L’ancien Premier ministre, Abdoul Mbaye, appelle le chef de l’Etat à faire la lumière sur les contrats de gisements pétroliers et gaziers. ENQUETE reprend ainsi une lettre du leader de l’Alliance pour la citoyenneté et le travail (Act) qui exige la publication de toutes les clauses, sans exception, des décrets et contrats d’exploration et de production de pétrole et de gaz déjà signés ou en voie de l’être afin de respecter les règles de transparence dans la gouvernance des ressources naturelles. L’OBS qui met à sa UNE, « Pétrole : Abdoul Mbaye flaire une sall affaire » rapporte l’interpellation de l’ancien Premier ministre. Ce dernier dans le dossier Petrotim, avec comme Aliou Sall administrateur général en 2012, soutient qu’il convient de faire savoir aux Sénégalais, si vous êtes ou non informés de la relation particulièrement gênante comme élément nouveau intervenu dans le processus alors en cours et qui aurait dû sérieusement poser la question de son arrêt. Abdoul Mbaye met Petrotim dans le lot de « ces sociétés souvent à faible capital social créées, qui comme pour la circonstance, dans des paradis fiscaux et ensuite rétrocédées totalement ou partiellement à de vrais opérateurs ». Le ministre Aly Ngouille Ndiaye, actuel ministre des Mines, qui fut, dans un passé récent, ministre de l’Energie, soutient dans l’OBS qu’Abdoul Mbaye détient les réponses à ses propres questions et il lui demande de dire aux Sénégalais ce qu’il sait.
En tout cas notre pays est dans le Top 5 des pays africains les plus attractifs pour les investissements mondiaux. L’étude réalisée par le cabinet Havas Horizons et l’Institut Choiseul donne ce classement : Ethiopie, Nigéria, Maroc, Ghana et Sénégal. Le SOLEIL indique que l’étude porte sur la période 2016-2020 et est intitulée, « Financer la croissance africaine à l’horizon 2020 : perception des investisseurs internationaux ».
A côté d’Abdoul Mbaye, c’est l’ancienne sénatrice libérale Aïda Ndiongue qui occupe une bonne partie des UNES de la presse. Le QUOTIDIEN dans le tempo des jeux de Rio écrit, « Condamnée par la Cour suprême : Aïda chute à la dernière haie ». Selon le journal dans l’affaire des produits phytosanitaires, « la Cour suprême a condamné, hier, Aïda Ndiongue, à un an de prison ferme et ordonne la confiscation de ses biens. Elle prend ainsi le contrepied de la Cour d’appel qui avait décidé d’un an mais avec sursis et la restitution des avoirs de la libérale ». WALFQUOTIDIEN précise que la condamnation d’hier était dans le cadre du Plan Jaxaay et qu’Aïda Ndiongue est sous le coup de deux autres procédures, il s’agit notamment de l’affaire des produits phytosanitaires ainsi que celle instruite par la Cour de répression de l’enrichissement illicite en rapport avec la traque des biens mal acquis.
Pas loin de ces traques, l’OBS parle de la nouvelle présidente de l’Ofnac qui enquête sur les contrats signés par Nafi Ngom Keïta. Selon les sources du journal, « tous les contrats signés par l’ex patronne de l’Ofnac, Nafi Ngom Keïta, sont en train d’être fouillés par la nouvelle patronne de l’Institution ».
Un contrôle c’est aussi ce que le SAES exige de l’Etat au niveau de l’Ucad. Dans SUDQUOTIDIEN, le SAES qui soupçonne des scandales financiers à l’Université de Dakar exige une mission de contrôle de l’Etat au niveau de l’Institution. Le syndicat s’est aussi indigné de la cessation des salaires des professeurs Amsatou Sow Sidibé et Malick Ndiaye depuis 6 mois et dénonce la légèreté du prétexte administratif qui parle d’absence d’un document de cessation de salaires que la présidence de la République ne leur a toujours pas délivré.
D’autres travailleurs qui sont dans des difficultés. L’AS informe que 163 agents de la défunte compagnie Sénégal Airlines sans salaire depuis 4 mois menacent d’aller en grève de la faim. Selon le journal l’Etat et les actionnaires se renvoient la balle chacun attendant que l’autre partie paie les droits des agents.
Parlons des problèmes fonciers à Dakar avec LIBERATION. Le journal informe que le président Macky Sall veut surveiller de près les transactions foncières sur le littoral en particulier les terrains situés entre la route de la Corniche et la mer, du Port jusqu’aux Mamelles. Désormais, toutes les transactions foncières sur cette zone sont soumises à une autorisation spéciale du Premier ministre. Ce, sous peine de nullité.
Il faut des terres pour construire des logements. Et se loger à Dakar est difficile. « Dur dur de se loger dans Dakar », écrit la TRIBUNE qui revient sur l’an 3 de la décision des autorités de baisser le loyer à travers une loi. Selon le journal, trois ans après son adoption, cette loi qui était censée résoudre les problèmes du coût du loyer, semble en avoir créé plus qu’elle en a résolus. Au grand dam des citoyens, toujours obligés de subir le diktat des bailleurs et autres courtiers.
Comme se loger, manger à sa faim est aussi problématique pour des milliers de Sénégalais. Le point focal humanitaire du Fonds des Nations Unies pour la Population (Unfpa) soutient dans le POP qu’au Sénégal pas moins de 2,4 millions de personnes sont en insécurité alimentaire, soit 17% de la population nationale.
