Deux informations principalement à la UNE des journaux : le choix des candidats à l’élection au Haut conseil des collectivités territoriales et la poursuite de la traque des biens supposés mal acquis. Sur ce dernier point, le SOLEIL informe que l’Etat est déterminé à poursuivre le recouvrement dans le cadre de la traque des biens mal acquis. Le ministre de la Justice qui le dit, à l’occasion de la présentation du rapport d’activités de son ministère, en veut pour preuves la condamnation le 05 août dernier, des sociétés Menzies et Ahs par le Centre international de règlement des différends sur l’investissement (Cirdi), une entité de la Banque mondiale. Et le ministre de préciser que des demandes d’entraide judiciaire sont adressées à la France et à la Principauté de Monaco pour le recouvrement de tous les biens dans ces territoires. ENQUETE résume la situation, « l’Etat sénégalais ne lâche pas l’affaire ». Pour le moment, on retient dans le TEMOIN que l’Etat a recouvré 27 milliards de nos francs provenant des avoirs supposés appartenir à Karim Wade et à ses complices. WALFQUOTIDIEN apporte des précisions sur les dossiers sur la table de la Crei. Selon le journal, depuis la réactivation de la Cour, seuls deux dossiers ont connu une suite : les affaires Karim Wade et Tahibou Ndiaye. Certains dossiers sont en instruction (Aïda Ndiongue et Abdoulaye Baldé), d’autres dorment toujours dans les tiroirs. Le journal précise que 17 dossiers impliquant des dignitaires de l’ancien régime sont en souffrance au niveau du parquet spécial de la Crei. Pour Abdoulaye Baldé, le journal ENQUETE renseigne que ses comptes sont fouillés de fond en comble et le rapport sur son dossier est ficelé depuis une dizaine de jours.
LIBERATION pour sa part parle à sa UNE de l’annulation par l’Armp d’un marché de 3,5milliards attribué à Mbaye Faye de Cstp SA pour la construction des stades régionaux de Kaffrine, Kédougou et Sédhiou. C’est à la suite d’un recours gracieux d’une autre société auprès du ministère des Sports pour contester ce choix. Selon le journal, le socialiste Mbaye Faye, propriétaire de Cstp SA a raflé plusieurs marchés de gré à gré dans le cadre de la construction ou réhabilitation de stades.
Un contrôle à un autre niveau. Selon l’AS, une mission du Fmi débarque à Dakar cette semaine pour évaluer les performances de notre pays. Il s’agira d’aborder avec les autorités sénégalaises les prévisions économiques et faire le bilan de certaines recommandations. Le Plan Sénégal Emergent (Pse) jugé comme un bon plan par le Fmi sera aussi au cœur des discussions, ajoute le journal.
Terminons avec le monde des finances avec l’OBS qui informe que le chef de l’Etat a instruit le ministre des finances, Amadou Bâ, de payer tous les factures et mandats en souffrance dans le circuit du Trésor. C’est une enveloppe d’un peu plus de 100 milliards de Fcfa qui sera dégagée à partir d’aujourd’hui pour le règlement de la dette intérieure. L’OBS soutient que c’est une décision aussi de portée sociale car l’injection de l’argent dans le privé induit une hausse de la richesse chez les citoyens.
En politique, l’OBS parle des contradictions autour des choix des candidats pour le Haut conseil des collectivités territoriales (Hcct). Le journal constate qu’il y a une pléthore de candidats pour peu d’élus et que sur l’ensemble du territoire national ce sont des divisions au sein du parti présidentiel mais aussi entre partis alliés de la mouvance présidentielle d’où le titre, « le haut se déchire dans tout le territoire ». L’opposition ne compte pas regarder en spectatrice ces élections, au grand dam des apéristes qui veulent tout prendre. Le même sujet est à la UNE de la TRIBUNE qui se focalise sur le parti présidentiel. Selon le journal, « le Haut conseil déchire l’Apr ». Et pour le POP ce sont les investitures de toutes les divisions au sein de la mouvance présidentielle. Pour le QUOTIDIEN, l’élection des hauts conseillers des collectivités territoriales est un second tour des locales. C’est parce qu’il appartient à l’opposition, notamment, Khalifa Sall à Dakar, Idrissa Seck à Thiès, Abdoulaye Baldé à Ziguinchor ou encore Aïda Mbodji à Bambey de fidéliser leurs conseillers municipaux et départementaux. Macky Sall n’aura rien à perdre puisqu’il a 70 membres déjà entre les mains, avant le scrutin.
