Commençons ce tour d’horizon par l’enquête un après sur la disparition de Sénégal Air. Le QUOTIDIEN qui en parle souligne qu’un an après la disparition de l’avion de Sénégal Air, le mystère est loin d’être percé. Pour le moment, « le Bureau d’enquête et d’analyse pour la sécurité de l’aviation civile (Bea) du Sénégal est actuellement en train de finaliser le projet de rapport final qui doit être envoyé aux entités citées dans le Règlement aéronautique du Sénégal N°13 pour observations dans un délai de 60 jours ». A la fin de ce processus le Bea va publier son rapport final.
On reste dans le milieu aéroportuaire pour parler avec LIBERATION des travailleurs de Sénégal Airlines qui suspendent leur grève de la faim après trois jours pour réclamer 5 mois d’arriérés de salaire. C’est après avoir reçu 50 millions de FCFA du ministère du Tourisme et des Transports Aériens pour faire face aux urgences de la fête de Tabaski.
Le POP revient sur la traque des biens mal acquis en faveur d’une interview de Robert Bourgi sur la télé Voxafrica. Selon l’avocat d’affaire, le chef de l’Etat Macky Sall l’avait demandé à Paris de rencontrer Karim Wade pour lui conseiller de se mettre en règle avec l’administration sénégalaise. Bourgi rapporte que l’ancien ministre lui a répondu, « tonton, tu dis au président 0+0=0 ». Après avoir supplié Karim Wade de répondre favorablement, ce dernier revient à la charge et avec la même réponse, « 0+0=0 ».
Non loin de ces histoires de traque, la TRIBUNE revient sur la sortie de la coalition « Jubanti Sénégal » dirigée par le journaliste Mouth Bane. Elle relève que « 5 enquêteurs au niveau de l’Ofnac ont été limogés parce qu’ils en savent trop sur l’affaire Petro Tim ». La coalition entend saisir les partenaires techniques du Sénégal pour attirer leur attention sur les cas suspects de corruption qui émergent mais aussi sur la tentative de domestication de l’Ofnac.
Le chef de l’Etat lui déclare à la UNE du SOLEIL que « le continent africain doit éviter le piège d’une économie exportatrice de matières premières ». C’était lors du sommet du G20 dont les travaux ont pris fin lundi en Chine. Dans le domaine agricole, le G20 a un plan d’actions qui annonce des mesures concrètes telles que l’innovation agricole, le développement durable agricole et l’informatisation agricole ».
Une longue page politique dans la presse du jour. L’OBS met à sa UNE « sale temps à l’Apr », après l’élection au Haut conseil des collectivités territoriales. Le journal rapporte les contradictions au niveau du parti présidentiel. A Foundiougne, le maire de Mbam, membre de l’Apr, qui a gagné avec sa propre liste accuse Abdou Latif Coulibaly, « il est peut-être un intellectuel, mais un nain politique ». A Louga, ce sont deux camps qui revendiquent la victoire. A Ziguinchor, Doudou Kâ accuse ses frères de parti de traitrise. A Dakar, Yakham Mbaye répond au camp d’Abdoulaye Diouf Sarr, selon le journaliste-politicien, « ceux-là qui ont osé passer outre les directives présidentielles, pour ensuite se bomber le torse, prédisant une superbe victoire, doivent définitivement se taire, aujourd’hui ».
Pour le contrôle de l’Apr à Dakar, le QUOTIDIEN parle d’appel à candidatures. Selon le journal, « Abdoulaye Diouf Sarr estime que cette défaite de benno bokk yaakar n’est pas la sienne. Dans tous les cas, son engagement et sa responsabilité dans cette campagne pour l’élection des hauts conseillers pourraient motiver certains de ses camarades de l’Apr qui voudraient aussi être « patron » de Dakar ».
