L’opposition occupe la UNE de la presse de ce jour. On peut lire dans le TEMOIN, la principale information, « l’opposition prévoit de porter plainte contre Aliou Sall, Frank Timis, Kosmos Energy ». Lors de leur rencontre de ce lundi, la conférence des leaders du Front pour la défense du Sénégal a aussi demandé au chef de l’Etat d’annuler toutes les procédures contraires aux intérêts du peuple sénégalais. WALFQUOTIDIEN informe que l’opposition accuse Macky Sall d’avoir enrichi Petro Tim Limited sans cause. Pour cela et pour le fait que son frère est impliqué dans cette histoire, l’opposition, nous dit le journal, invite le président de la République à s’expliquer devant le peuple. Selon toujours l’opposition dans la TRIBUNE, la gestion de cette affaire a fait perdre au Sénégal plus de 600 milliards de Fcfa au profit de l’enrichissement de la famille du président. Le front soutient d’après ses investigations, qu’il est évident que le frère du président est le titulaire du contrat de recherche sur les blocs de Cayar et Saint-Louis Offshore profond ».
En attendant de découvrir le pétrole en question, parlons des dangers qui guettent les populations qui ont construit leurs maisons sur les pipelines de la Sar. Selon le TEMOIN, en parcourant Cité Sar, Thiaroye Azur et Thiaroye-sur-mer, on frisonne à l’idée qu’un jour, Dakar pourrait vivre l’une des plus terribles catastrophes du Sénégal, dépassant le « Joola » si des mesures énergiques ne sont pas prises.
Pour le débat et les accusations et contre accusations sur le pétrole, les alliés de Macky Sall accusés de fermer les yeux dans l’affaire Petro Tim. Dans SUDQUOTIDIEN, l’Afp et la Ld promettent de se prononcer au moment opportun sur la base d’analyse approfondie et documentée.
En tout cas l’opposition regroupée au sein du Front pour la défense du Sénégal va marcher le 14 octobre pour la défense de la démocratie, des libertés mais aussi pour la protection des ressources de notre pays. Dans le POP, Malick Gakou soutient que « cette marche, nous allons la faire, quoi qu’il advienne ».
Toujours dans le POP, l’opposition a décidé de boycotter le lancement aujourd’hui de la carte d’identité biométrique. ENQUETE informe que la première carte d’identité biométrique de la CEDEAO au Sénégal sera enregistrée au nom du président Sall. Il sera aujourd’hui à la direction de l’automatisation des fichiers dans le cadre du démarrage des opérations de refonte partielle des listes électorales.
On reste avec l’opposition, la TRIBUNE annonce que Karim Wade a quitté Doha pour la France où se tient demain la première manche de son face à face avec l’Etat du Sénégal à Monaco. Au bercail où son retour est annoncé, l’Ujtl et les mouvements qui le soutiennent sont en campagne de réorganisation et de massification des troupes.
Me Ousmane Ngom persiste et signe, dans l’AS, il était au Palais le 25 mars 2012, pour informer Me Wade des tendances lourdes et lui demander d’appeler Macky Sall pour le féliciter. Et pour répondre à ceux qui l’accusent d’être en faveur du ticket présidentiel proposé à l’époque par Wade, il répond, que « je suis l’un des rares collaborateurs de Wade à avoir osé aller lui dire, devant témoin (Souleymane Ndéné Ndiaye) que j’étais contre la réforme du 23 juin ». Mais Samuel Sarr aussi persiste et signe dans l’OBS, « Ousmane Ngom n’était même pas ce jour-là au Palais et que sa déclaration ne serait qu’un tissu de contrevérités ». Dans le même journal, Me Ousmane Ngom soutient que s’il avait divulgué un centième des secrets qu’il détient, c’est tout l’édifice de notre Etat voire du pays qui allait être ébranlé. Ces contradictions sur le coup de fil de Wade inspire ce tire à la UNE du QUOTIDIEN, « Coup de fil de Wade à Macky Sall : 1 appel, 100 sonorités ». Pour mettre fait au déballage, dans l’OBS, Moustapha Diakhaté, président du groupe parlementaire de la mouvance présidentielle propose une modification du Code pénal pour la criminalisation du déballage et du non-respect des obligations de réserve.
A la UNE de DIRECT INFO, le député Bougazelli demande la clémence et la restitution de ses biens à Aïda Ndiongue. Selon le député, « Mme Ndiongue ne doit pas être sanctionnée sur l’autel de la vengeance par Abdoul Mbaye ».