Une autre division entre acteurs politiques est relative au passage en procédure d’urgence à l’Assemblée nationale du texte sur la refonte du fichier électoral. Pour les non-alignés par la voix de Me Abdoulaye Babou, cela prouve que le gouvernement n’a aucun respect pour les acteurs de la concertation. Pour sa part, le député de l’Afp, Zator Mbaye, soutient qu’il n’y a absolument rien qui remet en cause le consensus arrêté depuis 1992 ». SUDQUOTIDIEN qui a donné la parole à ces deux camps, interroge des membres de la société civile qui appellent les différents protagonistes au sens des responsabilités et à élargir la concertation.
Terminons avec DIRECT INFO qui s’intéresse au Pds. Le journal constate que « depuis l’amorce du dialogue national en passant par la libération de Karim Wade, le Pds a tempéré ses ardeurs. La formation libérale a perdu de son mordant et semble signer son acte de décès ». DIRECT INFO se pose une question : « Le Pds tué par un deal et si Idy avait raison ? ».
LIBERATION pour sa part parle à sa UNE de l’annulation par l’Armp d’un marché de 3,5milliards attribué à Mbaye Faye de Cstp SA pour la construction des stades régionaux de Kaffrine, Kédougou et Sédhiou. C’est à la suite d’un recours gracieux d’une autre société auprès du ministère des Sports pour contester ce choix. Selon le journal, le socialiste Mbaye Faye, propriétaire de Cstp SA a raflé plusieurs marchés de gré à gré dans le cadre de la construction ou réhabilitation de stades.
Un contrôle à un autre niveau. Selon l’AS, une mission du Fmi débarque à Dakar cette semaine pour évaluer les performances de notre pays. Il s’agira d’aborder avec les autorités sénégalaises les prévisions économiques et faire le bilan de certaines recommandations. Le Plan Sénégal Emergent (Pse) jugé comme un bon plan par le Fmi sera aussi au cœur des discussions, ajoute le journal.
Terminons avec le monde des finances avec l’OBS qui informe que le chef de l’Etat a instruit le ministre des finances, Amadou Bâ, de payer tous les factures et mandats en souffrance dans le circuit du Trésor. C’est une enveloppe d’un peu plus de 100 milliards de Fcfa qui sera dégagée à partir d’aujourd’hui pour le règlement de la dette intérieure. L’OBS soutient que c’est une décision aussi de portée sociale car l’injection de l’argent dans le privé induit une hausse de la richesse chez les citoyens.
En politique, l’OBS parle des contradictions autour des choix des candidats pour le Haut conseil des collectivités territoriales (Hcct). Le journal constate qu’il y a une pléthore de candidats pour peu d’élus et que sur l’ensemble du territoire national ce sont des divisions au sein du parti présidentiel mais aussi entre partis alliés de la mouvance présidentielle d’où le titre, « le haut se déchire dans tout le territoire ». L’opposition ne compte pas regarder en spectatrice ces élections, au grand dam des apéristes qui veulent tout prendre. Le même sujet est à la UNE de la TRIBUNE qui se focalise sur le parti présidentiel. Selon le journal, « le Haut conseil déchire l’Apr ». Et pour le POP ce sont les investitures de toutes les divisions au sein de la mouvance présidentielle. Pour le QUOTIDIEN, l’élection des hauts conseillers des collectivités territoriales est un second tour des locales. C’est parce qu’il appartient à l’opposition, notamment, Khalifa Sall à Dakar, Idrissa Seck à Thiès, Abdoulaye Baldé à Ziguinchor ou encore Aïda Mbodji à Bambey de fidéliser leurs conseillers municipaux et départementaux. Macky Sall n’aura rien à perdre puisqu’il a 70 membres déjà entre les mains, avant le scrutin.
Une autre division entre acteurs politiques est relative au passage en procédure d’urgence à l’Assemblée nationale du texte sur la refonte du fichier électoral. Pour les non-alignés par la voix de Me Abdoulaye Babou, cela prouve que le gouvernement n’a aucun respect pour les acteurs de la concertation. Pour sa part, le député de l’Afp, Zator Mbaye, soutient qu’il n’y a absolument rien qui remet en cause le consensus arrêté depuis 1992 ». SUDQUOTIDIEN qui a donné la parole à ces deux camps, interroge des membres de la société civile qui appellent les différents protagonistes au sens des responsabilités et à élargir la concertation.
Terminons avec DIRECT INFO qui s’intéresse au Pds. Le journal constate que « depuis l’amorce du dialogue national en passant par la libération de Karim Wade, le Pds a tempéré ses ardeurs. La formation libérale a perdu de son mordant et semble signer son acte de décès ». DIRECT INFO se pose une question : « Le Pds tué par un deal et si Idy avait raison ? ».
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