A défaut d’être d’accord lorsqu’il s’agit de voter au sein des institutions internationales, les cinq pays membres du groupe dit des « BRICS » ont tout de même réussi à accoucher d’une formule commune au sujet de deux grands dossiers internationaux lors du sommet qui les réunissait ce jeudi à New Delhi, à savoir l’Iran et la Syrie.
Dans les deux cas les grands pays émergents ont affirmé que seul le dialogue pouvait résoudre ces crises, condamnant donc de facto toute tentative d’intervention étrangère.
Pour le reste, les discussions se sont focalisées sur les questions économiques, les chefs d’Etat s’engageant notamment à étudier la faisabilité de créer une banque d’investissement commune susceptible de financer les projets d’infrastructure et de développement, voir selon le ministre du Commerce brésilien de soutenir l’Union européenne pour surmonter la crise financière.
Soucieux de montrer un front uni, les BRICS ont aussi appelé à accélérer le processus de réformes au sein du Fonds monétaire international, critiquant au passage les politiques économiques des pays riches accusés d’avoir créé un dangereux excédent de liquidités dans le système financier mondial.
RFI
Dans les deux cas les grands pays émergents ont affirmé que seul le dialogue pouvait résoudre ces crises, condamnant donc de facto toute tentative d’intervention étrangère.
Pour le reste, les discussions se sont focalisées sur les questions économiques, les chefs d’Etat s’engageant notamment à étudier la faisabilité de créer une banque d’investissement commune susceptible de financer les projets d’infrastructure et de développement, voir selon le ministre du Commerce brésilien de soutenir l’Union européenne pour surmonter la crise financière.
Soucieux de montrer un front uni, les BRICS ont aussi appelé à accélérer le processus de réformes au sein du Fonds monétaire international, critiquant au passage les politiques économiques des pays riches accusés d’avoir créé un dangereux excédent de liquidités dans le système financier mondial.
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