Jadis, il s’est révélé au grand public comme metteur en scène. Aujourd’hui, il est découvert sous un angle différent, celui d’écrivain. Il, c’est Mamadou Seyba Traoré, metteur en scène de la troupe nationale dramatique du théâtre Daniel Sorano. C’est dans la cour de Keur Birago Bu Bess qu’il a procédé hier à la dédicace de son ouvrage de 236 pages édité par Maguilen.
« Les p’tits gars de l’école du chemin des Avens », est le titre de ce roman autobiographique. L’orthographe de « p’tits » et le mot « gars » du titre, renseignent a priori sur le contenu de ce livre. En effet, « p’tits » tel qu’écrit ici, installe le lecteur dans une ambiance d’enfance. « Gars », le plonge dans celle d’amitié. Et la trame de ce livre pourrait être résumée par ces deux mots. Mamadou Seyba Traoré narre ses débuts à l’école faits loin de la capitale. Un retour au royaume de l’enfance. Son papa étant fonctionnaire sous le régime colonial défendait la thèse des indépendances. Raison des nombreuses affectations de la famille Traoré. Cependant, l’histoire racontée ici en tant que telle commence après l’affectation de la famille du « p’tit » Seyba de Ziguinchor à Dakar. Se donnant le nom de Tréma dans l’histoire, le « p’tit Seyba »se fait des amis et fait la connaissance de Diobasse, de Mbassène et de Samba. Le quatuor qui a écumé le chemin de l’école ensemble se signale terrible et Diobasse est le plus tonitruant du groupe. Un Diobasse qui est devenu aujourd’hui père de famille et qui a su garder les relations tissées avec Tréma intactes. Sa présence hier, à cette cérémonie de dédicace l’a bien démontré.
Ainsi, ce roman est une autobiographie. La nostalgie de l’auteur se ressent à travers les lignes. Aussi, seule la belle époque scolaire n’est ici évoquée. L’amour aussi y est présent. De celui des parents, fraternel, à celui charnel avec celle qui a perdu sa boucle de chaussure, Seyba revient sur tout. De belles histoires racontées avec comme toile de fonds le Dakar d’un peu avant les indépendances. Un roman à caractère réaliste avec beaucoup de descriptions. Et comme l’a relevé Abdoulaye Sy « Sas », professeur de lettres, « Mamadou Seyba Traoré a un pouvoir extraordinaire de description. » Ce qui a d’ailleurs ébloui Abdou Fall, député à l’assemblée nationale, venu présider la cérémonie, et qui a parlé « d’un tableau saisissant du Dakar d’antan ».
« Les p’tits gars de l’école du chemin des Avens », est le titre de ce roman autobiographique. L’orthographe de « p’tits » et le mot « gars » du titre, renseignent a priori sur le contenu de ce livre. En effet, « p’tits » tel qu’écrit ici, installe le lecteur dans une ambiance d’enfance. « Gars », le plonge dans celle d’amitié. Et la trame de ce livre pourrait être résumée par ces deux mots. Mamadou Seyba Traoré narre ses débuts à l’école faits loin de la capitale. Un retour au royaume de l’enfance. Son papa étant fonctionnaire sous le régime colonial défendait la thèse des indépendances. Raison des nombreuses affectations de la famille Traoré. Cependant, l’histoire racontée ici en tant que telle commence après l’affectation de la famille du « p’tit » Seyba de Ziguinchor à Dakar. Se donnant le nom de Tréma dans l’histoire, le « p’tit Seyba »se fait des amis et fait la connaissance de Diobasse, de Mbassène et de Samba. Le quatuor qui a écumé le chemin de l’école ensemble se signale terrible et Diobasse est le plus tonitruant du groupe. Un Diobasse qui est devenu aujourd’hui père de famille et qui a su garder les relations tissées avec Tréma intactes. Sa présence hier, à cette cérémonie de dédicace l’a bien démontré.
Ainsi, ce roman est une autobiographie. La nostalgie de l’auteur se ressent à travers les lignes. Aussi, seule la belle époque scolaire n’est ici évoquée. L’amour aussi y est présent. De celui des parents, fraternel, à celui charnel avec celle qui a perdu sa boucle de chaussure, Seyba revient sur tout. De belles histoires racontées avec comme toile de fonds le Dakar d’un peu avant les indépendances. Un roman à caractère réaliste avec beaucoup de descriptions. Et comme l’a relevé Abdoulaye Sy « Sas », professeur de lettres, « Mamadou Seyba Traoré a un pouvoir extraordinaire de description. » Ce qui a d’ailleurs ébloui Abdou Fall, député à l’assemblée nationale, venu présider la cérémonie, et qui a parlé « d’un tableau saisissant du Dakar d’antan ».
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