Le Premier ministre, Cheikh Hadjibou Soumaré en action pour solutionner la furie des imams
Cette rencontre sera présidée par le Premier ministre, Cheikh Hadjibou Soumaré. Elle fait certainement suite à la médiation initiée par certains députés de la majorité auprès des imams et notables de la banlieue qui menacent de durcir et le ton.
Les députés libéraux avaient échoué jeudi dernier devant la détermination des imams et notables de la ville de Guédiawaye à aller jusqu’au bout pour obtenir gain cause notamment la réduction du coût de l’électricité et l’arrêt des délestages intempestifs.
Bien avant les populations de Guédiawaye, les récurrentes et longues coupures d’électricité ont été à l’origine de violentes émeutes dans plusieurs de quartiers de la capitale sénégalaise. Ces furies des jeunes avaient ainsi conduit au saccage de plusieurs agences de la Sénélec. Depuis lors, la tension reste vive. Et pour se prémunir, l’Etat a décidé de sécurité les agences de la Sénélec située dans la banlieue et sa périphérie avec la faction des forces de l’ordre tous les jours devant ces locaux.
La flambée des prix du baril de pétrole (jusqu’à 147 dollars US) noté en milieu de l’année avait obligé l’Etat à consentir une hausse de 17% du prix de l’électricité. Une augmentation qui devrait être graduée en fonction des zones et du niveau de vie des ménages. Malgré cette décision des autorités, toutes les couches de la population ont durement ressenti cette hausse avec l’arrivée en octobre des doubles factures.
Aujourd’hui avec la chute du prix du baril du pétrole à moins de 50 dollars US, les populations notamment celles de la banlieue ne trouvent plus de raison pour payer des factures d’électricité salées.
Cette réunion sur l’électricité entre le chef du gouvernement et le ministre de l'Energie, Samuel Sarr devra ainsi permettre de tempérer les ardeurs et trouver une solution à cette atmosphère lourde de danger. Dans l'après-midi, les imams et notables de Guédiawaye vont rencontrer les membres de la Commission nationale de régulation de l'électricité pour une éventuelle baisse du prix du courant.
Les députés libéraux avaient échoué jeudi dernier devant la détermination des imams et notables de la ville de Guédiawaye à aller jusqu’au bout pour obtenir gain cause notamment la réduction du coût de l’électricité et l’arrêt des délestages intempestifs.
Bien avant les populations de Guédiawaye, les récurrentes et longues coupures d’électricité ont été à l’origine de violentes émeutes dans plusieurs de quartiers de la capitale sénégalaise. Ces furies des jeunes avaient ainsi conduit au saccage de plusieurs agences de la Sénélec. Depuis lors, la tension reste vive. Et pour se prémunir, l’Etat a décidé de sécurité les agences de la Sénélec située dans la banlieue et sa périphérie avec la faction des forces de l’ordre tous les jours devant ces locaux.
La flambée des prix du baril de pétrole (jusqu’à 147 dollars US) noté en milieu de l’année avait obligé l’Etat à consentir une hausse de 17% du prix de l’électricité. Une augmentation qui devrait être graduée en fonction des zones et du niveau de vie des ménages. Malgré cette décision des autorités, toutes les couches de la population ont durement ressenti cette hausse avec l’arrivée en octobre des doubles factures.
Aujourd’hui avec la chute du prix du baril du pétrole à moins de 50 dollars US, les populations notamment celles de la banlieue ne trouvent plus de raison pour payer des factures d’électricité salées.
Cette réunion sur l’électricité entre le chef du gouvernement et le ministre de l'Energie, Samuel Sarr devra ainsi permettre de tempérer les ardeurs et trouver une solution à cette atmosphère lourde de danger. Dans l'après-midi, les imams et notables de Guédiawaye vont rencontrer les membres de la Commission nationale de régulation de l'électricité pour une éventuelle baisse du prix du courant.