Commençons ce tour d’horizon de la presse par ce drame au large des côtes sénégalaises. Selon des informations de LIBERATION, la Marine sénégalaise a repêché les corps de 16 pêcheurs après le chavirement de leurs pirogues au sud des côtes casamançaises. Le journal explique que cela s’est passé suite à un cyclone et c’est fort probable que le bilan soit revu à la hausse car 18 autres pirogues sont portées disparues. Les recherches se poursuivent avec l’appui d’un avion de surveillance de la marine française. LIBERATION fait le rapprochement avec les pêcheurs de Saint-Louis portés disparus depuis hier matin. De ce côté, une vingtaine de pirogues sont portées disparues et sept corps sans vie ont été retrouvés.
Le TEMOIN se demande où en est-on avec le rapport de la commission d’enquête, deux ans après le crash de l’avion de Sénégal Air qui avait à son bord, trois Sénégalais, deux Algériens, un Congolais et une patiente française. Le journal constate que depuis lors, non seulement les débris de l’avion n’ont pas été retrouvés, encore moins les corps des victimes, mais encore aucun rapport n’a été publié par le Bureau d’enquêtes et analyses (Bea) pour élucider les causes de cet accident. On reste avec le TEMOIN et presque beaucoup de journaux qui sont revenus « sur un incident mineur à l’aéroport de Dakar. C’est un petit avion de tourisme qui a perdu sa roue sur la piste après un atterrissage réussi. L’appareil n’a subi aucun dégât matériel et ses passagers n’ont pas été blessés ».
Dans le domaine de la santé, ENQUETE nous parle de la carence de spécialistes dans ce secteur comme une grande épidémie. Le journal qui fait le tour de la question soutient que « les ressources humaines ont toujours été un problème majeur du secteur de la santé. Mais aujourd’hui, face à la montée de certaines maladies, le manque de spécialistes et leur mal répartition à travers le territoire sont plus que jamais mis à nu ». Dans le domaine de la santé, toujours, DIRECT INFO informe que les autorités sont en alerte maximale, en misant sur la prévention face à une épidémie de méningite qui frappe 16 Etats du Nigéria et qui a fait déjà 328 morts.
WALFQUOTIDIEN réalise un dossier sur l’occupation anarchique de la voie publique à Dakar. Le constat du journal est que le décor est fait d’amas d’ordures, de gargotes, de marchés hebdomadaires qui occupent tout lieu où l’espace est disponible, au mépris des normes d’urbanisation. Résultat des courses, « Dakar étouffe ». Titre à la UNE, « Dakar, capitale de la pagaille ».
L’AS parle de « 500 millions dans le vent ». Il s’agit de l’argent du Fonds de solidarité emploi-retraite créé en 1998. Dans le journal, Cheikh Diop, SG de la Cnts-Fc qui soulève la question compte profiter de la prochaine conférence sociale pour exiger la lumière sur ces fonds.
ENQUETE informe sur les changements au ministère de l’Economie, des Finances et du Plan. L’ancien Directeur général des Finances, Mamadou Moustapha Bâ devient, Dg du Budget. Il sera secondé par un inspecteur principal des Impôts et Domaines, qui devient le coordonnateur de la direction générale du Budget. Papa Oumar Diallo était jusque-là l’adjoint de Bâ à la direction générale des Finances. Ce sont des mesures prises hier en Conseil des ministres. Mais le TEMOIN croit que le ministre Amadou Bâ entame ainsi ses manœuvres pour installer ses hommes. On reste avec les financiers pour constater avec DIRECT INFO, « de l’inquiétante montée de l’endettement au Sénégal ». Selon le journal cela passe de « 18% à 56% du PIB ». DIRECT INFO soutient que cela peut plomber la croissance qu’on vante tant. Pour revenir sur le Conseil des ministres, on retient dans le SOLEIL que le chef de l’Etat demande la poursuite de la modernisation des casernes et l’équipement des forces de sécurité et de défense.
En politique, l’OBS parle de risque d’affrontements ce 7 avril entre Y en a marre et la mouvance présidentielle à la place de la Nation (ex Obélisque). En attendant, les deux camps s’accusent mutuellement dans le journal.
La TRIBUNE soutient qu’après le « tout sauf Diouf » et le « tout sauf Wade », le « tout sauf Macky » est en gestation. C’est parce que l’opposition cherche la meilleurs formule pour mutualiser ses forces dans le but de forcer le locataire du Palais à la cohabitation. Ce qui doit-être le premier jalon vers son éjection du fauteuil en 2019.
Le QUOTIDIEN relate la bataille entre apréristes pour le contrôle de Yoff. Et c’est Diouf Sarr qui fait face à Amadou Bâ. Quand des Lébous de Yoff ont décidé d’afficher leur soutien au ministre Amadou Bâ, le Conseil des notables de Yoff, organe suprême de la communauté a réitéré sa fidélité indéfectible au maire Abdoulaye Diouf Sarr.
Ousmane Tanor Dieng parle de Khalifa Sall à la UNE de VOX POPULI. « On n’a pas de problèmes personnels, lui-même, il l’a dit. Le seul problème que nous avons, c’est ceux qui sont avec lui et qui disent qu’on ne doit pas être dans la coalition Benno Bokk Yakaar ».
Le TEMOIN propose un grand dossier sur le Pds. Selon le journal, depuis sa création en 1974, le Pds subit les secousses sismiques des défections et des exclusions dans ses rangs. Le journal raconte « le difficile retour dans l’opposition ».
