Nafi Ngom Keïta toujours star dans la presse. L’OBS renseigne que les autorités ont jugé nécessaire d’auditer sa gestion avant la prise de fonction de sa remplaçante, Seynabou Ndiaye Diakhaté. Les sources du journal avancent que pour éviter tout conflit d’intérêt, la mission d’audit est confiée à la Cour suprême. Titre du journal, « Mission d’audit et de contrôle à l’Ofnac : La Cour des comptes fouille Nafi Ngom ».
Cette même cour apporte des précisions dans l’AS. Son secrétaire général, Abdoulaye Ndiaye recadre Nafi Ngom Keïta au sujet de la déclaration de patrimoine que la présidente de l’Ofnac exigeait du premier président de la Cour suprême. Dans sa lettre, le secrétaire général de la Cour affirme qu’au titre de la gestion 2016, ce sont 846 063 000 FCFA qui ont été alloués à la Cour et non 1 811 925 760 FCFA comme avancer par Nafi Ngom Keïta pour exiger la déclaration de patrimoine. Ainsi, la cour ne pouvant effectuer des opérations financières que sur ce montant qui est inférieur à 1 milliard, aucun de ses membres n’est assujetti à la déclaration de patrimoine.
Après les précisions de la Cour des comptes, c’est « le gouvernement qui porte l’estocade à Nafi Ngom » écrit le POP. A la UNE du journal, on peut lire que « les autorités accusent Nafi Ngom Keïta d’avoir joui des avantages attachés à sa fonction et de 8 mois de salaires dès sa nomination et de vouloir remettre en cause le décret qui lui a accordé ses faveurs ». Le POP ajoute que le gouvernement par la voix de son porte-parole, Seydou Gueye, reproche à l’ex-présidente de l’Ofnac d’avoir organisé des fuites de courriers et de dossiers en instruction dans la presse ».
Nafi Ngom Keïta explique, dans la TRIBUNE, pourquoi elle a décidé de saisir la Cour suprême. Elle précise que jamais au monde, elle ne retournerait à l’Ofnac, c’est une page tournée. Mais elle veut aller jusqu’au bout par principe pour être quitte avec sa conscience et ses convictions républicaines.
DIRECT INFO apporte des informations sur la visite du fils du khalife général des mourides à Nafi Ngom Keïta. Selon le journal, le fils du khalife a dit à l’ex présidente de l’Ofnac, « je te félicite. Reste dans la voie de la vérité. Tu as ma bénédiction ».
Ousmane Sonko est toujours là. Dans la TRIBUNE, il menace de porter plainte contre le directeur général des Impôts et Domaines, Cheikh Tidiane Bâ pour complicité dans l’affaire Petro Tim. Pour Sonko, le directeur général de la Dgid serait complice de non versement des 90 milliards de Fcfa qu’Aliou Sall doit au fisc sénégalais dans le cadre de la transaction de la licence de cession entre Petro Tim et Timis Corporate de Franck Timis.
On reste dans le domaine de la justice pour dire avec WALFQUOTIDIEN qu’avec la grève du syndicat des travailleurs de la justice, c’est plus de 30 milliards perdus en six jours. Le journal ajoute que « les usagers partagés entre tracasseries et colère au palais de justice en appellent à d’autres alternatives ».
Le TEMOIN réalise un dossier sur la Police sénégalaise. Le journal fait le plaidoyer « en faveur de ces agents de la police pétris des valeurs qui fondent la République ». Le TEMOIN qui demande plus de considération pour la Police constate qu’ « entre le devoir d’assurer la mission régalienne de la sécurité de la nation, de gommer leur mauvaise image dans les médias et d’humaniser leurs rapports de plus en plus conflictuels avec une partie de la population, les fonctionnaires de police se trouvent être les victimes d’un système exécutif et judiciaire qui les a abandonnés ». Le journal revient sur les multiples condamnations de policiers depuis 1984.
Dans la vie des institutions, SUDQUOTIDIEN réalise un dossier sur la longévité des membres de la Commission électorale nationale autonome (Cena). Le journal écrit que dans l’équipe actuelle, figure 4 membres qui font partie de l’équipe pionnière, notamment celle de 2005, année de sa création. Selon les sources du journal, c’est une conséquence d’une « mauvaise loi » car la loi n’avait pas prévu un renouvellement exceptionnel d’une partie de la première équipe au bout de 3 ans, afin d’assurer une sorte de transition quand l’équipe pionnière finira son mandat de 6 ans.
