Commençons les actualités du jour par l’Economie. A la UNE du SOLEIL, on informe que le chef de l’Etat s’engage à renforcer les moyens alloués à l’agriculture. Macky Sall a entamé hier une tournée économique dans les régions de Kaolack et de Kaffrine. De la situation dans cette zone, il ressort que le Sénégal va tout droit vers l’autosuffisance des céréales. Pour leur part, les opérateurs économiques demandent au chef de l’Etat de réhabiliter le port commercial de Kaolack pour faire redécoller l’économie du bassin arachidier.
Le secteur extractif a généré 117 milliards FCFA pour l’année 2014 dont 109 milliards versés directement au budget de l’Etat. Des chiffres donnés hier par les responsables de l’Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives du Sénégal (ITIE), lors de la publication du deuxième rapport de conciliation de cet organisme. Le TEMOIN qui en parle, ajoute que le président de l’ITIE, le Pr Ismaïla Madior Fall plaide pour un meilleur encadrement du code général des Impôts et des Domaines, afin, d’éviter des polémiques comme celles qui entourent la découverte récente du pétrole et du gaz.
Pour l’Aéroport International Blaise Diagne (AIBD) de Diass, ENQUETE informe que « le joyau sera réceptionné en décembre 2017 ». Pour les travaux en cours, ils devraient se terminer en avril prochain, soutient le ministre du Tourisme et des Transports Aériens qui était hier sur les lieux pour évaluer l’état d’avancement du chantier. « La mise en service va prendre un certain temps avec les certifications et autres », explique le ministre Maïmouna Ndoye Seck.
L’AS informe que les projets de budgets des institutions de la République et des ministères sont déposés à l’Assemblée nationale pour examen et adoption. Le journal constate que beaucoup d’institutions ont vu leur budget hausser. C’est le cas de la Présidence de la République avec 2,369 milliards FCFA contre 1,889 milliards FCFA de l’année en cours. La nouvelle institution, le Haut conseil des collectivités territoriales (Hcct), s’est tapée quasiment le même budget que le Conseil Economique Social et Environnemental (Cese), c’est-à-dire 6,500 milliards FCFA.
De l’argent que l’Etat cherche mais ailleurs. Selon LIBERATION, l’Etat veut empocher 10 milliards de FCFA à Monaco dans l’affaire dite Karim Wade et Cie. Selon le journal, au total 24 comptes bancaires sont visés par les conseils de l’Etat. LIBERATION ajoute que le bras de fer qui s’est ouvert le 5 octobre dernier entre l’Etat du Sénégal et les complices présumés de Karim Wade risque d’être épique et contrairement ce que l’on pourrait penser, cette procédure dure depuis au moins un an.
Dans l’actualité sociale, le QUOTIDIEN informe que moins d’un mois après la mutinerie de Rebeuss, les détenus qui n’acceptent plus de subir le nouveau régime auquel les soumettent les matons, ont produit un registre de doléances. Dans une lettre intitulée (Lettre des détenus de Rebeuss) rendue publique par l’entremise de l’Association pour le soutien et la réinsertion des détenus (Asred), les détenus demandent la libération et la liberté sous contrôle judiciaires des détenus victimes de balle à bout portant. Ils réclament aussi la réhabilitation des heures de cours qui ont été diminuées de 03 heures à 01 heures, ce qui provoque selon les détenus des maladies. Pour le détenu mort lors de cette mutinerie, le QUOTIDIEN, informe que sa famille a décidé de porter plainte et de se constituer partie civile.
SUDQUOTIDIEN réalise un dossier sur le maintien de l’article 80 du Code pénal relatif à l’offense au chef de l’Etat. Le journal soutient que malgré le débat sur sa suppression, il n’est pas pris en compte dans le cadre de la réforme en cours du Code pénal. Deux camps se dégagent dans le champ politique. Ceux qui soutiennent que son maintien peut se comprendre avec le respect qu’incarne la posture du président de la République, qui, pour eux ne doit pas être chef de parti politique. Pour d’autres, il doit-être supprimé et son maintien n’est rien d’autre qu’une stratégie pour mieux museler davantage l’opposition.
L’imam Séye est rejugé et condamné à deux ans de prison ferme pour apologie du terrorisme, incitation à la désobéissance militaire entre autres… WALFQUOTIDIEN parle d’un « verdict sur commande ». L’explication du journal, « quatre mois après que le chef de l’Etat, Macky Sall, a jugé sa première condamnation d’un an trop clément, l’imam Ibrahima Séye est rejugé par la Cour d’appel de Dakar qui lui a infligé deux ans de prison ferme ».
En politique, l’opposition en évaluation de sa mobilisation du 14 octobre, déclare dans la TRIBUNE que « Macky Sall doit savoir que nous sommes prêts à sacrifier nos vies ». Le journal écrit « accusé d’être une opposition de salon, le front entend maintenir le cap et va réunir prochainement des centaines de milliers de sénégalais dans un meeting ». Pour la gestion de la marche avortée de l’opposition, le POP informe que le chef de l’Etat a félicité le ministre de l’Intérieur et la Police.
