Ces leaders de partis rejettent systématiquement le décret signé par le président de la République et la loi votée par l'Assemblée nationale. Ils exigent le respect du processus électoral du calendrier républicain. Ils demandent au Conseil constitutionnel de prendre ses responsabilités afin de rétablir l'ordre constitutionnel. Les candidats à la présidentielle exhortent également à toutes les forces vives de la Nation de venir rejoindre le « combat puisque le combat n'est pas le leur, c'est le combat de tous les Sénégalais».
Le collectif invite également toutes les chancelleries présentes sur le territoire national à prendre position très clairement. Selon les candidats, «Il ne s'agit pas d'une immiscion aux affaires intérieures du pays, mais de condamnation de principes universels. Chaque chancellerie a eu à condamner les coups d'état qui ont eu lieu un peu partout dans le monde. On est exactement dans la même situation , le président de la République Macky Sall avec son régime viennent de le faire, ils l'ont fait depuis samedi et confirmé cela le lundi, un coup d'Etat constitutionnel», a-t-il indiqué.
Le collectif interpelle l'Union européenne à prendre position. « Nous leur demandons et plus précisément à l'Union européenne qu'elle prenne clairement position, qu'elle condamne clairement cette violation, ce coup d'état que le président de la République vient de faire», a lancé ledit collectif.
Le collectif invite également toutes les chancelleries présentes sur le territoire national à prendre position très clairement. Selon les candidats, «Il ne s'agit pas d'une immiscion aux affaires intérieures du pays, mais de condamnation de principes universels. Chaque chancellerie a eu à condamner les coups d'état qui ont eu lieu un peu partout dans le monde. On est exactement dans la même situation , le président de la République Macky Sall avec son régime viennent de le faire, ils l'ont fait depuis samedi et confirmé cela le lundi, un coup d'Etat constitutionnel», a-t-il indiqué.
Le collectif interpelle l'Union européenne à prendre position. « Nous leur demandons et plus précisément à l'Union européenne qu'elle prenne clairement position, qu'elle condamne clairement cette violation, ce coup d'état que le président de la République vient de faire», a lancé ledit collectif.