
"L’adresse du Président Macky SALL aux jeunes de l’APR lors de la 4ème édition de l’Université Républicaine à fait l’objet de multiples interprétations et commentaires factieux de la part de l’opposition. C’est pourquoi la Convergence des Jeunesses Républicaines du département de Rufisque s’est réunie en urgence hier à Rufisque-Est pour repréciser la pensée du Président et recadrer cette opposition aux abois. Son Excellence Monsieur Macky SALL Président de la République et Président de l’APR lors de sa déclaration d’ouverture de la 4ème édition de l’Université Républicaine tenue ce week-end à Saly a profité de cette tribune politique pour donner des leçons de vie politique aux jeunes de son parti et rassurer les Sénégalais sur la problématique de la réduction de son mandat", Balla Diop.
Dans un communiqué parvenu à Pressafrik.com, le coordonnateur de la COJER du département de Rufisque indique que "c’est ainsi que le président Sall a appelé les Jeunesses Républicaines au sens de la responsabilité, à faire preuve d’humilité en vers les populations. Il leur à demandé d’être des serviteurs du peuple et d’être proches de ce dernier. Le Président a demandé à la COJER de s’armer de patience mais surtout de courage politique et travailler à gagner sa vie avec honnêteté et dignité conformément à la devise de notre parti « Travail-Dignité-Solidarité » ce qui est juste un rappel pour les Jeunesses Républicaines que nous sommes car ayant toujours porté ces valeurs".
"C’est tout le contraire des dirigeants du défunt régime libéral dont les comportements que leur a inculqués le Président Abdoulaye WADE rimaient au quotidien avec arrogance, insolence, fatuité, grandiloquence et opulence. Ce qui a fait qu’ils soient honnis par les Sénégalais. Le Président a profité de cette tribune politique pour rassurer les Sénégalais sur le dilatoire qui entoure la date du référendum qu’il proposera aux Sénégalais. Ce dilatoire s’explique par le fait que le temps des hommes n’est pas le temps de institutions. L’opposition pour des intérêts personnels veut pousser le Président Macky SALL dans la promptitude, alors que le Président lui-même veut à juste titre s’adosser sur la certitude. Cela doit être compréhensible dans la mesure ou pour un référendum, il y’a que deux réponses qui vaillent c’est soit un « OUI » ou un « NON » et sachant que ce référendum à venir sera un package composé des réformes relatives aux institutions qui par ailleurs sont plus importantes que la réduction ou non de l’actuel mandat du Président Macky SALL, nous demandons à ce dernier de prendre tout son temps pour tenir cette consultation citoyenne", attaquent les apéristes.
Pour les jeunes de la COJER, "le Président est plus préoccupé de doter les Sénégalais d’institutions fortes et fiables, c’est pourquoi il doit exploiter les conclusions de la CNRI pour savoir un peu l’avis du peuple par rapport à ses institutions qui compte beaucoup pour lui et il se doit de corriger les multiples imperfections de nos institutions léguées par le Président Abdoulaye WADE qui avait des rapports ludiques avec la Constitution. On se rappelle tous de ses 16 révisions déconsolidantes de la Constitution en 12 ans de règne". Et "c’est pourquoi le Président a fait savoir à l’opposition qu’il n’acceptera pas qu’elle lui fasse la pression pour la seule et simple raison qu’elle veut tenter de revenir au pouvoir en l’interpellant sur la réduction du mandat en faisant toujours fie des réformes des institutions .
Nous rappelons à cette opposition aux abois qu’elle a, pour ce qui concerne une frange du PS, gouverné le SENEGAL de l’Indépendance à 2000 avec à leur actif un SENEGAL agonisant et pour ce qui est du PDS, avec 12 ans de règne de 2000 à 2012, ils ont eu à mettre le SENEGAL dans une excavation avec une gestion désastreuse", assènent Balla Diop et Cie.
"Pour les verbiages et commérages relatifs à ses éventuels challengers lors de la prochaine Présidentielle, c’est à juste titre que le Président ait eu à dire que c’est le cadet de ses soucis. En réalité, ce n’est pas Karim WADE candidat du PDS hors course parce qu’étant emprisonné pour 6 ans pour enrichissement illicite et ayant une double nationalité, Khalifa SALL qui fuit ses responsabilités car sachant que DAKAR n’est pas le SENEGAL, Malick GACKOU qui cherche juste à exister politiquement pour pouvoir négocier ce qui est peine perdue et Idrissa SECK un candidat fantôme, tortueux et méandreux que les Sénégalais n’ont pas vu depuis Mathusalem qui vont faire douter au Président Macky SALL pour sa réélection. Comme l’ont dit le Ministre des Affaires Etrangères et le Ministre de l’Intérieur à l’heure actuelle, le calendrier républicain est clair : c’est 2017 pour les législatives, 2019 pour la Présidentielle et les locales", martèle la COJER du département de Rufisque.
