Des médias américains ont rapporté mercredi 21 août que Robert F. Kennedy Jr, candidat indépendant à la présidentielle américaine du 5 novembre, devrait renoncer à sa candidature. Ils attendent une annonce en ce sens en fin de semaine.
L'héritier de la célébrissime dynastie américaine, qui bénéficiait cette semaine de 8,7 % des intentions de vote selon un sondage du journal The Hill, devrait apporter son soutien au républicain Donald Trump, selon le New York Times et CNN.
Dans une élection qui s'annonce très serrée entre la vice-présidente Kamala Harris, candidate du Parti démocrate, et Donald Trump, le vote des partisans de Robert F. Kennedy Jr pourrait s'avérer crucial dans les quelques États qui décideront du sort du scrutin, estiment les analystes.
Robert F. Kennedy Jr, 70 ans, est avocat en droit de l'environnement. Vaccino-sceptique et connu pour propager des théories du complot, il est rejeté par une grande partie du clan Kennedy.
Moins de 10 % d'intention de vote Le fils de l'ancien procureur Bobby Kennedy, assassiné en 1968, et neveu de l'ancien président John F. Kennedy tué en 1963, concourt dans 19 des 50 États.
Il se présentait comme un candidat alternatif au duel entre Donald Trump et Joe Biden. Mais les intentions de vote en sa faveur sont tombées sous les 10 % dans les sondages depuis le retrait du président Joe Biden au profit de Kamala Harris.
Mercredi, son équipe de campagne a indiqué qu'il prononcerait un discours vendredi dans l'État de l'Arizona, où Donald Trump doit tenir un meeting électoral le même jour.
L'ancien président a laissé entendre mardi sur CNN qu'il serait prêt à laisser l'héritier Kennedy tenir un rôle dans son administration s'il était élu. "C'est un mec brillant. C'est un mec très intelligent", a déclaré Donald Trump. "Je ne savais pas qu'il pensait à se retirer, mais s'il y pense, je serais certainement ouvert à (cette) idée".
Après avoir renoncé à concourir aux primaires démocrates, Robert F. Kennedy Jr avait envisagé un temps de rejoindre le Parti libertarien avant de se présenter sous l'étiquette d'indépendant.
L'héritier de la célébrissime dynastie américaine, qui bénéficiait cette semaine de 8,7 % des intentions de vote selon un sondage du journal The Hill, devrait apporter son soutien au républicain Donald Trump, selon le New York Times et CNN.
Dans une élection qui s'annonce très serrée entre la vice-présidente Kamala Harris, candidate du Parti démocrate, et Donald Trump, le vote des partisans de Robert F. Kennedy Jr pourrait s'avérer crucial dans les quelques États qui décideront du sort du scrutin, estiment les analystes.
Moins de 10 % d'intention de vote Le fils de l'ancien procureur Bobby Kennedy, assassiné en 1968, et neveu de l'ancien président John F. Kennedy tué en 1963, concourt dans 19 des 50 États.
Il se présentait comme un candidat alternatif au duel entre Donald Trump et Joe Biden. Mais les intentions de vote en sa faveur sont tombées sous les 10 % dans les sondages depuis le retrait du président Joe Biden au profit de Kamala Harris.
Mercredi, son équipe de campagne a indiqué qu'il prononcerait un discours vendredi dans l'État de l'Arizona, où Donald Trump doit tenir un meeting électoral le même jour.
L'ancien président a laissé entendre mardi sur CNN qu'il serait prêt à laisser l'héritier Kennedy tenir un rôle dans son administration s'il était élu. "C'est un mec brillant. C'est un mec très intelligent", a déclaré Donald Trump. "Je ne savais pas qu'il pensait à se retirer, mais s'il y pense, je serais certainement ouvert à (cette) idée".
Après avoir renoncé à concourir aux primaires démocrates, Robert F. Kennedy Jr avait envisagé un temps de rejoindre le Parti libertarien avant de se présenter sous l'étiquette d'indépendant.