Les mesures annoncées par le chef de l’Etat hier en Conseil des ministres pour lutter contre la criminalité sont à la UNE de presque toute la presse. « L’Etat sort de sa torpeur » (ENQUETE), « Macky sort la matraque » (TEMOIN), « Macky fourbit ses armes » (Le QUOTIDIEN), « Macky tape sur la table » (POP)… On retient de façon générale que le chef de l’Etat « après avoir condamné les crimes crapuleux commis ces dernières semaines et présenté ses condoléances aux familles éplorées, a rappelé à son gouvernement l’impératif du renforcement de la sécurité des populations et l’urgence de prendre toutes les dispositions préventives et coercitives requises notamment par la police et la gendarmerie pour juguler la criminalité ».
Le SOLEIL reprenant le communiqué du Conseil des ministres ajoute sur ce sujet qu’au-delà des mesures d’ordre législatif et réglementaire, le président de la République indique au gouvernement l’urgence de renforcer notre conscience citoyenne mais également les mécanismes de capitalisation des valeurs psycho-sociales qui fondent le vivre ensemble des sénégalais.
Pour le meurtre de Fatoumata Matar Ndiaye, l’OBS propose ce matin le portrait du présumé coupable, Samba Sékou Sow. Titre de l’enquête du journal, « Ange et démon, le double visage de Samba Sow ». Parce que là où certaines connaissances le présentent comme un voleur et un menteur d’autres parlent de lui comme « un travailleur régulier et assidu, un homme au grand cœur ». Son bailleur ajoute qu’il est surpris d’ailleurs qu’on parle de Samba Sow comme un meurtrier.
Sur un autre plan, WALFQUOTIDIEN pense que la recrudescence de l’insécurité et des meurtres est un terreau fertile pour la justice populaire. Selon le journal, en attendant la matérialisation de la promesse du chef de l’Etat sur le renforcement de la sécurité, des habitants s’organisent dans de nombreux quartiers de Dakar. Ce sont des groupes qui se substituent à la force publique pour prendre en charge la sécurité des lieux et décider du sort des contrevenants.
Pour la justice légale, la TRIBUNE informe que Barthélémy Dias est envoyé en procès le 1er décembre à la première Chambre du Tribunal correctionnel de Dakar. Le journal rappelle qu’il est poursuivi pour coups mortels mais également pour détention illégale d’arme à feu. Pour rester dans l’air du temps avec le débat autour de la peine de mort, la TRIBUNE se pose une question à la UNE, « Peine de mort politique pour Barth ? ».
De façon générale, l’AS informe qu’il y a une problématique de l’application des lois au Sénégal. Selon le journal, « de la loi sur le gaspillage à celle sur la base du coût du loyer, sans compter le texte relatif à l’interdiction de fumer en public ou celui de l’interdiction de la vente des sachets plastiques, aucun de ces textes n’est appliqué scrupuleusement ».
Sur le plan politique, SUDQUOTIDIEN informe que notre pays cherche un fichier pour l’organisation des élections législatives de 2017. Selon le journal à un peu plus de six mois de ces élections, le choix du fichier (entre l’ancien et celui en cours de confection), semble une nébuleuse pour l’Etat qui selon toute vraisemblance, est loin de se préoccuper d’éclairer la lanterne des Sénégalais sur lequel des deux fichiers va servir de support pour les prochaines échéances.
On reste en politique où DIRECT INFO se demande si le Sénégal a une opposition. Le journal qui constate « une réponse timorée de l’opposition face aux questions de l’heure soutient tout de même que « Manko Wattu Senegaal » a réussi à faire une percée mais doit batailler ferme pour ne pas céder sur l’autel d’un régime qui semble privilégier l’argument de la force et non la force des arguments.
Terminons avec LIBERATION qui parle d’une bamboula foncière avec l’attribution de 100. 000 hectares attribués au roumain Ovidiu Tender. Le journal rapporte le contenu d’un rapport de « Land Matrix » rendu public en début de semaine. Cela s’est passé en 2011 et ces terres étaient destinées pour la culture du jatropha. Tender a aussi bénéficié de permis de recherches minières au Sénégal.
Le SOLEIL reprenant le communiqué du Conseil des ministres ajoute sur ce sujet qu’au-delà des mesures d’ordre législatif et réglementaire, le président de la République indique au gouvernement l’urgence de renforcer notre conscience citoyenne mais également les mécanismes de capitalisation des valeurs psycho-sociales qui fondent le vivre ensemble des sénégalais.
Pour le meurtre de Fatoumata Matar Ndiaye, l’OBS propose ce matin le portrait du présumé coupable, Samba Sékou Sow. Titre de l’enquête du journal, « Ange et démon, le double visage de Samba Sow ». Parce que là où certaines connaissances le présentent comme un voleur et un menteur d’autres parlent de lui comme « un travailleur régulier et assidu, un homme au grand cœur ». Son bailleur ajoute qu’il est surpris d’ailleurs qu’on parle de Samba Sow comme un meurtrier.
Sur un autre plan, WALFQUOTIDIEN pense que la recrudescence de l’insécurité et des meurtres est un terreau fertile pour la justice populaire. Selon le journal, en attendant la matérialisation de la promesse du chef de l’Etat sur le renforcement de la sécurité, des habitants s’organisent dans de nombreux quartiers de Dakar. Ce sont des groupes qui se substituent à la force publique pour prendre en charge la sécurité des lieux et décider du sort des contrevenants.
Pour la justice légale, la TRIBUNE informe que Barthélémy Dias est envoyé en procès le 1er décembre à la première Chambre du Tribunal correctionnel de Dakar. Le journal rappelle qu’il est poursuivi pour coups mortels mais également pour détention illégale d’arme à feu. Pour rester dans l’air du temps avec le débat autour de la peine de mort, la TRIBUNE se pose une question à la UNE, « Peine de mort politique pour Barth ? ».
De façon générale, l’AS informe qu’il y a une problématique de l’application des lois au Sénégal. Selon le journal, « de la loi sur le gaspillage à celle sur la base du coût du loyer, sans compter le texte relatif à l’interdiction de fumer en public ou celui de l’interdiction de la vente des sachets plastiques, aucun de ces textes n’est appliqué scrupuleusement ».
Sur le plan politique, SUDQUOTIDIEN informe que notre pays cherche un fichier pour l’organisation des élections législatives de 2017. Selon le journal à un peu plus de six mois de ces élections, le choix du fichier (entre l’ancien et celui en cours de confection), semble une nébuleuse pour l’Etat qui selon toute vraisemblance, est loin de se préoccuper d’éclairer la lanterne des Sénégalais sur lequel des deux fichiers va servir de support pour les prochaines échéances.
On reste en politique où DIRECT INFO se demande si le Sénégal a une opposition. Le journal qui constate « une réponse timorée de l’opposition face aux questions de l’heure soutient tout de même que « Manko Wattu Senegaal » a réussi à faire une percée mais doit batailler ferme pour ne pas céder sur l’autel d’un régime qui semble privilégier l’argument de la force et non la force des arguments.
Terminons avec LIBERATION qui parle d’une bamboula foncière avec l’attribution de 100. 000 hectares attribués au roumain Ovidiu Tender. Le journal rapporte le contenu d’un rapport de « Land Matrix » rendu public en début de semaine. Cela s’est passé en 2011 et ces terres étaient destinées pour la culture du jatropha. Tender a aussi bénéficié de permis de recherches minières au Sénégal.
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