le représentant du ministère public, pour sa part, est d’avis que la prévenue a reconnu qu’elle fait des anesthésies ; ce qui est un « acte médical illégal ». « Elle le fait dans une chambre d’hôtel, sans aucune précaution », a souligné le procureur qui a requis deux ans de prison dont six mois ferme.
Elle a été finalement condamnée à six mois dont un mois ferme.
Le tribunal a également ordonné la confiscation de son matériel saisi. Agée d’une trentaine d’années, Alexia Kanté a été arrêtée à Dakar en même temps que son mari, alors qu’elle était venue, pour la deuxième fois, effectuer des chirurgies esthétiques à des femmes sénégalais notamment celles de la jet-set.
Appelée à la barre ce matin, la jeune dame persiste sur sa déclaration faite lors de l’enquête préliminaire. « J’ai eu mon diplôme en beauté esthétique dans un institut à Paris. J’ai mon entreprise en Côte d’Ivoire. J’ai mon certificat de beauté esthétique. La formation a duré deux mois », a-t-elle argué.
Poursuivant, elle a rappelé que lors de son premier voyage au Sénégal, c’était pour un remodelage du nez d’une femme . « La première fois au Sénégal, c’était au niveau du nez. C’est une injection que je fais sur le nez pour que ça prenne forme. Mais l’injection est cutanée », s'est-elle défendue soulignant que qu’elle aide « les femmes qui veulent être belles ou qui sont vieilles et qui veulent rajeunir ».
Le représentant du ministère public, pour sa part, est d’avis que la prévenue a reconnu qu’elle fait des anesthésies ; ce qui est un « acte médical illégal ». « Elle le fait dans une chambre d’hôtel, sans aucune précaution », a souligné le procureur qui a requis deux ans de prison dont six mois ferme.
Elle a été finalement condamnée à six mois dont un mois ferme.