WALFQUOTIDIEN souligne que le Hcct accentue la division du Ps. Selon le journal, la majorité des militants qui avaient pris d’assaut les bureaux de vote étaient des socialistes divisés en pro Tanor et pro Khalifa. Les deux camps que tout sépare désormais vont continuer à s’affronter dans le Hcct. ENQUETE relève la même chose en soutenant que « la cohabitation déjà critique au sein du Ps risque de n’être pas des plus agréables au Hcct où Tanor va très probablement présider aux destinées de l’Institution ». Le journal revient sur « les séquences et conséquences d’un déchirement ». ENQUETE relève que « la dernière fois que Khalifa Sall et Ousmane Tanor Dieng ont fait cause commune, c’était lors de la présidentielle de 2012 ». En tout cas pour l’analyste politique Momar Seyni Ndiaye dans SUDQUOTIDIEN, « le plus grand perdant sur l’élection des membres du Hcct c’est Tanor et le Ps ». Il soutient que la victoire de Khalifa Sall ne fera qu’affaiblir le Parti socialiste.
Après la victoire étriquée de « And Taxawu Dakar » sur « Benno Bokk Yaakar » : quelle posture doit désormais adopter Khalifa Sall ? La question est à la UNE du TEMOIN. Le journal interroge l’analyste politique Yoro Dia et l’enseignant chercheur Famara Sané. Si le premier soutient que Khalifa Sall doit se réconcilier avec ses anciens partisans de And Taxawu Dakar ayant rejoint BBY, le second pense que le maire de la capitale doit désormais faire face aux conservateurs du Ps.
Pour le Hcct, Me Souleymane Ndéné Ndiaye, ancien Premier ministre soutient dans l’AS « je ne vois pas pourquoi on donnerait la possibilité à un président de nommer 70 personnes sur les 150. Je ne vois pas l’utilité de cette institution à mi-chemin du mandat de Macky Sall ».
L’élection des membres du Hcct a montré la terrible situation du Pds. Selon DIRECT INFO « les libéraux sont dans un trou noir ». Saigné à blanc par de multiples défections, le parti de Wade est dans un embrouillamini terrible. DIRECT INFO soutient que « la dernière illustration nous a été servie avec les élections du Hcct où le Pds désuni a été laminé presque sur toute l’étendue du territoire national. Le parti n’a remporté que le département de Bounkiling ».
On reste dans le milieu aéroportuaire pour parler avec LIBERATION des travailleurs de Sénégal Airlines qui suspendent leur grève de la faim après trois jours pour réclamer 5 mois d’arriérés de salaire. C’est après avoir reçu 50 millions de FCFA du ministère du Tourisme et des Transports Aériens pour faire face aux urgences de la fête de Tabaski.
Le POP revient sur la traque des biens mal acquis en faveur d’une interview de Robert Bourgi sur la télé Voxafrica. Selon l’avocat d’affaire, le chef de l’Etat Macky Sall l’avait demandé à Paris de rencontrer Karim Wade pour lui conseiller de se mettre en règle avec l’administration sénégalaise. Bourgi rapporte que l’ancien ministre lui a répondu, « tonton, tu dis au président 0+0=0 ». Après avoir supplié Karim Wade de répondre favorablement, ce dernier revient à la charge et avec la même réponse, « 0+0=0 ».
Non loin de ces histoires de traque, la TRIBUNE revient sur la sortie de la coalition « Jubanti Sénégal » dirigée par le journaliste Mouth Bane. Elle relève que « 5 enquêteurs au niveau de l’Ofnac ont été limogés parce qu’ils en savent trop sur l’affaire Petro Tim ». La coalition entend saisir les partenaires techniques du Sénégal pour attirer leur attention sur les cas suspects de corruption qui émergent mais aussi sur la tentative de domestication de l’Ofnac.