A la UNE du TEMOIN, ce sont des retraités, des salariés et des employeurs de l’Ipres qui réclament le départ du Directeur général pour politisation à outrance de l’Institution. Selon le journal, ils sont en train d’élaborer un plan d’actions pour réclamer le départ de Mamadou Sy Mbengue dont le limogeage pour eux serait une œuvre de salubrité publique.
La politique est à la UNE de DIRECT INFO. Ce sont des proches du ministre Abdoulaye Diouf Sarr qui accusent le duo Yakham-Seydou Gueye de comploter contre leur mentor. Le journal parle du temps des manœuvres et des positionnements au niveau des responsables de l’Apr.
En tout cas notre pays est dans le Top 5 des pays africains les plus attractifs pour les investissements mondiaux. L’étude réalisée par le cabinet Havas Horizons et l’Institut Choiseul donne ce classement : Ethiopie, Nigéria, Maroc, Ghana et Sénégal. Le SOLEIL indique que l’étude porte sur la période 2016-2020 et est intitulée, « Financer la croissance africaine à l’horizon 2020 : perception des investisseurs internationaux ».
A côté d’Abdoul Mbaye, c’est l’ancienne sénatrice libérale Aïda Ndiongue qui occupe une bonne partie des UNES de la presse. Le QUOTIDIEN dans le tempo des jeux de Rio écrit, « Condamnée par la Cour suprême : Aïda chute à la dernière haie ». Selon le journal dans l’affaire des produits phytosanitaires, « la Cour suprême a condamné, hier, Aïda Ndiongue, à un an de prison ferme et ordonne la confiscation de ses biens. Elle prend ainsi le contrepied de la Cour d’appel qui avait décidé d’un an mais avec sursis et la restitution des avoirs de la libérale ». WALFQUOTIDIEN précise que la condamnation d’hier était dans le cadre du Plan Jaxaay et qu’Aïda Ndiongue est sous le coup de deux autres procédures, il s’agit notamment de l’affaire des produits phytosanitaires ainsi que celle instruite par la Cour de répression de l’enrichissement illicite en rapport avec la traque des biens mal acquis.
Pas loin de ces traques, l’OBS parle de la nouvelle présidente de l’Ofnac qui enquête sur les contrats signés par Nafi Ngom Keïta. Selon les sources du journal, « tous les contrats signés par l’ex patronne de l’Ofnac, Nafi Ngom Keïta, sont en train d’être fouillés par la nouvelle patronne de l’Institution ».
Un contrôle c’est aussi ce que le SAES exige de l’Etat au niveau de l’Ucad. Dans SUDQUOTIDIEN, le SAES qui soupçonne des scandales financiers à l’Université de Dakar exige une mission de contrôle de l’Etat au niveau de l’Institution. Le syndicat s’est aussi indigné de la cessation des salaires des professeurs Amsatou Sow Sidibé et Malick Ndiaye depuis 6 mois et dénonce la légèreté du prétexte administratif qui parle d’absence d’un document de cessation de salaires que la présidence de la République ne leur a toujours pas délivré.
D’autres travailleurs qui sont dans des difficultés. L’AS informe que 163 agents de la défunte compagnie Sénégal Airlines sans salaire depuis 4 mois menacent d’aller en grève de la faim. Selon le journal l’Etat et les actionnaires se renvoient la balle chacun attendant que l’autre partie paie les droits des agents.
Parlons des problèmes fonciers à Dakar avec LIBERATION. Le journal informe que le président Macky Sall veut surveiller de près les transactions foncières sur le littoral en particulier les terrains situés entre la route de la Corniche et la mer, du Port jusqu’aux Mamelles. Désormais, toutes les transactions foncières sur cette zone sont soumises à une autorisation spéciale du Premier ministre. Ce, sous peine de nullité.
Il faut des terres pour construire des logements. Et se loger à Dakar est difficile. « Dur dur de se loger dans Dakar », écrit la TRIBUNE qui revient sur l’an 3 de la décision des autorités de baisser le loyer à travers une loi. Selon le journal, trois ans après son adoption, cette loi qui était censée résoudre les problèmes du coût du loyer, semble en avoir créé plus qu’elle en a résolus. Au grand dam des citoyens, toujours obligés de subir le diktat des bailleurs et autres courtiers.
Comme se loger, manger à sa faim est aussi problématique pour des milliers de Sénégalais. Le point focal humanitaire du Fonds des Nations Unies pour la Population (Unfpa) soutient dans le POP qu’au Sénégal pas moins de 2,4 millions de personnes sont en insécurité alimentaire, soit 17% de la population nationale.
A la UNE du TEMOIN, ce sont des retraités, des salariés et des employeurs de l’Ipres qui réclament le départ du Directeur général pour politisation à outrance de l’Institution. Selon le journal, ils sont en train d’élaborer un plan d’actions pour réclamer le départ de Mamadou Sy Mbengue dont le limogeage pour eux serait une œuvre de salubrité publique.
La politique est à la UNE de DIRECT INFO. Ce sont des proches du ministre Abdoulaye Diouf Sarr qui accusent le duo Yakham-Seydou Gueye de comploter contre leur mentor. Le journal parle du temps des manœuvres et des positionnements au niveau des responsables de l’Apr.