Terminons avec l’OBS qui met à sa UNE, « Yékini, clap de fin ». Le journal comme toute la presse en parle, après 24 ans de présence dans les arènes sénégalaises et 15 ans de règne sans partage, le champion de lutte a décidé de mettre un terme à sa carrière. « Rien n’a précipité ma décision d’arrêter la lutte. Toute chose à une fin » dit Yékini dans l’OBS. L’homme aux 19 victoires, deux défaites et un match nul en 22 combats, reste cependant dans le milieu avec sa structure « Faata productions ».
Le secteur extractif a généré 117 milliards FCFA pour l’année 2014 dont 109 milliards versés directement au budget de l’Etat. Des chiffres donnés hier par les responsables de l’Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives du Sénégal (ITIE), lors de la publication du deuxième rapport de conciliation de cet organisme. Le TEMOIN qui en parle, ajoute que le président de l’ITIE, le Pr Ismaïla Madior Fall plaide pour un meilleur encadrement du code général des Impôts et des Domaines, afin, d’éviter des polémiques comme celles qui entourent la découverte récente du pétrole et du gaz.
Pour l’Aéroport International Blaise Diagne (AIBD) de Diass, ENQUETE informe que « le joyau sera réceptionné en décembre 2017 ». Pour les travaux en cours, ils devraient se terminer en avril prochain, soutient le ministre du Tourisme et des Transports Aériens qui était hier sur les lieux pour évaluer l’état d’avancement du chantier. « La mise en service va prendre un certain temps avec les certifications et autres », explique le ministre Maïmouna Ndoye Seck.
L’AS informe que les projets de budgets des institutions de la République et des ministères sont déposés à l’Assemblée nationale pour examen et adoption. Le journal constate que beaucoup d’institutions ont vu leur budget hausser. C’est le cas de la Présidence de la République avec 2,369 milliards FCFA contre 1,889 milliards FCFA de l’année en cours. La nouvelle institution, le Haut conseil des collectivités territoriales (Hcct), s’est tapée quasiment le même budget que le Conseil Economique Social et Environnemental (Cese), c’est-à-dire 6,500 milliards FCFA.
De l’argent que l’Etat cherche mais ailleurs. Selon LIBERATION, l’Etat veut empocher 10 milliards de FCFA à Monaco dans l’affaire dite Karim Wade et Cie. Selon le journal, au total 24 comptes bancaires sont visés par les conseils de l’Etat. LIBERATION ajoute que le bras de fer qui s’est ouvert le 5 octobre dernier entre l’Etat du Sénégal et les complices présumés de Karim Wade risque d’être épique et contrairement ce que l’on pourrait penser, cette procédure dure depuis au moins un an.
Dans l’actualité sociale, le QUOTIDIEN informe que moins d’un mois après la mutinerie de Rebeuss, les détenus qui n’acceptent plus de subir le nouveau régime auquel les soumettent les matons, ont produit un registre de doléances. Dans une lettre intitulée (Lettre des détenus de Rebeuss) rendue publique par l’entremise de l’Association pour le soutien et la réinsertion des détenus (Asred), les détenus demandent la libération et la liberté sous contrôle judiciaires des détenus victimes de balle à bout portant. Ils réclament aussi la réhabilitation des heures de cours qui ont été diminuées de 03 heures à 01 heures, ce qui provoque selon les détenus des maladies. Pour le détenu mort lors de cette mutinerie, le QUOTIDIEN, informe que sa famille a décidé de porter plainte et de se constituer partie civile.
SUDQUOTIDIEN réalise un dossier sur le maintien de l’article 80 du Code pénal relatif à l’offense au chef de l’Etat. Le journal soutient que malgré le débat sur sa suppression, il n’est pas pris en compte dans le cadre de la réforme en cours du Code pénal. Deux camps se dégagent dans le champ politique. Ceux qui soutiennent que son maintien peut se comprendre avec le respect qu’incarne la posture du président de la République, qui, pour eux ne doit pas être chef de parti politique. Pour d’autres, il doit-être supprimé et son maintien n’est rien d’autre qu’une stratégie pour mieux museler davantage l’opposition.
L’imam Séye est rejugé et condamné à deux ans de prison ferme pour apologie du terrorisme, incitation à la désobéissance militaire entre autres… WALFQUOTIDIEN parle d’un « verdict sur commande ». L’explication du journal, « quatre mois après que le chef de l’Etat, Macky Sall, a jugé sa première condamnation d’un an trop clément, l’imam Ibrahima Séye est rejugé par la Cour d’appel de Dakar qui lui a infligé deux ans de prison ferme ».
En politique, l’opposition en évaluation de sa mobilisation du 14 octobre, déclare dans la TRIBUNE que « Macky Sall doit savoir que nous sommes prêts à sacrifier nos vies ». Le journal écrit « accusé d’être une opposition de salon, le front entend maintenir le cap et va réunir prochainement des centaines de milliers de sénégalais dans un meeting ». Pour la gestion de la marche avortée de l’opposition, le POP informe que le chef de l’Etat a félicité le ministre de l’Intérieur et la Police.
Terminons avec l’OBS qui met à sa UNE, « Yékini, clap de fin ». Le journal comme toute la presse en parle, après 24 ans de présence dans les arènes sénégalaises et 15 ans de règne sans partage, le champion de lutte a décidé de mettre un terme à sa carrière. « Rien n’a précipité ma décision d’arrêter la lutte. Toute chose à une fin » dit Yékini dans l’OBS. L’homme aux 19 victoires, deux défaites et un match nul en 22 combats, reste cependant dans le milieu avec sa structure « Faata productions ».