les bougies reprennent droit de cité au Sénégalà cause des coupures
Les coupures de courant font actuellement des ravages dans les ménages et le milieu des affaires au Sénégal. Elles sont récurrentes et intempestives depuis que les rayons du soleil ont commencé à être plus virulents. Les citoyens et entreprises qui n’ont pas de groupe électrogène broient du noir.
Pour les simples sénégalais, ils renouent avec les vieilles habitudes bougies et lampe à pétrole. Or pour les PME, ce sont des problèmes à n’en pas finir. «Quand il y a coupure, tout notre travail est bloqué et on s’attire les foudres des clients qui ne comprennent pas» s’est plaint Modou Thiam, un bijoutier rencontré au centre ville. Selon lui, «cela perturbe leur travail car cela fait fuir les clients».
Trouvé en train de réparer une unité centrale, Sidath Mboup, gérant d’un cyber situé à l’avenue Bourguiba, a expliqué: «on travail avec le courant, s’il y a coupure on est obligé d’allumer le groupe électrogène. Ce qui constitue des charges de plus surtout que le carburant reste très cher au Sénégal. Avec ce procédé, les clients n’arrêtent pas de se plaindre car le groupe fait beaucoup de bruits. Les clients n’aiment pas surfer avec le groupe à cause du bruit. C’est à cause de cela qu’ils rentrent si tôt. Ce qui est aussi un manque à gagner».
Sidath Mboup a souligné un autre facteur handicapant avec les délestages. «Si tu n’as pas d’onduleur, tu peux dire à dieu à tes machines parce qu’elles ne vont pas tenir à cause des coupures intempestives».
Pour l’heure, une solution ne semble pas se pointer à l’horizon. Les victimes de ces délestages sont fatalistes et se remettent à Dieu. Modou Thiam a, pour sa part, estimé que «seul le gouvernement peut régler ce problème». Sidath, lui est pessimiste face à cette situation. Pour lui, l’Etat ne s’intéresse pas aux problèmes des sénégalais. «S’ils avaient mis ce qu’il fallait dans ce secteur et qu’il y ait un suivi, je pense que le problème de délestage serait un mauvais souvenir pour les sénégalais», a déclaré Sidath Mboup.
Pour les simples sénégalais, ils renouent avec les vieilles habitudes bougies et lampe à pétrole. Or pour les PME, ce sont des problèmes à n’en pas finir. «Quand il y a coupure, tout notre travail est bloqué et on s’attire les foudres des clients qui ne comprennent pas» s’est plaint Modou Thiam, un bijoutier rencontré au centre ville. Selon lui, «cela perturbe leur travail car cela fait fuir les clients».
Trouvé en train de réparer une unité centrale, Sidath Mboup, gérant d’un cyber situé à l’avenue Bourguiba, a expliqué: «on travail avec le courant, s’il y a coupure on est obligé d’allumer le groupe électrogène. Ce qui constitue des charges de plus surtout que le carburant reste très cher au Sénégal. Avec ce procédé, les clients n’arrêtent pas de se plaindre car le groupe fait beaucoup de bruits. Les clients n’aiment pas surfer avec le groupe à cause du bruit. C’est à cause de cela qu’ils rentrent si tôt. Ce qui est aussi un manque à gagner».
Sidath Mboup a souligné un autre facteur handicapant avec les délestages. «Si tu n’as pas d’onduleur, tu peux dire à dieu à tes machines parce qu’elles ne vont pas tenir à cause des coupures intempestives».
Pour l’heure, une solution ne semble pas se pointer à l’horizon. Les victimes de ces délestages sont fatalistes et se remettent à Dieu. Modou Thiam a, pour sa part, estimé que «seul le gouvernement peut régler ce problème». Sidath, lui est pessimiste face à cette situation. Pour lui, l’Etat ne s’intéresse pas aux problèmes des sénégalais. «S’ils avaient mis ce qu’il fallait dans ce secteur et qu’il y ait un suivi, je pense que le problème de délestage serait un mauvais souvenir pour les sénégalais», a déclaré Sidath Mboup.
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