C’est la rentrée des classes pour les élèves après celle des enseignants qui a eu lieu lundi dernier. Le sujet est à la UNE de plusieurs journaux. DIRECT INFO nous informe qu’il y a un concept sur toutes les lèvres « oubi tay jang tay » (ouvrir aujourd’hui, commercer les enseignements aujourd’hui). Seulement son application immédiate pose problème car le TEMOIN nous dit que de nombreuses écoles sont envahies par les eaux et les herbes sauvages, d’où le titre à la UNE du journal, « ubbi tey, jang tey patauge ». Pire encore, SUDQUOTIDIEN informe que les germes de la perturbation sont encore là. Selon le journal, face au non-respect des accords par le gouvernement, les syndicats des enseignants risquent de remettre ça. Déjà dans le POP on peut retenir que dans un rapport présenté par la coalition des organisations en synergie pour la défense de l’éducation publique (Cosydep), seuls 25% des recommandations des assisses de l’éducation et de la formation ont été appliqués.
On reste dans le domaine de l’éducation mais pour parler des relations entre le Sénégal et la Turquie. Selon LIBERATION, le président turc Recep Tayyip Erdogan se venge sur Dakar qui a refusé de fermer les 15 écoles Gülen au Sénégal. Ainsi sur 20 étudiants sénégalais régulièrement inscrits, 5 ont été expulsés de la Turquie comme des malpropres. Ce, après qu’un autre qui devait rallier Ankara a été refoulé sur Dakar après son arrivée.
Le chef de l’Etat a lancé hier la production de la nouvelle carte d’identité biométrique CEDEAO et de la refonte du fichier électoral. Macky Sall qui a reçu, en premier, la nouvelle carte a indiqué et c’est à la UNE du SOLEIL que « nous passons de la CEDEAO des Etats à celle des peuples ». Une carte sécurisée à multi-usages (carte d’identité et carte électeur). Selon le président de la République, la carte reste pour le moment gratuite sur six mois et au-delà, il faut débourser 10 000Fcfa. Macky Sall explique que « la confection est faite par la société Iris connue dans le monde et qui faisait depuis 2007 au Sénégal les passeports biométriques en partenariat avec la société sénégalaise Synopsis qui gère les données des sénégalais dans notre pays ». La coalition « Jubanti Senegaal » dans le POP demande au gouvernement de publier le contrat le liant à Iris, une société malaisienne. La coalition précise que l’entreprise Iris a été épinglée par la Cour des comptes dans son rapport publié en 2011.
L’AS nous rappelle que c’est le statu quo à Sénégal Airlines depuis l’arrêt de ses activités en mars 2015. Les travailleurs avaient décidé de donner un délai d’un mois (qui prend fin ce 10 octobre) pour permettre aux autorités d’avancer dans le dossier de liquidation.
En politique, l’AS informe que Me Souleymane Ndéné Ndiaye recadre Me Ousmane Ngom relativement aux déballages sur les derniers instants de Me Wade au pouvoir. Pour le dernier Premier ministre sous Wade, Ousmane Ngom n’avait pas le droit de dire cela, ni de ternir l’image de l’ancien chef de l’Etat qui a quitté le pouvoir en démocrate. L’AS ajoute que très amer et regrettant les propos d’Ousmane Ngom, Ndéné pense qu’il faut légiférer et interdire aux transhumants de voter leur vie durant. Pour la proposition d’une loi criminalisant le déballage au Sénégal, SUDQUOTIDIEN parle « du oui…mais des députés ». Zator Mbaye de l’Afp et Hélène Tine, député non-aligné estiment qu’il ne vaut pas la peine d’arriver à la criminalisation du déballage. Zator Mbaye propose un cadre réglementaire pour décourager ceux qui s’adonnent à cette pratique et Hélène Tine soutient que les dispositions juridiques et réglementaires sur la bonne gouvernance existent déjà.
Pour Me Ousmane Ngom, lui-même, la TRIBUNE met à sa UNE, « en plein dans le Macky : Ousmane Ngom oublie la Crei ». Contrairement à Karim Wade et Tahibou Ndiaye, son dossier pourrit à la Crei où malgré les assurances du ministre de la Justice, plus un seul dossier n’y a été instruit depuis le départ du procureur Alioune Ndao.
Le QUOTIDIEN parle des dossiers chauds du 14 octobre, il s’agit de la marche de l’opposition et de la rentrée parlementaire. Au parlement, le Pds doit trouver un successeur à Ousmane Ngom. Le journal informe qu’il semblerait qu’Aliou Sow va s’écarter au profit de Mamadou Lamine Keïta.
Dans l’affaire Petro Tim, l’OBS informe que « même s’ils ne sont pas cités par « And Wattu Senegaal », Me Abdoulaye Wade, son fils Karim et son ancien ministre et conseiller financier Samuel Sarr ne pourraient pas échapper à la justice pour avoir été impliqués dans le montage du business ».
A la UNE du journal ENQUETE, c’est l’écrivain Cheikh Hamidou Kane qui parle « Senghor, Mamadou Dia et moi… ». Dans une longue interview, il revient sur les événements de 1962 avec l’arrestation de Mamadou Dia, « un événement malheureux » dit-il entre deux dirigeants dont les relations ont été détériorées par les rivalités des différents dirigeants du parti au pouvoir.