Dans le domaine de l’économie, le SOLEIL informe que le Sénégal veut réactualiser ses statistiques. Le processus de recensement général des entreprises a été officiellement lancé hier par le chef de l’Etat. Macky Sall soutient qu’il a voulu que « le Pse puisse disposer d’instruments modernes de mesure de nos progrès et insuffisances dans la marche vers l’émergence ». Pour le président de la République, « si la base de calcul est l’année 1999, cela veut dire que nous avons tout faux ». En effet présentement, écrit le SOLEIL, « la base de données permettant de se faire une idée exacte des structures économiques au Sénégal date de 1999 ».
Aly Haïdar dans SUDQUOTIDIEN revient sur le trafic illicite de bois en Casamance. L’ancien ministre de l’Ecologie affirme qu’après l’annonce des mesures prises par le gouvernement du Sénégal pour lutter contre le trafic illicite de bois en Casamance, la Gambie a décidé de tenir tête au Sénégal en mettant sous haute surveillance les dépôts du bois pris en zone sénégalaise. Il soutient que pour mettre fin à l’action des braconniers, il faut une présence permanente sur le terrain et la pénalisation de la coupe illicite de bois.
Dans le QUOTIDIEN on parle de l’érection de l’Aéroport international Blaise Diagne de Diass qui aiguise les appétits et exacerbe la colère des populations des villages qui polarisent l’infrastructure. Selon le journal, les habitants de Thiambokh qui ont déjà perdu une partie de leurs terres à cause de l’aéroport, sont encore descendus dans la rue pour pester contre l’érection de mille logements sociaux sur une surface de 4 millions de m2, tirés des flancs de leur terroir.
Abdoul Mbaye manque cruellement lui de bouclier pour parer aux piques qui fusent de partout. ENQUETE qui le dit constate que son entourage est à l’image de l’ancien chef du gouvernement : d’une discrétion absolue. Selon le journal, l’ancien PM qui est confronté à une âpre adversité sur le front politique et judiciaire, semble être en panne de soutiens. Surtout que sa nouvelle formation politique est loin d’être un foudre de guerre.
Terminons avec LIBERATION qui rapporte que sur le financement du coup d’Etat raté en Turquie, la banque Uba est mouillée dans le scandale. Le journal écrit que les fonds qui ont financé le coup d’Etat avorté auraient transité sur plusieurs versements à Uba. La banque dément formellement mais le gouvernement turc y croit dur comme fer. Deux milliards de dollar sont mis en cause.
Cette même cour apporte des précisions dans l’AS. Son secrétaire général, Abdoulaye Ndiaye recadre Nafi Ngom Keïta au sujet de la déclaration de patrimoine que la présidente de l’Ofnac exigeait du premier président de la Cour suprême. Dans sa lettre, le secrétaire général de la Cour affirme qu’au titre de la gestion 2016, ce sont 846 063 000 FCFA qui ont été alloués à la Cour et non 1 811 925 760 FCFA comme avancer par Nafi Ngom Keïta pour exiger la déclaration de patrimoine. Ainsi, la cour ne pouvant effectuer des opérations financières que sur ce montant qui est inférieur à 1 milliard, aucun de ses membres n’est assujetti à la déclaration de patrimoine.
Après les précisions de la Cour des comptes, c’est « le gouvernement qui porte l’estocade à Nafi Ngom » écrit le POP. A la UNE du journal, on peut lire que « les autorités accusent Nafi Ngom Keïta d’avoir joui des avantages attachés à sa fonction et de 8 mois de salaires dès sa nomination et de vouloir remettre en cause le décret qui lui a accordé ses faveurs ». Le POP ajoute que le gouvernement par la voix de son porte-parole, Seydou Gueye, reproche à l’ex-présidente de l’Ofnac d’avoir organisé des fuites de courriers et de dossiers en instruction dans la presse ».
Nafi Ngom Keïta explique, dans la TRIBUNE, pourquoi elle a décidé de saisir la Cour suprême. Elle précise que jamais au monde, elle ne retournerait à l’Ofnac, c’est une page tournée. Mais elle veut aller jusqu’au bout par principe pour être quitte avec sa conscience et ses convictions républicaines.
DIRECT INFO apporte des informations sur la visite du fils du khalife général des mourides à Nafi Ngom Keïta. Selon le journal, le fils du khalife a dit à l’ex présidente de l’Ofnac, « je te félicite. Reste dans la voie de la vérité. Tu as ma bénédiction ».
