Malgré l'existence de la maladie de Covid-19, les acteurs de la lutte ont trouvé un accord avec les autorités pour l'ouverture de la saison à partir du 1er octobre 2021. Cette nouvelle a été annoncée par le président du Commission nationale de gestion de la lutte (Cng), Bira Sène. «Nous nous sommes retrouvés au siège du Cng de lutte à l'arène nationale pour examiner la reprise des galas de lutte. La saison 2020-2021 à été écourtée à cause de la pandémie de coronavirus. Et après concertation avec les autorités, le ministre des Sports Matar Ba et le gouverneur de la région de Dakar, nous nous sommes entendus pour la reprise des galas de lutte qui étaient déjà programmés», a déclaré Bira Sène dans les colonnes du journal L'As.
Pour une bonne reprise des activités dans les deux stades dédiés à cette discipline, le président du Cng pose des préalables. Selon lui, pour accéder au stade, il faut impérativement un Pass sanitaire. «Il a été retenu également de respecter les mesures barrières, en commençant par la vaccination, le port du masque, le lavage des mains et la distanciation physique. Forts de ça, nous avions tenu une réunion hier ici même et nous avons convoqué les promoteurs aujourd'hui pour qu'on essaie de voir ensemble les modalités pratiques pour la reprise et également pour que chacun puisse prendre une date pour ses activités», a-t-il ajouté.
Dans le souci d'éviter tout télescopage entre les choix des dates, le successeur de Alioune Sarr a catégorisé les promoteurs qui doivent organiser les combats. Pour lui, les promoteurs qui avaient déjà eu des galas programmés et régularisés ont la primeur. «Nous avons d'abord donné le choix aux promoteurs qui avaient déjà régularisé et qui avaient arrêté, certains à 24 heures de leur galas, d'autres à une semaine ou un mois, de prendre des dates durant la fourchette allant du 1er octobre au 15 novembre. Ceux qui étaient impactés devaient organiser ces 23 galas durant une courte période de 35 jours. Cette fois-ci, pour alléger le choix, nous leur avons offert 75 jours pour qu'ils prennent des dates», a-t-il expliqué.
Il a tenu également à préciser que les promoteurs ainsi que les lutteurs déjà engagés ne vont pas acheter de nouvelles licences. «Nous avons donné la possibilité aux promoteurs, aux managers, aux lutteurs qui sont impactés et qui se trouvent dans ce lot-là de continuer à dé rouler leurs activités sans ache ter une nouvelle licence jusqu'au 15 décembre. Passé ce délai, ils seront obligés d'acheter une nouvelle licence. Nous avons également dit aux promoteurs de veiller à ce qu'après la prise des dates, les combat soient réalisés», a-t-il conclu.
Pour une bonne reprise des activités dans les deux stades dédiés à cette discipline, le président du Cng pose des préalables. Selon lui, pour accéder au stade, il faut impérativement un Pass sanitaire. «Il a été retenu également de respecter les mesures barrières, en commençant par la vaccination, le port du masque, le lavage des mains et la distanciation physique. Forts de ça, nous avions tenu une réunion hier ici même et nous avons convoqué les promoteurs aujourd'hui pour qu'on essaie de voir ensemble les modalités pratiques pour la reprise et également pour que chacun puisse prendre une date pour ses activités», a-t-il ajouté.
Dans le souci d'éviter tout télescopage entre les choix des dates, le successeur de Alioune Sarr a catégorisé les promoteurs qui doivent organiser les combats. Pour lui, les promoteurs qui avaient déjà eu des galas programmés et régularisés ont la primeur. «Nous avons d'abord donné le choix aux promoteurs qui avaient déjà régularisé et qui avaient arrêté, certains à 24 heures de leur galas, d'autres à une semaine ou un mois, de prendre des dates durant la fourchette allant du 1er octobre au 15 novembre. Ceux qui étaient impactés devaient organiser ces 23 galas durant une courte période de 35 jours. Cette fois-ci, pour alléger le choix, nous leur avons offert 75 jours pour qu'ils prennent des dates», a-t-il expliqué.
Il a tenu également à préciser que les promoteurs ainsi que les lutteurs déjà engagés ne vont pas acheter de nouvelles licences. «Nous avons donné la possibilité aux promoteurs, aux managers, aux lutteurs qui sont impactés et qui se trouvent dans ce lot-là de continuer à dé rouler leurs activités sans ache ter une nouvelle licence jusqu'au 15 décembre. Passé ce délai, ils seront obligés d'acheter une nouvelle licence. Nous avons également dit aux promoteurs de veiller à ce qu'après la prise des dates, les combat soient réalisés», a-t-il conclu.