La politique domine l’actualité dans la presse du jour. SUDQUOTIDIEN informe que Babacar Gaye du Pds investit Khalifa Sall, tête de liste de l’opposition à Dakar pour les prochaines législatives. Le responsable libéral soutient ainsi que par cet acte, « l’opposition va montrer au chef de l’Etat et chef de file de l’Apr que Dakar appartient à son maire ». L’OBS va plus loin pour affirmer que « l’opposition choisit Khalifa Sall pour porter sa liste à Dakar ». Selon le journal, cette idée de Babacar Gaye, porte-parole du Pds avancée dans l’émission Grand Jury de la Rfm, épouse la position de Rewmi d’Idrissa Seck, de Bokk Guis-Guis de Pape Diop mais aussi le Grand Parti de Malick Gakou qui avait déjà annoncé la couleur.
Les manœuvres sont aussi à un autre niveau nous dit l’AS. Selon le journal, le front anti-Macky prend forme à partir de Djeddah. A la Mecque pour le petit pèlerinage dit Oumrah, Me Abdoulaye Wade en a profité pour convier sur place Oumar Sarr, Madické Niang, Malick Gakou, Pape Diop, Mamadou Diop Decroix. Il s’agit d’effectuer le pèlerinage et rassembler les forces politiques de l’opposition pour bâtir un large front contre le président Macky Sall. L’AS ajoute d’ailleurs que Karim Wade pourrait éventuellement les y retrouver. Pour ce dernier, Babacar Gaye dans SUDQUOTIDIEN, affirme qu’il lui a dit qu’il sera là dans le dernier trimestre qui précède les législatives et lui a fait part de sa volonté de s’investir politiquement. Dans le TEMOIN, Farba Senghor parle du combat du Pds, de ses alliés et des karimistes pour une majorité acquise à l’Assemblée qui permettra de voter une amnistie générale qui va laver Karim Wade totalement et lui permettre de rentrer tranquillement au Sénégal.
Pour revenir sur Khalifa Sall, la TRIBUNE le considère comme un prisonnier encombrant car depuis son incarcération, des voix s’élèvent de plus en plus pour demander que le chef de l’Etat aille jusqu’au bout en transmettant à la justice les dossiers des corps de contrôle qui incriminent certains de ses proches. Sur cette affaire, WALFQUOTIDIEN informe que « pour avoir avoué dans la presse que l’affaire Khalifa Sall a des relents politiques, le ministre d’Etat Mbaye Ndiaye a été taillé en pièces hier au Palais. Il lui est reproché de s’être écarté de la ligne de défense du pouvoir sur ce dossier gênant ».
ENQUETE nous parle des élus qui ont été destitués sur fond de calculs politiques. Selon le journal, les pouvoirs qui se sont succédé à la tête du pays ont utilisé des subterfuges politiques et même politiciens pour liquider des adversaires politiques. Le journal cite Mamadou Cora Fall révoqué par Abdou Diouf en 1987, Mbaye Ndiaye, Moustapha Cissé Lô et Macky Sall, destitués par Abdoulaye Wade en 2008 et en 2009. A cela, ENQUETE ajoute les maires socialistes dépossédés de leurs mairies par des délégations spéciales instituées en 2001 par l’amendement Moussa Sy.
Dans DIRECT INFO, réagissant sur l’affaire Khalifa Sall, Sidy Lamine Niass parle d’une justice politisée et présente le chef de l’Etat comme un distributeur de mandat de dépôt (MD) et de liberté provisoire (LP).
Le SOLEIL fait ce matin un focus sur le Pudc. Lancé en 2015 par le chef de l’Etat Macky Sall, le Programme d’urgence de développement communautaire (Pudc) vise à partager les fruits de la croissance à travers l’amélioration de l’accès des populations rurales aux services sociaux de base afin de corriger les disparités. Titre de ce large dossier, « le Pudc, un concept original de partage de la croissance ».
Le vol de l’électricité coûte annuellement 25 milliards de FCFA à la Senelec. C’est le DG de la boîte qui le dit dans le QUOTIDIEN où « Makhtar Cissé livre les clés du redressement de la Senelec ».
Ce constat de VOX POPULI, « une des bretelles de sortie du pont de l’émergence s’est coupée à cause d’un réseau d’assainissement défectueux ». Le journal parle d’un fait surprenant sur une infrastructure réalisée pour un coût de près de 8 milliards de FCFA et inaugurée il y a juste 8 mois.
