La présidente de l'Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac) a fait une révélation des plus surprenantes lundi à Pikine où elle assistait au lancement de la quinzaine nationale de sensibilisation sur la corruption.
Axant son intervention sur le rôle du secteur privé dans la lutte contre la corruption, Seynabou Ndiaye Diakhaté a relevé que "dans bien des cas, les entreprises privées cèdent à la tentation de corrompre". Rapportée par nos confrères de L'Observateur de ce mardi 10 décembre, la dame d'enchaîner: "Celles (les entreprises privées) qui refusent de céder à cette pratique désastreuse pour l'économie nationale se retrouvent prises au piège de pratiques qui les isolent des marchés publics. En d'autres termes, le refus de céder à la corruption isole certaines entreprises, qui sont ainsi sanctionnées par une privation de marchés publics".
La présidente de l'Ofnac de poursuivre: "ces entreprises sont ainsi confrontées au renchérissement des coûts des facteurs de production, qui les rend moins compétitives et ralentit leur croissance. Ces manoeuvres, qui sont le fait des corrompus, mais également des corrupteurs, installent le secteur privé sénégalais dans un cercle vicieux qui déstructure et affaiblit l'économie nationale".
Une pierre, et pas des moindres, dans le jardin de Macky et son administration...
Axant son intervention sur le rôle du secteur privé dans la lutte contre la corruption, Seynabou Ndiaye Diakhaté a relevé que "dans bien des cas, les entreprises privées cèdent à la tentation de corrompre". Rapportée par nos confrères de L'Observateur de ce mardi 10 décembre, la dame d'enchaîner: "Celles (les entreprises privées) qui refusent de céder à cette pratique désastreuse pour l'économie nationale se retrouvent prises au piège de pratiques qui les isolent des marchés publics. En d'autres termes, le refus de céder à la corruption isole certaines entreprises, qui sont ainsi sanctionnées par une privation de marchés publics".
La présidente de l'Ofnac de poursuivre: "ces entreprises sont ainsi confrontées au renchérissement des coûts des facteurs de production, qui les rend moins compétitives et ralentit leur croissance. Ces manoeuvres, qui sont le fait des corrompus, mais également des corrupteurs, installent le secteur privé sénégalais dans un cercle vicieux qui déstructure et affaiblit l'économie nationale".
Une pierre, et pas des moindres, dans le jardin de Macky et son administration...
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