En matière de promotion et de protection des droits de l'homme, le Sénégal a perdu sa note A. Ayant régressé, le pays de Macky Sall est dans la classe B au côté de la Gambie, du Mali et de la Mauritanie et derrière le Nigéria, Sierra Leone et le Ghana qui caracolent dans la classe A.
Cette moyenne servie par le sous comité d'accréditations du comité internationale de coordination des institutions nationales pour la promotion et la protection des droits de l'homme qui décerne les notes A, B et C selon le degré de respect des conditions humaines, devant le premier ministre, à l'occasion de l'atelier de lancement du processus de réinstitutionnalisation tenu hier à Dakar, Abdoul Mbaye qui se dit peiné, regrette.
"C'est avec beaucoup de regrets et de peine que nous avons appris cette décision de déclassification car le Sénégal a une longue tradition de respect des droits humains", lâche le chef du gouvernement qui précise toutefois que "les institutions des droits de l'homme doivent rester crédibles, légitimes, utiles et efficaces s'ils veulent continuer à se prévaloir de la reconnaissance et de la confiance dont elles font l'objet au niveau international", sur les colonnes du journal "Le Populaire".
Cette moyenne servie par le sous comité d'accréditations du comité internationale de coordination des institutions nationales pour la promotion et la protection des droits de l'homme qui décerne les notes A, B et C selon le degré de respect des conditions humaines, devant le premier ministre, à l'occasion de l'atelier de lancement du processus de réinstitutionnalisation tenu hier à Dakar, Abdoul Mbaye qui se dit peiné, regrette.
"C'est avec beaucoup de regrets et de peine que nous avons appris cette décision de déclassification car le Sénégal a une longue tradition de respect des droits humains", lâche le chef du gouvernement qui précise toutefois que "les institutions des droits de l'homme doivent rester crédibles, légitimes, utiles et efficaces s'ils veulent continuer à se prévaloir de la reconnaissance et de la confiance dont elles font l'objet au niveau international", sur les colonnes du journal "Le Populaire".