Dans un communiqué parvenu à Pressafrik.com, le coordonnateur de la COJER du département de Rufisque indique que "c’est ainsi que le président Sall a appelé les Jeunesses Républicaines au sens de la responsabilité, à faire preuve d’humilité en vers les populations. Il leur à demandé d’être des serviteurs du peuple et d’être proches de ce dernier. Le Président a demandé à la COJER de s’armer de patience mais surtout de courage politique et travailler à gagner sa vie avec honnêteté et dignité conformément à la devise de notre parti « Travail-Dignité-Solidarité » ce qui est juste un rappel pour les Jeunesses Républicaines que nous sommes car ayant toujours porté ces valeurs".
"C’est tout le contraire des dirigeants du défunt régime libéral dont les comportements que leur a inculqués le Président Abdoulaye WADE rimaient au quotidien avec arrogance, insolence, fatuité, grandiloquence et opulence. Ce qui a fait qu’ils soient honnis par les Sénégalais. Le Président a profité de cette tribune politique pour rassurer les Sénégalais sur le dilatoire qui entoure la date du référendum qu’il proposera aux Sénégalais. Ce dilatoire s’explique par le fait que le temps des hommes n’est pas le temps de institutions. L’opposition pour des intérêts personnels veut pousser le Président Macky SALL dans la promptitude, alors que le Président lui-même veut à juste titre s’adosser sur la certitude. Cela doit être compréhensible dans la mesure ou pour un référendum, il y’a que deux réponses qui vaillent c’est soit un « OUI » ou un « NON » et sachant que ce référendum à venir sera un package composé des réformes relatives aux institutions qui par ailleurs sont plus importantes que la réduction ou non de l’actuel mandat du Président Macky SALL, nous demandons à ce dernier de prendre tout son temps pour tenir cette consultation citoyenne", attaquent les apéristes.
Pour les jeunes de la COJER, "le Président est plus préoccupé de doter les Sénégalais d’institutions fortes et fiables, c’est pourquoi il doit exploiter les conclusions de la CNRI pour savoir un peu l’avis du peuple par rapport à ses institutions qui compte beaucoup pour lui et il se doit de corriger les multiples imperfections de nos institutions léguées par le Président Abdoulaye WADE qui avait des rapports ludiques avec la Constitution. On se rappelle tous de ses 16 révisions déconsolidantes de la Constitution en 12 ans de règne". Et "c’est pourquoi le Président a fait savoir à l’opposition qu’il n’acceptera pas qu’elle lui fasse la pression pour la seule et simple raison qu’elle veut tenter de revenir au pouvoir en l’interpellant sur la réduction du mandat en faisant toujours fie des réformes des institutions .
Nous rappelons à cette opposition aux abois qu’elle a, pour ce qui concerne une frange du PS, gouverné le SENEGAL de l’Indépendance à 2000 avec à leur actif un SENEGAL agonisant et pour ce qui est du PDS, avec 12 ans de règne de 2000 à 2012, ils ont eu à mettre le SENEGAL dans une excavation avec une gestion désastreuse", assènent Balla Diop et Cie.
"Pour les verbiages et commérages relatifs à ses éventuels challengers lors de la prochaine Présidentielle, c’est à juste titre que le Président ait eu à dire que c’est le cadet de ses soucis. En réalité, ce n’est pas Karim WADE candidat du PDS hors course parce qu’étant emprisonné pour 6 ans pour enrichissement illicite et ayant une double nationalité, Khalifa SALL qui fuit ses responsabilités car sachant que DAKAR n’est pas le SENEGAL, Malick GACKOU qui cherche juste à exister politiquement pour pouvoir négocier ce qui est peine perdue et Idrissa SECK un candidat fantôme, tortueux et méandreux que les Sénégalais n’ont pas vu depuis Mathusalem qui vont faire douter au Président Macky SALL pour sa réélection. Comme l’ont dit le Ministre des Affaires Etrangères et le Ministre de l’Intérieur à l’heure actuelle, le calendrier républicain est clair : c’est 2017 pour les législatives, 2019 pour la Présidentielle et les locales", martèle la COJER du département de Rufisque.
Autres articles
-
Amadou Touba Niane sur l’appel au dialogue : « Il y a des tensions à libérer dans ce pays »
-
Dialogue politique : la plateforme numérique JUMBBATI officiellement lancée
-
Diffamation, injures public, diffusion de fausses nouvelles : Seydi Gassama plaide pour la suppression des peines de prison pour ces délits
-
Création de son parti, relations avec Sonko : Mame Diarra Fam sans détour
-
Amadou Touba Niane défend la transparence gouvernementale : "La démarche envers les anciens ministres est normale"