« Les responsables de la prison de Rebeuss ont été au courant du mouvement d’humeur des détenus plusieurs jours auparavant mais qu’ils se sont abstenus d’en aviser la hiérarchie à temps ». C’est une des informations contenues dans le rapport de l’enquête de la Dic suite à la mutinerie de Rebeuss. WALFQUOTIDIEN qui fait ces révélations soutient que pour l’heure, aucune mesure conservatoire n’est encore prise par la tutelle, alors que des régisseurs ont été relevés de leurs fonctions, pour des faits moins graves.
On reste dans le domaine de l’éducation mais pour parler des relations entre le Sénégal et la Turquie. Selon LIBERATION, le président turc Recep Tayyip Erdogan se venge sur Dakar qui a refusé de fermer les 15 écoles Gülen au Sénégal. Ainsi sur 20 étudiants sénégalais régulièrement inscrits, 5 ont été expulsés de la Turquie comme des malpropres. Ce, après qu’un autre qui devait rallier Ankara a été refoulé sur Dakar après son arrivée.
Le chef de l’Etat a lancé hier la production de la nouvelle carte d’identité biométrique CEDEAO et de la refonte du fichier électoral. Macky Sall qui a reçu, en premier, la nouvelle carte a indiqué et c’est à la UNE du SOLEIL que « nous passons de la CEDEAO des Etats à celle des peuples ». Une carte sécurisée à multi-usages (carte d’identité et carte électeur). Selon le président de la République, la carte reste pour le moment gratuite sur six mois et au-delà, il faut débourser 10 000Fcfa. Macky Sall explique que « la confection est faite par la société Iris connue dans le monde et qui faisait depuis 2007 au Sénégal les passeports biométriques en partenariat avec la société sénégalaise Synopsis qui gère les données des sénégalais dans notre pays ». La coalition « Jubanti Senegaal » dans le POP demande au gouvernement de publier le contrat le liant à Iris, une société malaisienne. La coalition précise que l’entreprise Iris a été épinglée par la Cour des comptes dans son rapport publié en 2011.
L’AS nous rappelle que c’est le statu quo à Sénégal Airlines depuis l’arrêt de ses activités en mars 2015. Les travailleurs avaient décidé de donner un délai d’un mois (qui prend fin ce 10 octobre) pour permettre aux autorités d’avancer dans le dossier de liquidation.
En politique, l’AS informe que Me Souleymane Ndéné Ndiaye recadre Me Ousmane Ngom relativement aux déballages sur les derniers instants de Me Wade au pouvoir. Pour le dernier Premier ministre sous Wade, Ousmane Ngom n’avait pas le droit de dire cela, ni de ternir l’image de l’ancien chef de l’Etat qui a quitté le pouvoir en démocrate. L’AS ajoute que très amer et regrettant les propos d’Ousmane Ngom, Ndéné pense qu’il faut légiférer et interdire aux transhumants de voter leur vie durant. Pour la proposition d’une loi criminalisant le déballage au Sénégal, SUDQUOTIDIEN parle « du oui…mais des députés ». Zator Mbaye de l’Afp et Hélène Tine, député non-aligné estiment qu’il ne vaut pas la peine d’arriver à la criminalisation du déballage. Zator Mbaye propose un cadre réglementaire pour décourager ceux qui s’adonnent à cette pratique et Hélène Tine soutient que les dispositions juridiques et réglementaires sur la bonne gouvernance existent déjà.
Pour Me Ousmane Ngom, lui-même, la TRIBUNE met à sa UNE, « en plein dans le Macky : Ousmane Ngom oublie la Crei ». Contrairement à Karim Wade et Tahibou Ndiaye, son dossier pourrit à la Crei où malgré les assurances du ministre de la Justice, plus un seul dossier n’y a été instruit depuis le départ du procureur Alioune Ndao.
Le QUOTIDIEN parle des dossiers chauds du 14 octobre, il s’agit de la marche de l’opposition et de la rentrée parlementaire. Au parlement, le Pds doit trouver un successeur à Ousmane Ngom. Le journal informe qu’il semblerait qu’Aliou Sow va s’écarter au profit de Mamadou Lamine Keïta.
Dans l’affaire Petro Tim, l’OBS informe que « même s’ils ne sont pas cités par « And Wattu Senegaal », Me Abdoulaye Wade, son fils Karim et son ancien ministre et conseiller financier Samuel Sarr ne pourraient pas échapper à la justice pour avoir été impliqués dans le montage du business ».
A la UNE du journal ENQUETE, c’est l’écrivain Cheikh Hamidou Kane qui parle « Senghor, Mamadou Dia et moi… ». Dans une longue interview, il revient sur les événements de 1962 avec l’arrestation de Mamadou Dia, « un événement malheureux » dit-il entre deux dirigeants dont les relations ont été détériorées par les rivalités des différents dirigeants du parti au pouvoir.
« Les responsables de la prison de Rebeuss ont été au courant du mouvement d’humeur des détenus plusieurs jours auparavant mais qu’ils se sont abstenus d’en aviser la hiérarchie à temps ». C’est une des informations contenues dans le rapport de l’enquête de la Dic suite à la mutinerie de Rebeuss. WALFQUOTIDIEN qui fait ces révélations soutient que pour l’heure, aucune mesure conservatoire n’est encore prise par la tutelle, alors que des régisseurs ont été relevés de leurs fonctions, pour des faits moins graves.
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