Le retard noté dans l’organisation de la seconde session des examens de certification en santé, pousse les élèves de l’école publique de Santé sise quelques mètres de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad) à monter au créneau. Ils ont déploré avec la dernière énergie cette situation qui risque de nuire à leur ambition.
« Si nous sommes réunis ici, c’est juste pour revendiquer deux choses. La première, c’est l’organisation de la deuxième session de certification 2017-2018 qui tarde à se faire. Parce que les résultats étaient sortis depuis le 31 décembre, jusqu'à présent, ils n’ont pas organisé la deuxième session pour nos aînés qui attendent. Bientôt quatre (4) mois, on n’a pas organisé de deuxième session. La deuxième chose, c’est la séparation des examens avec le privé. Il y a beaucoup d’écoles privées qui font que ces autorités ont d’énormes difficultés à organiser les examens. Voilà les raisons qui nous ont poussées à descendre sur le terrain, pour observer une journée morte », dénonce Assane Ndiaye, leur porte-parole du jour.
« Nous avons été sélectionnés parmi les meilleurs. On doit nous former dans les meilleures conditions. Nous donner notre diplôme et ne pas nous faire subir des examens qu’on doit passer avec le privé. Ils ont fait ces examens n’importe comment. Ils nous avaient promis qu’ils allaient cumuler théorie et pratique, avant d’éliminer les étudiants. Ce qui n’a pas était fait », a-t-il déploré sur les ondes de walf Fm.
Toujours selon Ndiaye, « Il y a des étudiants qui ont eu la moyenne de 14 dans la pratique et ils se sont appesantis seulement dans la théorie. Ils n’ont pas respecté leur parole. C’est inadmissible et c’est incompréhensible. On ne l’acceptera pas. S’ils ne nous donnent pas de date d’ici la fin du mois pour la deuxième session, nous allons passer à la vitesse supérieure ».
« Si nous sommes réunis ici, c’est juste pour revendiquer deux choses. La première, c’est l’organisation de la deuxième session de certification 2017-2018 qui tarde à se faire. Parce que les résultats étaient sortis depuis le 31 décembre, jusqu'à présent, ils n’ont pas organisé la deuxième session pour nos aînés qui attendent. Bientôt quatre (4) mois, on n’a pas organisé de deuxième session. La deuxième chose, c’est la séparation des examens avec le privé. Il y a beaucoup d’écoles privées qui font que ces autorités ont d’énormes difficultés à organiser les examens. Voilà les raisons qui nous ont poussées à descendre sur le terrain, pour observer une journée morte », dénonce Assane Ndiaye, leur porte-parole du jour.
« Nous avons été sélectionnés parmi les meilleurs. On doit nous former dans les meilleures conditions. Nous donner notre diplôme et ne pas nous faire subir des examens qu’on doit passer avec le privé. Ils ont fait ces examens n’importe comment. Ils nous avaient promis qu’ils allaient cumuler théorie et pratique, avant d’éliminer les étudiants. Ce qui n’a pas était fait », a-t-il déploré sur les ondes de walf Fm.
Toujours selon Ndiaye, « Il y a des étudiants qui ont eu la moyenne de 14 dans la pratique et ils se sont appesantis seulement dans la théorie. Ils n’ont pas respecté leur parole. C’est inadmissible et c’est incompréhensible. On ne l’acceptera pas. S’ils ne nous donnent pas de date d’ici la fin du mois pour la deuxième session, nous allons passer à la vitesse supérieure ».
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