Terminons avec SUDQUOTIDIEN qui revient sur la volonté du chef de l’Etat de rémunérer les chefs de villages. L’opposition en voit tout simplement un calcul politique visant à faire les yeux doux aux chefs de villages en prélude des prochaines législatives. Ce que réfute le camp du pouvoir.
Le TEMOIN se demande où en est-on avec le rapport de la commission d’enquête, deux ans après le crash de l’avion de Sénégal Air qui avait à son bord, trois Sénégalais, deux Algériens, un Congolais et une patiente française. Le journal constate que depuis lors, non seulement les débris de l’avion n’ont pas été retrouvés, encore moins les corps des victimes, mais encore aucun rapport n’a été publié par le Bureau d’enquêtes et analyses (Bea) pour élucider les causes de cet accident. On reste avec le TEMOIN et presque beaucoup de journaux qui sont revenus « sur un incident mineur à l’aéroport de Dakar. C’est un petit avion de tourisme qui a perdu sa roue sur la piste après un atterrissage réussi. L’appareil n’a subi aucun dégât matériel et ses passagers n’ont pas été blessés ».
Dans le domaine de la santé, ENQUETE nous parle de la carence de spécialistes dans ce secteur comme une grande épidémie. Le journal qui fait le tour de la question soutient que « les ressources humaines ont toujours été un problème majeur du secteur de la santé. Mais aujourd’hui, face à la montée de certaines maladies, le manque de spécialistes et leur mal répartition à travers le territoire sont plus que jamais mis à nu ». Dans le domaine de la santé, toujours, DIRECT INFO informe que les autorités sont en alerte maximale, en misant sur la prévention face à une épidémie de méningite qui frappe 16 Etats du Nigéria et qui a fait déjà 328 morts.
WALFQUOTIDIEN réalise un dossier sur l’occupation anarchique de la voie publique à Dakar. Le constat du journal est que le décor est fait d’amas d’ordures, de gargotes, de marchés hebdomadaires qui occupent tout lieu où l’espace est disponible, au mépris des normes d’urbanisation. Résultat des courses, « Dakar étouffe ». Titre à la UNE, « Dakar, capitale de la pagaille ».
L’AS parle de « 500 millions dans le vent ». Il s’agit de l’argent du Fonds de solidarité emploi-retraite créé en 1998. Dans le journal, Cheikh Diop, SG de la Cnts-Fc qui soulève la question compte profiter de la prochaine conférence sociale pour exiger la lumière sur ces fonds.
ENQUETE informe sur les changements au ministère de l’Economie, des Finances et du Plan. L’ancien Directeur général des Finances, Mamadou Moustapha Bâ devient, Dg du Budget. Il sera secondé par un inspecteur principal des Impôts et Domaines, qui devient le coordonnateur de la direction générale du Budget. Papa Oumar Diallo était jusque-là l’adjoint de Bâ à la direction générale des Finances. Ce sont des mesures prises hier en Conseil des ministres. Mais le TEMOIN croit que le ministre Amadou Bâ entame ainsi ses manœuvres pour installer ses hommes. On reste avec les financiers pour constater avec DIRECT INFO, « de l’inquiétante montée de l’endettement au Sénégal ». Selon le journal cela passe de « 18% à 56% du PIB ». DIRECT INFO soutient que cela peut plomber la croissance qu’on vante tant. Pour revenir sur le Conseil des ministres, on retient dans le SOLEIL que le chef de l’Etat demande la poursuite de la modernisation des casernes et l’équipement des forces de sécurité et de défense.
En politique, l’OBS parle de risque d’affrontements ce 7 avril entre Y en a marre et la mouvance présidentielle à la place de la Nation (ex Obélisque). En attendant, les deux camps s’accusent mutuellement dans le journal.
La TRIBUNE soutient qu’après le « tout sauf Diouf » et le « tout sauf Wade », le « tout sauf Macky » est en gestation. C’est parce que l’opposition cherche la meilleurs formule pour mutualiser ses forces dans le but de forcer le locataire du Palais à la cohabitation. Ce qui doit-être le premier jalon vers son éjection du fauteuil en 2019.
Le QUOTIDIEN relate la bataille entre apréristes pour le contrôle de Yoff. Et c’est Diouf Sarr qui fait face à Amadou Bâ. Quand des Lébous de Yoff ont décidé d’afficher leur soutien au ministre Amadou Bâ, le Conseil des notables de Yoff, organe suprême de la communauté a réitéré sa fidélité indéfectible au maire Abdoulaye Diouf Sarr.
Ousmane Tanor Dieng parle de Khalifa Sall à la UNE de VOX POPULI. « On n’a pas de problèmes personnels, lui-même, il l’a dit. Le seul problème que nous avons, c’est ceux qui sont avec lui et qui disent qu’on ne doit pas être dans la coalition Benno Bokk Yakaar ».
Le TEMOIN propose un grand dossier sur le Pds. Selon le journal, depuis sa création en 1974, le Pds subit les secousses sismiques des défections et des exclusions dans ses rangs. Le journal raconte « le difficile retour dans l’opposition ».
Terminons avec SUDQUOTIDIEN qui revient sur la volonté du chef de l’Etat de rémunérer les chefs de villages. L’opposition en voit tout simplement un calcul politique visant à faire les yeux doux aux chefs de villages en prélude des prochaines législatives. Ce que réfute le camp du pouvoir.