Ce 19 mars 2011 était annoncé comme le jour de tous les dangers au Sénégal. Mais au finish, il n’en sera rien. C’est un important dispositif sécuritaire qui a déployé par les autorités pour encadrer le Sit-in du Président Directeur Général du Groupe Walfadjiri, Sidy Lamine Niasse à la place de l’Indépendance. Ces forces de l’ordre ont été répandues dans tous les coins et recoins de cet endroit rebaptisé «place Tahrir» par ce dernier ainsi que dans les environnements immédiats de la ville. En plus d’avoir bien cerné l’endroit, l’on pouvait également remarquer la ronde de voitures de police ou de la gendarmerie tous les 10 minutes.
La police recule
Il est 10 heures à la «place tahrir», l’heure à laquelle la manifestation devait commencer. Sidy Lamine Niasse et ses employés faisaient des vas et viens, recevant amis, fans club et badauds. Alors qu’il n’y avait pas encore beaucoup de monde, les policiers veillaient déjà au grain. Des groupes de policiers placés à l’entrée de la place de l’indépendance, du côté de l’hôtel Indépendance, ont même laissé la place aux manifestants pour ne pas les gêner mais aussi pour plus de sécurité. Mais ce geste des policiers sera interprété différemment par les occupants de la place qui devenaient de plus en plus nombreux. La police cède de plus en plus la place aux manifestants et recule.
Il est 10 heures à la «place tahrir», l’heure à laquelle la manifestation devait commencer. Sidy Lamine Niasse et ses employés faisaient des vas et viens, recevant amis, fans club et badauds. Alors qu’il n’y avait pas encore beaucoup de monde, les policiers veillaient déjà au grain. Des groupes de policiers placés à l’entrée de la place de l’indépendance, du côté de l’hôtel Indépendance, ont même laissé la place aux manifestants pour ne pas les gêner mais aussi pour plus de sécurité. Mais ce geste des policiers sera interprété différemment par les occupants de la place qui devenaient de plus en plus nombreux. La police cède de plus en plus la place aux manifestants et recule.
Photo de Wade brûlé
Mais au fur et à mesure qu’ils venaient, la tension montait du côté des protestataires, visiblement très remontés contre le régime de Abdoulaye Wade et qui réclamaient son départ. Divers méthodes ont été utilisées pour dénoncer ce régime libéral. En effet, en plus des pancartes (où on a écrit «Karim takkal»), ces gens scandaient différents slogans parmi lesquels on pouvait entendre «Wade est mort, enterré le" ou encore «qu’il parte, on en a marre». Une photo du président de la République, Me Abdoulaye Wade a même été brulée par ces manifestants pour exprimer leur mécontentement vis-à-vis de la famille Wade.
Mais au fur et à mesure qu’ils venaient, la tension montait du côté des protestataires, visiblement très remontés contre le régime de Abdoulaye Wade et qui réclamaient son départ. Divers méthodes ont été utilisées pour dénoncer ce régime libéral. En effet, en plus des pancartes (où on a écrit «Karim takkal»), ces gens scandaient différents slogans parmi lesquels on pouvait entendre «Wade est mort, enterré le" ou encore «qu’il parte, on en a marre». Une photo du président de la République, Me Abdoulaye Wade a même été brulée par ces manifestants pour exprimer leur mécontentement vis-à-vis de la famille Wade.
Photo de Wade brûlé
Mais au fur et à mesure qu’ils venaient, la tension montait du côté des protestataires, visiblement très remontés contre le régime de Abdoulaye Wade et qui réclamaient son départ. Divers méthodes ont été utilisées pour dénoncer ce régime libéral. En effet, en plus des pancartes (où on a écrit «Karim takkal»), ces gens scandaient différents slogans parmi lesquels on pouvait entendre «Wade est mort, enterrez-le" ou encore «qu’il parte, on en a marre». Une photo du président de la République, Me Abdoulaye Wade a même été brulée par ces manifestants pour exprimer leur mécontentement vis-à-vis de la famille Wade.
Mais au fur et à mesure qu’ils venaient, la tension montait du côté des protestataires, visiblement très remontés contre le régime de Abdoulaye Wade et qui réclamaient son départ. Divers méthodes ont été utilisées pour dénoncer ce régime libéral. En effet, en plus des pancartes (où on a écrit «Karim takkal»), ces gens scandaient différents slogans parmi lesquels on pouvait entendre «Wade est mort, enterrez-le" ou encore «qu’il parte, on en a marre». Une photo du président de la République, Me Abdoulaye Wade a même été brulée par ces manifestants pour exprimer leur mécontentement vis-à-vis de la famille Wade.
Coup de maitre des policiers
Tout ceci sous le regard des forces de l’ordre qui avaient sûrement reçu des ordres. Ils n’ont répondu à aucune provocation mais étaient sur leurs gardes et attendaient sagement qu’il fasse 13 heures (l’heure à laquelle la manifestation devait se terminer) pour réagir. A quelques minutes de 13 h, les manifestants commencent à jeter des pierres aux policiers qui ne réagissent toujours pas mais commencent à s’armer et à se positionner en attendant l’heure.
A 13h 00, ils ont marché sur les pas des manifestants. Ces derniers ont été dispersés en l’espace de 5 mn et sans problème par le dispositif sécuritaire mis en place. Une organisation sans faille qui est à saluer. Il faut dire que policiers et pandores ont assuré. Un véritable coup de Maître. Car nombreux étaient les gens qui craignaient le pire.
Finalement tout est bien qui finit bien!
Tout ceci sous le regard des forces de l’ordre qui avaient sûrement reçu des ordres. Ils n’ont répondu à aucune provocation mais étaient sur leurs gardes et attendaient sagement qu’il fasse 13 heures (l’heure à laquelle la manifestation devait se terminer) pour réagir. A quelques minutes de 13 h, les manifestants commencent à jeter des pierres aux policiers qui ne réagissent toujours pas mais commencent à s’armer et à se positionner en attendant l’heure.
A 13h 00, ils ont marché sur les pas des manifestants. Ces derniers ont été dispersés en l’espace de 5 mn et sans problème par le dispositif sécuritaire mis en place. Une organisation sans faille qui est à saluer. Il faut dire que policiers et pandores ont assuré. Un véritable coup de Maître. Car nombreux étaient les gens qui craignaient le pire.
Finalement tout est bien qui finit bien!