Le Mouvement national Jigenni Pastef demande au ministre de la Femme, de la Famille et du Genre d’agir urgemment en menant des actions concrètes, loin de toute propagande médiatique inutile, en vue d’une application plus rigoureuse des lois sur la protection de l’enfance en vigueur, dans un communiqué transmis à PressAfrik.
Après ce qu’elles appellent « l’auto glorification médiatique », ces femmes invitent le directeur de la promotion des droits et de la protection des enfants, Niokhobaye Diouf à dire où précisément ont été réinsérés ces enfants et surtout avec quel taux de réussite, car elles savent que la réussite de la réinsertion dépend de l’âge de l’enfant, de sa durée de vie en rue, de la nature des liens entretenus avec le milieu familial et des compétences acquises dans la rue, mais également et surtout, de la volonté de l’enfant.
Ce qui, selon elles, suppose de travailler en collaboration avec ce dernier dans la définition de sa propre prise en charge. Pour les femmes du Pastef, la réinsertion au sein de la famille ne doit pas être la seule option pour ces enfants qui doivent pouvoir bénéficier d’autres alternatives (centre d’accueil, familles d’accueil, daaras d’origine pour ceux qui le souhaitent).
« Nous ne sommes pas sûrs que ces simples préalables aient été respectés à la vue de ces hordes d’enfants retirés sans égard et confinés. Malheureusement, le Sénégal fait face à une seconde vague de COVID, qui se caractérise par une rapidité dans la contamination accompagnée d’une plus grande létalité. Malgré tout, les enfants sont plus présents que jamais dans les rues, ce qui montre l'inefficacité des stratégies mises en œuvre, pour lutter contre ce phénomène des enfants des rues dont la vulnérabilité se trouve grandement accentué », déplorent-elles.
Donc, il résulte de tout ce qui précède, que le Ministère de la Femme dirigé par Ndeye Saly Diop Dieng « doit urgemment agir en menant des actions concrètes, loin de toute propagande médiatique inutile, en vue d’une application plus rigoureuse des lois sur la protection de l’enfance en vigueur, en misant sur une redynamisation du système décentralisé de la protection de l’enfance en veillant surtout à l’harmonisation des méthodes de prise en charge à travers l’utilisation d’outils standardisés ».
Le mouvement n’a pas manqué de souligner l’échec des nombreuses tentatives de retrait des enfants des rues, initiées pour la plupart « sur injonctions occidentales, motivées par des logiques de capture des financements ».
Après ce qu’elles appellent « l’auto glorification médiatique », ces femmes invitent le directeur de la promotion des droits et de la protection des enfants, Niokhobaye Diouf à dire où précisément ont été réinsérés ces enfants et surtout avec quel taux de réussite, car elles savent que la réussite de la réinsertion dépend de l’âge de l’enfant, de sa durée de vie en rue, de la nature des liens entretenus avec le milieu familial et des compétences acquises dans la rue, mais également et surtout, de la volonté de l’enfant.
Ce qui, selon elles, suppose de travailler en collaboration avec ce dernier dans la définition de sa propre prise en charge. Pour les femmes du Pastef, la réinsertion au sein de la famille ne doit pas être la seule option pour ces enfants qui doivent pouvoir bénéficier d’autres alternatives (centre d’accueil, familles d’accueil, daaras d’origine pour ceux qui le souhaitent).
« Nous ne sommes pas sûrs que ces simples préalables aient été respectés à la vue de ces hordes d’enfants retirés sans égard et confinés. Malheureusement, le Sénégal fait face à une seconde vague de COVID, qui se caractérise par une rapidité dans la contamination accompagnée d’une plus grande létalité. Malgré tout, les enfants sont plus présents que jamais dans les rues, ce qui montre l'inefficacité des stratégies mises en œuvre, pour lutter contre ce phénomène des enfants des rues dont la vulnérabilité se trouve grandement accentué », déplorent-elles.
Donc, il résulte de tout ce qui précède, que le Ministère de la Femme dirigé par Ndeye Saly Diop Dieng « doit urgemment agir en menant des actions concrètes, loin de toute propagande médiatique inutile, en vue d’une application plus rigoureuse des lois sur la protection de l’enfance en vigueur, en misant sur une redynamisation du système décentralisé de la protection de l’enfance en veillant surtout à l’harmonisation des méthodes de prise en charge à travers l’utilisation d’outils standardisés ».
Le mouvement n’a pas manqué de souligner l’échec des nombreuses tentatives de retrait des enfants des rues, initiées pour la plupart « sur injonctions occidentales, motivées par des logiques de capture des financements ».
Autres articles
-
Campagne de distribution de médicaments contre les MTN : And Gueusseum appelle à l'engagement de ses membres
-
Sénégalais morts à l'étranger : le bilan s'élève à 22 (liste des morts par pays)
-
Mali : un ressortissant sénégalais tué à Kéniéba
-
Kaolack : plusieurs cantines ravagées par un incendie au marché Guedj
-
Vacances de Noël fixées au 24 décembre à 18h par l'Ucad : la Coordination des étudiants Catholiques parle d'un "manque de considération"