«A 24 heures de l’ouverture des salles de classes pour les élèves, la balle est aujourd’hui dans le camp du gouvernement si réellement on veut une année scolaire apaisée». L’assurance est faite par le Secrétaire général du Saemss-Cusems.
En ce sens, Saourou Sène déplore que : «Rien n’a été fait durant les vacances. C’est la raison pour laquelle pour se rattraper, ils ont convoqué des rencontres à Saly. C’est des rencontres qui servaient tout simplement à revenir encore sur des discours».
Et à l’en croire, «à la même période, l’année dernière, ils étaient au plus haut niveau parce qu’ils avaient rencontré le chef de l’Etat». «A la veille de l’année scolaire, l’année dernière, en ce moment précis, on était à la présidence et le président de la République avait pris des mesures phares qu’on avait baptisé à l’époque: «les 14 mesures présidentielles. Et en fin de compte rien. C’est la raison pour laquelle nous sommes tout à fait sceptiques», formule le syndicaliste.
Le Secrétaire général du SAEMS / CUSEMES qui appelle le gouvernement «à tirer les leçons de tous les discours qu’ils ont tenu pour régler définitivement le problème du protocole d’accord qui (les) lie», croit que «c’est là où se trouve le salut de l’école Sénégalaise».
En ce sens, Saourou Sène déplore que : «Rien n’a été fait durant les vacances. C’est la raison pour laquelle pour se rattraper, ils ont convoqué des rencontres à Saly. C’est des rencontres qui servaient tout simplement à revenir encore sur des discours».
Et à l’en croire, «à la même période, l’année dernière, ils étaient au plus haut niveau parce qu’ils avaient rencontré le chef de l’Etat». «A la veille de l’année scolaire, l’année dernière, en ce moment précis, on était à la présidence et le président de la République avait pris des mesures phares qu’on avait baptisé à l’époque: «les 14 mesures présidentielles. Et en fin de compte rien. C’est la raison pour laquelle nous sommes tout à fait sceptiques», formule le syndicaliste.
Le Secrétaire général du SAEMS / CUSEMES qui appelle le gouvernement «à tirer les leçons de tous les discours qu’ils ont tenu pour régler définitivement le problème du protocole d’accord qui (les) lie», croit que «c’est là où se trouve le salut de l’école Sénégalaise».