Terminons avec LIBERATION qui informe que Lamine Diack et son fils Massata sont visés par quatre nouvelles enquêtes et une information judiciaire ouvertes à Paris à la demande du parquet national financier. Le journal ajoute que les sociétés Pamodzi et Sporting Age basées à Dakar sont visées par ces enquêtes.
Les manœuvres sont aussi à un autre niveau nous dit l’AS. Selon le journal, le front anti-Macky prend forme à partir de Djeddah. A la Mecque pour le petit pèlerinage dit Oumrah, Me Abdoulaye Wade en a profité pour convier sur place Oumar Sarr, Madické Niang, Malick Gakou, Pape Diop, Mamadou Diop Decroix. Il s’agit d’effectuer le pèlerinage et rassembler les forces politiques de l’opposition pour bâtir un large front contre le président Macky Sall. L’AS ajoute d’ailleurs que Karim Wade pourrait éventuellement les y retrouver. Pour ce dernier, Babacar Gaye dans SUDQUOTIDIEN, affirme qu’il lui a dit qu’il sera là dans le dernier trimestre qui précède les législatives et lui a fait part de sa volonté de s’investir politiquement. Dans le TEMOIN, Farba Senghor parle du combat du Pds, de ses alliés et des karimistes pour une majorité acquise à l’Assemblée qui permettra de voter une amnistie générale qui va laver Karim Wade totalement et lui permettre de rentrer tranquillement au Sénégal.
Pour revenir sur Khalifa Sall, la TRIBUNE le considère comme un prisonnier encombrant car depuis son incarcération, des voix s’élèvent de plus en plus pour demander que le chef de l’Etat aille jusqu’au bout en transmettant à la justice les dossiers des corps de contrôle qui incriminent certains de ses proches. Sur cette affaire, WALFQUOTIDIEN informe que « pour avoir avoué dans la presse que l’affaire Khalifa Sall a des relents politiques, le ministre d’Etat Mbaye Ndiaye a été taillé en pièces hier au Palais. Il lui est reproché de s’être écarté de la ligne de défense du pouvoir sur ce dossier gênant ».
ENQUETE nous parle des élus qui ont été destitués sur fond de calculs politiques. Selon le journal, les pouvoirs qui se sont succédé à la tête du pays ont utilisé des subterfuges politiques et même politiciens pour liquider des adversaires politiques. Le journal cite Mamadou Cora Fall révoqué par Abdou Diouf en 1987, Mbaye Ndiaye, Moustapha Cissé Lô et Macky Sall, destitués par Abdoulaye Wade en 2008 et en 2009. A cela, ENQUETE ajoute les maires socialistes dépossédés de leurs mairies par des délégations spéciales instituées en 2001 par l’amendement Moussa Sy.
Dans DIRECT INFO, réagissant sur l’affaire Khalifa Sall, Sidy Lamine Niass parle d’une justice politisée et présente le chef de l’Etat comme un distributeur de mandat de dépôt (MD) et de liberté provisoire (LP).
Le SOLEIL fait ce matin un focus sur le Pudc. Lancé en 2015 par le chef de l’Etat Macky Sall, le Programme d’urgence de développement communautaire (Pudc) vise à partager les fruits de la croissance à travers l’amélioration de l’accès des populations rurales aux services sociaux de base afin de corriger les disparités. Titre de ce large dossier, « le Pudc, un concept original de partage de la croissance ».
Le vol de l’électricité coûte annuellement 25 milliards de FCFA à la Senelec. C’est le DG de la boîte qui le dit dans le QUOTIDIEN où « Makhtar Cissé livre les clés du redressement de la Senelec ».
Ce constat de VOX POPULI, « une des bretelles de sortie du pont de l’émergence s’est coupée à cause d’un réseau d’assainissement défectueux ». Le journal parle d’un fait surprenant sur une infrastructure réalisée pour un coût de près de 8 milliards de FCFA et inaugurée il y a juste 8 mois.
Terminons avec LIBERATION qui informe que Lamine Diack et son fils Massata sont visés par quatre nouvelles enquêtes et une information judiciaire ouvertes à Paris à la demande du parquet national financier. Le journal ajoute que les sociétés Pamodzi et Sporting Age basées à Dakar sont visées par ces enquêtes.