La sécurité de l’ex présidente de l’OFNAC en question dans DIRECT INFO. Selon le journal, « des indiscrétions révèlent qu’elle aurait reçu des menaces. Ce qui fait qu’on s’inquiète sur sa sécurité que l’Etat doit impérativement assurer ». DIRECT INFO ajoute que Nafi Ngom Keïta a reçu quatre positions : vice-gouverneur de la Banque centrale, une station à l’Uemoa, une nomination de ministre et une affectation comme Ambassadeur. Dans ses révélations le journal rapporte que « visiblement, elle veut en découdre avec l’autorité et exige son retour à son corps d’origine comme le stipule la loi ». DIRECT INFO promet des révélations prochainement sur la liste des hautes personnalités et structures que Nafi Ngom Keïta a laissées au niveau de l’Ofnac.
Non loin de ces histoires de gestion, retenez en matière de fiscalité avec le SOLEIL que « l’Etat a renoncé à 1436 milliards de Fcfa en 2008 et 2013 ». Ces dérogations fiscales, qui ont des fondements économiques et sociaux, ont essentiellement bénéficié aux entreprises et aux ménages, selon un rapport de la Direction des Impôts et Domaines (Dgid). Pour son Directeur général, « les performances de la Dgid n’en souffrent pas ».
Restons dans le monde des finances avec l’AS qui informe que malgré un budget record de plus de 3000 milliards Fcfa en 2016, le Sénégal doit trouver les moyens de financer son déficit budgétaire qui est de 4,8% du Pib. Pour cela, notre pays va lancer ce jeudi 04 Août une obligation du trésor sur le marché financier de l’Uemoa pour lever des fonds d’un montant de 30 milliards Fcfa pour le financement du déficit budgétaire.
Pour finir avec ces questions de finances, LIBERATION informe qu’en trois ans le Sénégal a empoché 152 milliards de Fcfa à la suite de contentieux. Le journal donne les exemples de la redevance versée par la société Millicom exploitant la deuxième licence de téléphonie mobile à la suite de négociations portant sur le prix d’acquisition de celle-ci ou encore l’affaire Arcelor Mital. LIBERATION note que pour le régime sortant aucune ressource de ce type tirée d’un quelconque contentieux n’a été porté à la connaissance du Parlement ou fait l’objet d’une budgétisation dans une loi de finance de 2008 à 2012. Pendant ce temps, ajoute le journal, le Sénégal a payé plus de 102 milliards en termes de contentieux qui sont tous nés lors de la gestion du régime sortant.
En politique Khalife Sall déclare dans WALFQUOTIDIEN que « nous sommes des socialistes et nous ne renoncerons jamais, jamais, jamais à la conquête du pouvoir ». Dans les colonnes du même journal, Bamba Fall, maire de la Médina avance qu’Aïssata Tall Sall ira à la conquête de l’Assemblée nationale et Khalifa Sall de la présidence de la République.
Dans SUDQUOTIDIEN, on retient que Khalifa Sall maintient le suspense pour sa candidature à la présidentielle de 2019. Selon le journal même galvanisé par ses partisans lors de leur meeting de ce samedi, le maire de Dakar a fait comprendre à ses inconditionnels que la force de leur parti réside dans son unité. Mais qu’il le veuille ou pas, Barthélémy Dias dans le même journal, soutient qu’ils iront aux législatives prochaines avec lui sans la coalition Benno Bokk Yakaar.
Le constat du journal ENQUETE est sans appel, « désaccords sur les prochaines élections : Le Ps vole en éclats ». C’est parce que le Bureau politique du parti se dit favorable à une alliance avec Benno Bokk Yakaar aux prochaines législatives là où les pro-Khalifa eux, pensent que leur parti doit se passer de cette coalition et présenter ses propres listes.
A la UNE de la TRIBUNE, Abdoul Mbaye qui est placé sous contrôle judiciaire dans une histoire de faux et usage de faux l’opposant avec son ex-femme dénonce « un complot d’Etat qui veut l’empêcher de se présenter lors des prochaines échéances électorales ». Mais dans l’OBS, il prévient et ironise, « on cherche une faille pour me rendre inéligible, mais je resterai un lion toutes griffes dehors ». L’AS revient sur les raisons du clash entre Macky Sall et Abdoul Mbaye. Le journal parle de la genèse de l’histoire qui a débuté avec son limogeage. Le chef de l’Etat lui a signifié sa décision en septembre 2013 lui demandant de retourner dans son bureau pour faire ses bagages calmement et de préparer sa lettre de démission mais à peine sorti du Palais, il entend à la radio son limogeage et son remplacement par Aminata Touré. L’autre élément avancé par le journal c’est le dîner habituel entre le chef de l’Etat et son PM pour discuter des questions liées à la gestion du pays. Selon le journal Macky Sall a mis fin à ce rendez-vous habituel avec Abdoul Mbaye quand ce dernier a déclaré sa candidature au Cio ce qui l’opposait ainsi à Mamadou Diagna Ndiaye, conseiller spécial du chef de l’Etat.
