Après l’opposition significative réunie au sein de la coalition Benno Siggil Senegaal, c’est autour des partis « indépendants » et « non-alignés » de claquer la porte des travaux de la Commission de révision du code électoral. Et se disent nullement concernés par les conclusions de ces travaux.
Pour leur porte-parole, Ibrahima Diongue, ils ont ainsi refusé de « cautionner » un schéma arrêté par le camp du pouvoir. Ces partis estiment en plus que les points sur lesquels ils ont été invités à discuter n’ont aucune incidence sur la transparence du processus électoral. Et demandent qu’on laisse, désormais, aux formations politiques le choix des questions du Code électoral sur lesquelles il faut discuter. « Nous avons décidé de quitter la salle pour ne pas être taxés d’acteurs qui ont cautionné ces travaux sur la révision du code électoral. C’est à une véritable mascarade que nous avons assistée pendant ces dix jours de concertation. Ils ont ainsi voulu nous associer à la fin des travaux pour qu’on cautionne une question politique », souligne le porte-parole des « partis non-alignés ».
Ces représentants des formations politiques ont constaté que les travaux ont été orientés dans le sens de leur amener à se « faire arbitrer par le chef de l’Etat » considéré par eux comme un « adversaire », parce que leader d’un parti, en l’occurrence le Pds.
En effet, pour Ibrahima Diongue les points de désaccord sont au nombre de huit. Il indique que les représentants partis « non-alignés » ont posé comme exigence le fait de discuter sur des questions importantes relatives au montant de la caution pour se présenter à la présidentielle et à l’organisation des élections. Et de s’offusquer : « Ils n’ont pas voulu nous suivre sur les dix points que nous avons proposés », souligne leur porte-parole.
Les formations politiques dites « indépendantes » veulent qu’on discute de toutes les questions avec grand « T », avant de réclamer la reprise des travaux et le choix d’une personnalité neutre pour modérer les discussions.
Pour leur porte-parole, Ibrahima Diongue, ils ont ainsi refusé de « cautionner » un schéma arrêté par le camp du pouvoir. Ces partis estiment en plus que les points sur lesquels ils ont été invités à discuter n’ont aucune incidence sur la transparence du processus électoral. Et demandent qu’on laisse, désormais, aux formations politiques le choix des questions du Code électoral sur lesquelles il faut discuter. « Nous avons décidé de quitter la salle pour ne pas être taxés d’acteurs qui ont cautionné ces travaux sur la révision du code électoral. C’est à une véritable mascarade que nous avons assistée pendant ces dix jours de concertation. Ils ont ainsi voulu nous associer à la fin des travaux pour qu’on cautionne une question politique », souligne le porte-parole des « partis non-alignés ».
Ces représentants des formations politiques ont constaté que les travaux ont été orientés dans le sens de leur amener à se « faire arbitrer par le chef de l’Etat » considéré par eux comme un « adversaire », parce que leader d’un parti, en l’occurrence le Pds.
En effet, pour Ibrahima Diongue les points de désaccord sont au nombre de huit. Il indique que les représentants partis « non-alignés » ont posé comme exigence le fait de discuter sur des questions importantes relatives au montant de la caution pour se présenter à la présidentielle et à l’organisation des élections. Et de s’offusquer : « Ils n’ont pas voulu nous suivre sur les dix points que nous avons proposés », souligne leur porte-parole.
Les formations politiques dites « indépendantes » veulent qu’on discute de toutes les questions avec grand « T », avant de réclamer la reprise des travaux et le choix d’une personnalité neutre pour modérer les discussions.
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