Le chef de l’Etat lui déclare à la UNE du SOLEIL que « le continent africain doit éviter le piège d’une économie exportatrice de matières premières ». C’était lors du sommet du G20 dont les travaux ont pris fin lundi en Chine. Dans le domaine agricole, le G20 a un plan d’actions qui annonce des mesures concrètes telles que l’innovation agricole, le développement durable agricole et l’informatisation agricole ».
Une longue page politique dans la presse du jour. L’OBS met à sa UNE « sale temps à l’Apr », après l’élection au Haut conseil des collectivités territoriales. Le journal rapporte les contradictions au niveau du parti présidentiel. A Foundiougne, le maire de Mbam, membre de l’Apr, qui a gagné avec sa propre liste accuse Abdou Latif Coulibaly, « il est peut-être un intellectuel, mais un nain politique ». A Louga, ce sont deux camps qui revendiquent la victoire. A Ziguinchor, Doudou Kâ accuse ses frères de parti de traitrise. A Dakar, Yakham Mbaye répond au camp d’Abdoulaye Diouf Sarr, selon le journaliste-politicien, « ceux-là qui ont osé passer outre les directives présidentielles, pour ensuite se bomber le torse, prédisant une superbe victoire, doivent définitivement se taire, aujourd’hui ».
Pour le contrôle de l’Apr à Dakar, le QUOTIDIEN parle d’appel à candidatures. Selon le journal, « Abdoulaye Diouf Sarr estime que cette défaite de benno bokk yaakar n’est pas la sienne. Dans tous les cas, son engagement et sa responsabilité dans cette campagne pour l’élection des hauts conseillers pourraient motiver certains de ses camarades de l’Apr qui voudraient aussi être « patron » de Dakar ».
WALFQUOTIDIEN souligne que le Hcct accentue la division du Ps. Selon le journal, la majorité des militants qui avaient pris d’assaut les bureaux de vote étaient des socialistes divisés en pro Tanor et pro Khalifa. Les deux camps que tout sépare désormais vont continuer à s’affronter dans le Hcct. ENQUETE relève la même chose en soutenant que « la cohabitation déjà critique au sein du Ps risque de n’être pas des plus agréables au Hcct où Tanor va très probablement présider aux destinées de l’Institution ». Le journal revient sur « les séquences et conséquences d’un déchirement ». ENQUETE relève que « la dernière fois que Khalifa Sall et Ousmane Tanor Dieng ont fait cause commune, c’était lors de la présidentielle de 2012 ». En tout cas pour l’analyste politique Momar Seyni Ndiaye dans SUDQUOTIDIEN, « le plus grand perdant sur l’élection des membres du Hcct c’est Tanor et le Ps ». Il soutient que la victoire de Khalifa Sall ne fera qu’affaiblir le Parti socialiste.
Après la victoire étriquée de « And Taxawu Dakar » sur « Benno Bokk Yaakar » : quelle posture doit désormais adopter Khalifa Sall ? La question est à la UNE du TEMOIN. Le journal interroge l’analyste politique Yoro Dia et l’enseignant chercheur Famara Sané. Si le premier soutient que Khalifa Sall doit se réconcilier avec ses anciens partisans de And Taxawu Dakar ayant rejoint BBY, le second pense que le maire de la capitale doit désormais faire face aux conservateurs du Ps.
Pour le Hcct, Me Souleymane Ndéné Ndiaye, ancien Premier ministre soutient dans l’AS « je ne vois pas pourquoi on donnerait la possibilité à un président de nommer 70 personnes sur les 150. Je ne vois pas l’utilité de cette institution à mi-chemin du mandat de Macky Sall ».
L’élection des membres du Hcct a montré la terrible situation du Pds. Selon DIRECT INFO « les libéraux sont dans un trou noir ». Saigné à blanc par de multiples défections, le parti de Wade est dans un embrouillamini terrible. DIRECT INFO soutient que « la dernière illustration nous a été servie avec les élections du Hcct où le Pds désuni a été laminé presque sur toute l’étendue du territoire national. Le parti n’a remporté que le département de Bounkiling ».