La lutte sénégalaise à la UNE du POP et du QUOTIDIEN. Selon le dernier journal cité, « quatre ans après l’avoir battu par avertissement, Modou Lô de Rock Energie a pris de nouveau le meilleur sur Gris Bordeaux de Fass ». Titre du journal, « Le Tigre de Fass chute deux fois : Lô efface Gris ». Le Pop se pose une question, « Le titre de Tigre de Fass en question : Gris, La chute de trop ? ».
Non loin de ces histoires de gestion, retenez en matière de fiscalité avec le SOLEIL que « l’Etat a renoncé à 1436 milliards de Fcfa en 2008 et 2013 ». Ces dérogations fiscales, qui ont des fondements économiques et sociaux, ont essentiellement bénéficié aux entreprises et aux ménages, selon un rapport de la Direction des Impôts et Domaines (Dgid). Pour son Directeur général, « les performances de la Dgid n’en souffrent pas ».
Restons dans le monde des finances avec l’AS qui informe que malgré un budget record de plus de 3000 milliards Fcfa en 2016, le Sénégal doit trouver les moyens de financer son déficit budgétaire qui est de 4,8% du Pib. Pour cela, notre pays va lancer ce jeudi 04 Août une obligation du trésor sur le marché financier de l’Uemoa pour lever des fonds d’un montant de 30 milliards Fcfa pour le financement du déficit budgétaire.
Pour finir avec ces questions de finances, LIBERATION informe qu’en trois ans le Sénégal a empoché 152 milliards de Fcfa à la suite de contentieux. Le journal donne les exemples de la redevance versée par la société Millicom exploitant la deuxième licence de téléphonie mobile à la suite de négociations portant sur le prix d’acquisition de celle-ci ou encore l’affaire Arcelor Mital. LIBERATION note que pour le régime sortant aucune ressource de ce type tirée d’un quelconque contentieux n’a été porté à la connaissance du Parlement ou fait l’objet d’une budgétisation dans une loi de finance de 2008 à 2012. Pendant ce temps, ajoute le journal, le Sénégal a payé plus de 102 milliards en termes de contentieux qui sont tous nés lors de la gestion du régime sortant.
En politique Khalife Sall déclare dans WALFQUOTIDIEN que « nous sommes des socialistes et nous ne renoncerons jamais, jamais, jamais à la conquête du pouvoir ». Dans les colonnes du même journal, Bamba Fall, maire de la Médina avance qu’Aïssata Tall Sall ira à la conquête de l’Assemblée nationale et Khalifa Sall de la présidence de la République.
Dans SUDQUOTIDIEN, on retient que Khalifa Sall maintient le suspense pour sa candidature à la présidentielle de 2019. Selon le journal même galvanisé par ses partisans lors de leur meeting de ce samedi, le maire de Dakar a fait comprendre à ses inconditionnels que la force de leur parti réside dans son unité. Mais qu’il le veuille ou pas, Barthélémy Dias dans le même journal, soutient qu’ils iront aux législatives prochaines avec lui sans la coalition Benno Bokk Yakaar.
Le constat du journal ENQUETE est sans appel, « désaccords sur les prochaines élections : Le Ps vole en éclats ». C’est parce que le Bureau politique du parti se dit favorable à une alliance avec Benno Bokk Yakaar aux prochaines législatives là où les pro-Khalifa eux, pensent que leur parti doit se passer de cette coalition et présenter ses propres listes.
A la UNE de la TRIBUNE, Abdoul Mbaye qui est placé sous contrôle judiciaire dans une histoire de faux et usage de faux l’opposant avec son ex-femme dénonce « un complot d’Etat qui veut l’empêcher de se présenter lors des prochaines échéances électorales ». Mais dans l’OBS, il prévient et ironise, « on cherche une faille pour me rendre inéligible, mais je resterai un lion toutes griffes dehors ». L’AS revient sur les raisons du clash entre Macky Sall et Abdoul Mbaye. Le journal parle de la genèse de l’histoire qui a débuté avec son limogeage. Le chef de l’Etat lui a signifié sa décision en septembre 2013 lui demandant de retourner dans son bureau pour faire ses bagages calmement et de préparer sa lettre de démission mais à peine sorti du Palais, il entend à la radio son limogeage et son remplacement par Aminata Touré. L’autre élément avancé par le journal c’est le dîner habituel entre le chef de l’Etat et son PM pour discuter des questions liées à la gestion du pays. Selon le journal Macky Sall a mis fin à ce rendez-vous habituel avec Abdoul Mbaye quand ce dernier a déclaré sa candidature au Cio ce qui l’opposait ainsi à Mamadou Diagna Ndiaye, conseiller spécial du chef de l’Etat.
La lutte sénégalaise à la UNE du POP et du QUOTIDIEN. Selon le dernier journal cité, « quatre ans après l’avoir battu par avertissement, Modou Lô de Rock Energie a pris de nouveau le meilleur sur Gris Bordeaux de Fass ». Titre du journal, « Le Tigre de Fass chute deux fois : Lô efface Gris ». Le Pop se pose une question, « Le titre de Tigre de Fass en question : Gris, La chute de trop ? ».
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