Mamadou Mbodji, coordonnateur de la plateforme des forces vives du Sénégal, a abordé la rupture au sein du F24 lors du JDD du 22 décembre. Il a rappelé les bases des relations entre leur structure et le Pastef, fondées sur des principes et engagements communs. Bien que la plateforme ait constaté le délaissement de certains partis, notamment le Pastef, qui s’étaient initialement alliés à leur cause, cela ne signifie pas qu'ils vont dévier de leurs objectifs. Au contraire, ils se disent plus motivés que jamais à servir la société sénégalaise.
Selon Mamadou Mbodji, « F24 est une structure où les gens entrent et sortent librement. Il y a beaucoup de partis qui ne répondent plus à nos invitations, et le Pastef en fait partie. Est-ce qu'ils se sont servis de nous ? Non, car nous n’étions pas là pour eux », a-t-il affirmé.
Il est ensuite revenu sur les véritables motivations de leur collaboration, soulignant qu’elle était fondée sur des règles et des valeurs démocratiques. « Nous avons travaillé en tant que plateforme en nous disant que le pays a besoin de l’acquis démocratique, comme la limitation des mandats, la liberté d'expression et de manifestation, ainsi que des élections libres et transparentes. Nous étions liés par l’intérêt général », a-t-il confié.
Dans la même logique, le coordonnateur du F24 a précisé : « si le Pastef, en tant que membre du F24, parvient au pouvoir, ce sera parce que ce sont les Sénégalais qui l'ont élu. De ce point de vue, nous ne nous sentons pas trahis, nous ne pensons pas qu’ils nous doivent quelque chose. Nous avons fait notre devoir et nous continuons à le faire. »
Lors de l’émission, M. Mbodji a exprimé sa déception concernant l'évolution de leurs relations, qui n'étaient plus comme avant, quand les deux forces ne formaient qu'un. « Depuis l’arrivée du nouveau pouvoir, il n'y a plus de relation. Ils ne viennent plus à nos réunions, ils ne nous invitent presque plus à leurs activités, donc on constate cette situation », a-t-il regretté.
Cependant, loin de porter un jugement, il a reconnu avoir été invité aux assises pour la justice : « Nous avons été invités aux assises. J’ai reçu une convocation adressée à Mamadou Mbodji, société civile. Bien que cela soit venu tardivement, après les plaintes de certains membres du F24, il est important de souligner que nous ne parlons ni de trahison ni d’ingratitude, mais simplement des faits qui sont là, sans jugement », a précisé le coordonnateur de la plateforme F24.
Enfin, sur un autre sujet, Mamadou Mbodji a évoqué la nécessité d’une rupture systématique qui réponde aux besoins et attentes des Sénégalais de manière pragmatique et efficace. « Les ruptures sont ce que les Sénégalais attendent. Nous en voyons quelques esquisses, mais ils s’impatientent par rapport aux urgences. Il est donc essentiel que les autorités entendent leur appel et accélèrent les choses », a-t-il souligné.
Selon Mamadou Mbodji, « F24 est une structure où les gens entrent et sortent librement. Il y a beaucoup de partis qui ne répondent plus à nos invitations, et le Pastef en fait partie. Est-ce qu'ils se sont servis de nous ? Non, car nous n’étions pas là pour eux », a-t-il affirmé.
Il est ensuite revenu sur les véritables motivations de leur collaboration, soulignant qu’elle était fondée sur des règles et des valeurs démocratiques. « Nous avons travaillé en tant que plateforme en nous disant que le pays a besoin de l’acquis démocratique, comme la limitation des mandats, la liberté d'expression et de manifestation, ainsi que des élections libres et transparentes. Nous étions liés par l’intérêt général », a-t-il confié.
Dans la même logique, le coordonnateur du F24 a précisé : « si le Pastef, en tant que membre du F24, parvient au pouvoir, ce sera parce que ce sont les Sénégalais qui l'ont élu. De ce point de vue, nous ne nous sentons pas trahis, nous ne pensons pas qu’ils nous doivent quelque chose. Nous avons fait notre devoir et nous continuons à le faire. »
Lors de l’émission, M. Mbodji a exprimé sa déception concernant l'évolution de leurs relations, qui n'étaient plus comme avant, quand les deux forces ne formaient qu'un. « Depuis l’arrivée du nouveau pouvoir, il n'y a plus de relation. Ils ne viennent plus à nos réunions, ils ne nous invitent presque plus à leurs activités, donc on constate cette situation », a-t-il regretté.
Cependant, loin de porter un jugement, il a reconnu avoir été invité aux assises pour la justice : « Nous avons été invités aux assises. J’ai reçu une convocation adressée à Mamadou Mbodji, société civile. Bien que cela soit venu tardivement, après les plaintes de certains membres du F24, il est important de souligner que nous ne parlons ni de trahison ni d’ingratitude, mais simplement des faits qui sont là, sans jugement », a précisé le coordonnateur de la plateforme F24.
Enfin, sur un autre sujet, Mamadou Mbodji a évoqué la nécessité d’une rupture systématique qui réponde aux besoins et attentes des Sénégalais de manière pragmatique et efficace. « Les ruptures sont ce que les Sénégalais attendent. Nous en voyons quelques esquisses, mais ils s’impatientent par rapport aux urgences. Il est donc essentiel que les autorités entendent leur appel et accélèrent les choses », a-t-il souligné.