Ils ne s'y attendaient pas. Les usagers de Dakar Dem dikk (DDD) se sont levés sans leurs moyens de locomotion habituelle. Ils affirment être pris de cours. Certains ont fait savoir qu’il n’était pas au courant de la grève de ce matin. La seule solution qui s’offre aux usagers, c’est ainsi les cars rapides ou la marche en attendant de trouver un véhicule.
En banlieue, les conséquences ont eu leurs effets. A Guédiawaye, précisément au niveau des principaux arrêts de bus, l’attente fut longue. Pour d’aucuns, c’est une surprise matinale. «Messieurs, les bus DDD sont en grève», leur lance une dame dans un taxi. Médusés, d’aucuns, la mine renfrognée, se sont rabattus sur les cars rapides. « Que faire, c’est la seule solution. Mais elle (ndlr : la société) doit avertir les usagers que nous sommes», clame Malick Diop, un commerçant au marché Sandaga. Habitué à prendre la ligne 5, ce dernier dit « être en retard ».
De bouche à oreille, la nouvelle s’est répandue comme une trainée de poudre. Et place à la bousculade entre élèves, étudiants de même les ménagères de retour du marché. « C’est du n’importe quoi. Nous sommes là depuis 7 heures et là suis obligé de prendre trois voitures pour arriver à destination », se désole un élève.
A défaut de trouver un clando, des usagers préfèrent adopter une autre méthode, la marche. « Je dois aller au rond point case-bi mais je dois marcher en attendant de trouver un taxi ou clando. Cette grève nous a handicapé et c’est ce matin que j’ai été au courant », fait savoir cet homme sous couvert de l’anonymat.
Ainsi, tous espèrent que la rencontre de cet après-midi entre les autorités et les responsables de DDD mettra fin à la grève.
Abdoul K. Diop (Correspondant dans la banlieue)
En banlieue, les conséquences ont eu leurs effets. A Guédiawaye, précisément au niveau des principaux arrêts de bus, l’attente fut longue. Pour d’aucuns, c’est une surprise matinale. «Messieurs, les bus DDD sont en grève», leur lance une dame dans un taxi. Médusés, d’aucuns, la mine renfrognée, se sont rabattus sur les cars rapides. « Que faire, c’est la seule solution. Mais elle (ndlr : la société) doit avertir les usagers que nous sommes», clame Malick Diop, un commerçant au marché Sandaga. Habitué à prendre la ligne 5, ce dernier dit « être en retard ».
De bouche à oreille, la nouvelle s’est répandue comme une trainée de poudre. Et place à la bousculade entre élèves, étudiants de même les ménagères de retour du marché. « C’est du n’importe quoi. Nous sommes là depuis 7 heures et là suis obligé de prendre trois voitures pour arriver à destination », se désole un élève.
A défaut de trouver un clando, des usagers préfèrent adopter une autre méthode, la marche. « Je dois aller au rond point case-bi mais je dois marcher en attendant de trouver un taxi ou clando. Cette grève nous a handicapé et c’est ce matin que j’ai été au courant », fait savoir cet homme sous couvert de l’anonymat.
Ainsi, tous espèrent que la rencontre de cet après-midi entre les autorités et les responsables de DDD mettra fin à la grève.
Abdoul K. Diop (Correspondant dans la banlieue)
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