Ousmane Sonko est toujours là. Dans la TRIBUNE, il menace de porter plainte contre le directeur général des Impôts et Domaines, Cheikh Tidiane Bâ pour complicité dans l’affaire Petro Tim. Pour Sonko, le directeur général de la Dgid serait complice de non versement des 90 milliards de Fcfa qu’Aliou Sall doit au fisc sénégalais dans le cadre de la transaction de la licence de cession entre Petro Tim et Timis Corporate de Franck Timis.
On reste dans le domaine de la justice pour dire avec WALFQUOTIDIEN qu’avec la grève du syndicat des travailleurs de la justice, c’est plus de 30 milliards perdus en six jours. Le journal ajoute que « les usagers partagés entre tracasseries et colère au palais de justice en appellent à d’autres alternatives ».
Le TEMOIN réalise un dossier sur la Police sénégalaise. Le journal fait le plaidoyer « en faveur de ces agents de la police pétris des valeurs qui fondent la République ». Le TEMOIN qui demande plus de considération pour la Police constate qu’ « entre le devoir d’assurer la mission régalienne de la sécurité de la nation, de gommer leur mauvaise image dans les médias et d’humaniser leurs rapports de plus en plus conflictuels avec une partie de la population, les fonctionnaires de police se trouvent être les victimes d’un système exécutif et judiciaire qui les a abandonnés ». Le journal revient sur les multiples condamnations de policiers depuis 1984.
Dans la vie des institutions, SUDQUOTIDIEN réalise un dossier sur la longévité des membres de la Commission électorale nationale autonome (Cena). Le journal écrit que dans l’équipe actuelle, figure 4 membres qui font partie de l’équipe pionnière, notamment celle de 2005, année de sa création. Selon les sources du journal, c’est une conséquence d’une « mauvaise loi » car la loi n’avait pas prévu un renouvellement exceptionnel d’une partie de la première équipe au bout de 3 ans, afin d’assurer une sorte de transition quand l’équipe pionnière finira son mandat de 6 ans.
Dans le domaine de l’économie, le SOLEIL informe que le Sénégal veut réactualiser ses statistiques. Le processus de recensement général des entreprises a été officiellement lancé hier par le chef de l’Etat. Macky Sall soutient qu’il a voulu que « le Pse puisse disposer d’instruments modernes de mesure de nos progrès et insuffisances dans la marche vers l’émergence ». Pour le président de la République, « si la base de calcul est l’année 1999, cela veut dire que nous avons tout faux ». En effet présentement, écrit le SOLEIL, « la base de données permettant de se faire une idée exacte des structures économiques au Sénégal date de 1999 ».
Aly Haïdar dans SUDQUOTIDIEN revient sur le trafic illicite de bois en Casamance. L’ancien ministre de l’Ecologie affirme qu’après l’annonce des mesures prises par le gouvernement du Sénégal pour lutter contre le trafic illicite de bois en Casamance, la Gambie a décidé de tenir tête au Sénégal en mettant sous haute surveillance les dépôts du bois pris en zone sénégalaise. Il soutient que pour mettre fin à l’action des braconniers, il faut une présence permanente sur le terrain et la pénalisation de la coupe illicite de bois.
Dans le QUOTIDIEN on parle de l’érection de l’Aéroport international Blaise Diagne de Diass qui aiguise les appétits et exacerbe la colère des populations des villages qui polarisent l’infrastructure. Selon le journal, les habitants de Thiambokh qui ont déjà perdu une partie de leurs terres à cause de l’aéroport, sont encore descendus dans la rue pour pester contre l’érection de mille logements sociaux sur une surface de 4 millions de m2, tirés des flancs de leur terroir.
Abdoul Mbaye manque cruellement lui de bouclier pour parer aux piques qui fusent de partout. ENQUETE qui le dit constate que son entourage est à l’image de l’ancien chef du gouvernement : d’une discrétion absolue. Selon le journal, l’ancien PM qui est confronté à une âpre adversité sur le front politique et judiciaire, semble être en panne de soutiens. Surtout que sa nouvelle formation politique est loin d’être un foudre de guerre.
Terminons avec LIBERATION qui rapporte que sur le financement du coup d’Etat raté en Turquie, la banque Uba est mouillée dans le scandale. Le journal écrit que les fonds qui ont financé le coup d’Etat avorté auraient transité sur plusieurs versements à Uba. La banque dément formellement mais le gouvernement turc y croit dur comme fer. Deux milliards de dollar sont mis en cause.
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