Avec le concept de surveillance participative développé par Greenpeace, tous les acteurs du secteur deviennent des surveillants alertes sur le long des côtes sénégalaises. Ainsi courant mois novembre, deux bateaux ont été aperçus sur les eaux sénégalaises, après vérification, l’un était en partance pour la Guinée mais l’autre dont la présence semble être douteuse pour les acteurs de la pêche, était un bateau russe qui se ravitaillait à hauteur de l’île de Gorée. Greenpeace a perdu depuis le signalement de ce bateau. L’inquiétude des acteurs de la pêche est surtout alimentée par le comportement ambigu du ministre de la pêche Pape DIOUF qui disent-ils n’écarte pas le retour de ces bateaux malgré l’engagement du président de la République et les assurances de son Premier ministre.
Ainsi sur les rumeurs d’un possible retour des chalutiers, les acteurs de la pêche invitent l’Etat à considérer la situation actuelle, critique, de ces stocks pélagiques ainsi que leur contribution dans la pêche artisanale et la sécurité alimentaire des Sénégalais. Ils invitent aussi l’Etat à mettre un terme au pilotage à vue dans le secteur de la pêche et à asseoir des politiques fondées sur une démarche participative.
L’ouverture d’enquêtes « sur le pillage entre 2010 et 2012 des ressources pélagiques du Sénégal, orchestré par des responsables de l’ancien régime et la mort d’espèces marines durant les mois de septembre et octobre sur les côtes sénégalaises », sont aussi des préoccupations des acteurs de la pêche.
Ainsi sur les rumeurs d’un possible retour des chalutiers, les acteurs de la pêche invitent l’Etat à considérer la situation actuelle, critique, de ces stocks pélagiques ainsi que leur contribution dans la pêche artisanale et la sécurité alimentaire des Sénégalais. Ils invitent aussi l’Etat à mettre un terme au pilotage à vue dans le secteur de la pêche et à asseoir des politiques fondées sur une démarche participative.
L’ouverture d’enquêtes « sur le pillage entre 2010 et 2012 des ressources pélagiques du Sénégal, orchestré par des responsables de l’ancien régime et la mort d’espèces marines durant les mois de septembre et octobre sur les côtes sénégalaises », sont aussi des préoccupations des acteurs de la pêche.
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