Le Cadre unitaire des syndicats de l'enseignement du moyen-secondaire (Cusems) s’insurge contre le gouvernement qui, selon lui traine les pieds pour satisfaire leurs doléances. Doléances qui pourtant, avaient été signées par lui. Et c’est pour rentrer dans leurs droits que les enseignants vont dérouler leur plan d’action qui a débuté ce matin, à partir de 10 heures par un débrayage.
«Beaucoup d’amendements ont été faits et le gouvernement s’était engagé à intégrer ces amendements et à nous communiquer le document final pour qu’on puisse discuter. C’était au mois d’octobre et nous sommes au mois de mars, mais jusqu’à présent, ce document n’est toujours pas disponible », regrette le Secrétaire général de ce syndicat.
Mais les camarades d’Abdoulaye Ndoye ne comptent pas s’arrêter en si bon chemin, puisque dès demain, une grève générale sera observée et la rétention des notes appliquée.
Selon le Secrétaire général de ce syndicat, «le gouvernement nous a toujours servi l’argument de la soutenabilité financière, mais cet argument ne peut plus tenir la route parce qu’il y a eu entre temps, la signature d’un arrêté octroyant des indemnités à certaines catégories de la fonction publique de 150 000 à 450 000 FCfa. On a vu que l’argent a coulé à flot pendant le référendum. Donc nous disons que c’est une question de priorité et de volonté politique parce que le gouvernement avait dit que ce sont des efforts réalistes et réalisables».
Le leader syndical soutient que : «la dernière rencontre sous l’égide du Haut conseil du dialogue social, n’a rien donné. Le gouvernement a voulu faire du dilatoire ils ont promis de nous convoquer à nouveau pour nous faire des propositions et nous attendons jusqu’à présent».
«Beaucoup d’amendements ont été faits et le gouvernement s’était engagé à intégrer ces amendements et à nous communiquer le document final pour qu’on puisse discuter. C’était au mois d’octobre et nous sommes au mois de mars, mais jusqu’à présent, ce document n’est toujours pas disponible », regrette le Secrétaire général de ce syndicat.
Mais les camarades d’Abdoulaye Ndoye ne comptent pas s’arrêter en si bon chemin, puisque dès demain, une grève générale sera observée et la rétention des notes appliquée.
Selon le Secrétaire général de ce syndicat, «le gouvernement nous a toujours servi l’argument de la soutenabilité financière, mais cet argument ne peut plus tenir la route parce qu’il y a eu entre temps, la signature d’un arrêté octroyant des indemnités à certaines catégories de la fonction publique de 150 000 à 450 000 FCfa. On a vu que l’argent a coulé à flot pendant le référendum. Donc nous disons que c’est une question de priorité et de volonté politique parce que le gouvernement avait dit que ce sont des efforts réalistes et réalisables».
Le leader syndical soutient que : «la dernière rencontre sous l’égide du Haut conseil du dialogue social, n’a rien donné. Le gouvernement a voulu faire du dilatoire ils ont promis de nous convoquer à nouveau pour nous faire des propositions et nous attendons jusqu’à présent».
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