La marche des enseignants des syndicats représentatifs s’est tenue dans la région de Thiès ce matin. Ce, pour exiger à l’Etat de meilleures conditions de vie et de travail. Si l’on en croit au secrétaire général national du Sels et porte-parole du collectif le gouvernement n'a pas profité de cette année d'accalmie pour appliquer les accords.
Souleymane Diallo : «Thiès capitale de la contestation, capitale du moment syndical sénégalais et même de l’Afrique Occidental qui regroupe accueille aujourd’hui des milliers d’enseignants pour protester contre les mauvaises conditions de travail des enseignants mais surtout pour relèvement substantiel de l’indemnité de logement dont les enseignants sont victimes, comparés des autres agents de l’Etat également pour l’application de tous les accords signés avec le gouvernement, exiger également la revalorisation de la fonction enseignante, le respect des enseignants, de meilleurs conditions d’apprentissage pour les enfants, un meilleur environnement scolaire et exiger également une qualité de l’éducation».
Le porte-parole du collectif de préciser que : «Nous revendiquons depuis des années, nous sommes restés un (1) an pensant que le gouvernement aller profiter de cette année d’accalmie pour appliquer les accords mais un (1) an après, nous avons constaté ce statuquo. Qu’on soit en année électorale ou pré-électorale ce n’’est pas essentiel pour nous».
Souleymane Diallo : «Thiès capitale de la contestation, capitale du moment syndical sénégalais et même de l’Afrique Occidental qui regroupe accueille aujourd’hui des milliers d’enseignants pour protester contre les mauvaises conditions de travail des enseignants mais surtout pour relèvement substantiel de l’indemnité de logement dont les enseignants sont victimes, comparés des autres agents de l’Etat également pour l’application de tous les accords signés avec le gouvernement, exiger également la revalorisation de la fonction enseignante, le respect des enseignants, de meilleurs conditions d’apprentissage pour les enfants, un meilleur environnement scolaire et exiger également une qualité de l’éducation».
Le porte-parole du collectif de préciser que : «Nous revendiquons depuis des années, nous sommes restés un (1) an pensant que le gouvernement aller profiter de cette année d’accalmie pour appliquer les accords mais un (1) an après, nous avons constaté ce statuquo. Qu’on soit en année électorale ou pré-électorale ce n’’est pas essentiel pour nous».