On termine avec LIBERATION qui parle des montages et transactions offshore au Luxembourg de Bibo Bourgi qui a voulu à travers plusieurs sociétés faire main basse sur l’Aéroport International Blaise Diagne.
En attendant de découvrir le pétrole en question, parlons des dangers qui guettent les populations qui ont construit leurs maisons sur les pipelines de la Sar. Selon le TEMOIN, en parcourant Cité Sar, Thiaroye Azur et Thiaroye-sur-mer, on frisonne à l’idée qu’un jour, Dakar pourrait vivre l’une des plus terribles catastrophes du Sénégal, dépassant le « Joola » si des mesures énergiques ne sont pas prises.
Pour le débat et les accusations et contre accusations sur le pétrole, les alliés de Macky Sall accusés de fermer les yeux dans l’affaire Petro Tim. Dans SUDQUOTIDIEN, l’Afp et la Ld promettent de se prononcer au moment opportun sur la base d’analyse approfondie et documentée.
En tout cas l’opposition regroupée au sein du Front pour la défense du Sénégal va marcher le 14 octobre pour la défense de la démocratie, des libertés mais aussi pour la protection des ressources de notre pays. Dans le POP, Malick Gakou soutient que « cette marche, nous allons la faire, quoi qu’il advienne ».
Toujours dans le POP, l’opposition a décidé de boycotter le lancement aujourd’hui de la carte d’identité biométrique. ENQUETE informe que la première carte d’identité biométrique de la CEDEAO au Sénégal sera enregistrée au nom du président Sall. Il sera aujourd’hui à la direction de l’automatisation des fichiers dans le cadre du démarrage des opérations de refonte partielle des listes électorales.
On reste avec l’opposition, la TRIBUNE annonce que Karim Wade a quitté Doha pour la France où se tient demain la première manche de son face à face avec l’Etat du Sénégal à Monaco. Au bercail où son retour est annoncé, l’Ujtl et les mouvements qui le soutiennent sont en campagne de réorganisation et de massification des troupes.
Me Ousmane Ngom persiste et signe, dans l’AS, il était au Palais le 25 mars 2012, pour informer Me Wade des tendances lourdes et lui demander d’appeler Macky Sall pour le féliciter. Et pour répondre à ceux qui l’accusent d’être en faveur du ticket présidentiel proposé à l’époque par Wade, il répond, que « je suis l’un des rares collaborateurs de Wade à avoir osé aller lui dire, devant témoin (Souleymane Ndéné Ndiaye) que j’étais contre la réforme du 23 juin ». Mais Samuel Sarr aussi persiste et signe dans l’OBS, « Ousmane Ngom n’était même pas ce jour-là au Palais et que sa déclaration ne serait qu’un tissu de contrevérités ». Dans le même journal, Me Ousmane Ngom soutient que s’il avait divulgué un centième des secrets qu’il détient, c’est tout l’édifice de notre Etat voire du pays qui allait être ébranlé. Ces contradictions sur le coup de fil de Wade inspire ce tire à la UNE du QUOTIDIEN, « Coup de fil de Wade à Macky Sall : 1 appel, 100 sonorités ». Pour mettre fait au déballage, dans l’OBS, Moustapha Diakhaté, président du groupe parlementaire de la mouvance présidentielle propose une modification du Code pénal pour la criminalisation du déballage et du non-respect des obligations de réserve.
A la UNE de DIRECT INFO, le député Bougazelli demande la clémence et la restitution de ses biens à Aïda Ndiongue. Selon le député, « Mme Ndiongue ne doit pas être sanctionnée sur l’autel de la vengeance par Abdoul Mbaye ».
On termine avec LIBERATION qui parle des montages et transactions offshore au Luxembourg de Bibo Bourgi qui a voulu à travers plusieurs sociétés faire main basse sur l’Aéroport International Blaise Diagne.
Autres articles
-
Urgent : Moustapha Diakhaté placé en garde à vue pour "insulte par le biais d’un système informatique"
-
Rejet de la plainte de l'ASER contre l'ARCOP : Jean-Michel Sène dément et précise
-
Appel téléphonique entre Diomaye et Poutine : les deux hommes s'engagent à renforcer le partenariat bilatéral
-
15e Législature : voici la liste complète des députés élus
-
Le Président Diomaye Faye ambitionne de faire du Sénégal un modèle en matière de gestion de l'eau et d’assainissement