Dans un communiqué parvenu à PressAfrik, la BAD a informé qu'"en marge des réunions, les 27 et 28 mai, le groupe de travail des OSC de la BAD a organisé un atelier de deux jours". Dont l'objectif "était de renforcer les capacités de la société civile sur les politiques de la BAD et de s'engager stratégiquement avec le conseil d'administration et la direction de la BAD sur des questions telles que la responsabilité, la mise à jour des systèmes de sauvegarde intégrés (ISS) et sa mise en œuvre, l'engagement des OSC dans les assemblées annuelles, et les consultations inclusives sur la révision de la politique énergétique".
Et à cet effet, informe le communiqué de la BAD, "au vu des résultats des assemblées annuelles, le groupe de travail des OSC de la BAD demande également à la BAD d'accorder une priorité urgente aux demandes suivantes :
"1.Garantir l'inclusion des voix de la société civile dans les assemblées annuelles de la BAD, en rétablissant le Forum des OSC (comme le font d'autres banques de développement) tout en garantissant une participation démocratique, libre et sûre. Les organisations de la société civile travaillent avec les communautés pour les sensibiliser et leur donner les moyens de relever les défis auxquels elles sont confrontées. L'engagement des OSC favorisera la responsabilité, la collaboration et l'inclusion dans les politiques, les stratégies et la mise en œuvre des projets de la banque".
"2.Adopter une approche multipartite dans la révision de la politique énergétique de la BAD. Les organisations de la société civile devraient être impliquées dans le processus d'examen et la mise en œuvre de la politique énergétique. La politique devrait s'aligner sur l'Agenda 2030 des Nations unies pour le développement durable, soutenir l'objectif de l'Accord de Paris de limiter l'augmentation de la température à 1,5°C par rapport aux niveaux préindustriels, et comporter des garanties pour assurer une transition énergétique socialement juste pour tous les Africains".
"3.Déployer des mécanismes pour s'assurer que l'accès à l'énergie propre profite aux communautés et pas seulement aux industries. La banque doit s'assurer que la politique énergétique inclut un cadre pour une clause de partage des bénéfices sur les partenariats public-privé pour les subventions et les prêts non souverains sur le transfert de technologie et de compétences pour les communautés et les parties prenantes locales".
Cette liste des recommandations est loin d'être exhaustive. Car sur la note, il est également fait état de la révision de la politique de divulgation et d'accès à l'information, l'allocation des ressources adéquates pour la mise en œuvre de l'ISS mis à jour, engagement significatif de la BAD avec les personnes handicapées et les organisations de personnes handicapées entre autres.
Et à cet effet, informe le communiqué de la BAD, "au vu des résultats des assemblées annuelles, le groupe de travail des OSC de la BAD demande également à la BAD d'accorder une priorité urgente aux demandes suivantes :
"1.Garantir l'inclusion des voix de la société civile dans les assemblées annuelles de la BAD, en rétablissant le Forum des OSC (comme le font d'autres banques de développement) tout en garantissant une participation démocratique, libre et sûre. Les organisations de la société civile travaillent avec les communautés pour les sensibiliser et leur donner les moyens de relever les défis auxquels elles sont confrontées. L'engagement des OSC favorisera la responsabilité, la collaboration et l'inclusion dans les politiques, les stratégies et la mise en œuvre des projets de la banque".
"2.Adopter une approche multipartite dans la révision de la politique énergétique de la BAD. Les organisations de la société civile devraient être impliquées dans le processus d'examen et la mise en œuvre de la politique énergétique. La politique devrait s'aligner sur l'Agenda 2030 des Nations unies pour le développement durable, soutenir l'objectif de l'Accord de Paris de limiter l'augmentation de la température à 1,5°C par rapport aux niveaux préindustriels, et comporter des garanties pour assurer une transition énergétique socialement juste pour tous les Africains".
"3.Déployer des mécanismes pour s'assurer que l'accès à l'énergie propre profite aux communautés et pas seulement aux industries. La banque doit s'assurer que la politique énergétique inclut un cadre pour une clause de partage des bénéfices sur les partenariats public-privé pour les subventions et les prêts non souverains sur le transfert de technologie et de compétences pour les communautés et les parties prenantes locales".
Cette liste des recommandations est loin d'être exhaustive. Car sur la note, il est également fait état de la révision de la politique de divulgation et d'accès à l'information, l'allocation des ressources adéquates pour la mise en œuvre de l'ISS mis à jour, engagement significatif de la BAD avec les personnes handicapées et les organisations de personnes handicapées entre autres.
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