C'est à 20 h 30, ce 1er janvier qu'ils ont foulé le tarmac de l'aéroport de Dakar en provenance de la République centrafricaine. au nombres de 259 Sénégalais, ils ont le visage remplis de peur, la mine triste et les habits tachetés.
« La situation est très grave là-bas. Imaginez, nous qui sommes des Sénégalais et qui n’ont jamais vu des personnes se faire égorger. A chaque fois nous sentions la mort s’approcher de plus en plus de nous. Ils tuent sans distinction de races ou de pays, seule la religion à laquelle on appartient compte pour eux », raconte Babacar Baldé.
D’après ce jeune homme, il y a sa mère et ses 8 sœurs, ainsi que des centaines de Sénégalais qui sont encore à Bangui. Un autre jeune, Mamadou Séne fond en larmes, sous les questions des journalistes. « Sincèrement, nous venons de l’enfer. Nous arrivons de quelque part ou l’odeur du sang des cadavres qui remplissent les rues envahit toujours nos narines. Nous sommes des survivants, car beaucoup de nos connaissances ont été égorgés sous nos yeux », témoigne Mamadou, sur les colonnes de Direct-Info.
« La situation est très grave là-bas. Imaginez, nous qui sommes des Sénégalais et qui n’ont jamais vu des personnes se faire égorger. A chaque fois nous sentions la mort s’approcher de plus en plus de nous. Ils tuent sans distinction de races ou de pays, seule la religion à laquelle on appartient compte pour eux », raconte Babacar Baldé.
D’après ce jeune homme, il y a sa mère et ses 8 sœurs, ainsi que des centaines de Sénégalais qui sont encore à Bangui. Un autre jeune, Mamadou Séne fond en larmes, sous les questions des journalistes. « Sincèrement, nous venons de l’enfer. Nous arrivons de quelque part ou l’odeur du sang des cadavres qui remplissent les rues envahit toujours nos narines. Nous sommes des survivants, car beaucoup de nos connaissances ont été égorgés sous nos yeux », témoigne Mamadou, sur les colonnes de Direct-Info.